PDV d'Izuku.
Je vois Tenshi qui viens me chercher.
Il se met devant moi.
-Tenshi : Je t'ai trouvé un petit appart. Ici il n'y a que des sans alter. Donc tu n'as aucun souci à propos des harceleurs. Ils ne viennent pas ici. Et ceux qui sont venu pour venir nous emmerder ils sont repartis leur queue entre les jambes. Enfin pour ceux qui leur en restait encore un bout.
Ah ils les ont coupés leurs teubs.
Je vois qu'il réfléchit à quelque chose.
-Tenshi : Ici personne ne te jugera. Je fais le bien à mon échelle tout en étant connu dans le monde du crime pour avoir mis fin à plusieurs groupes de villain. Je suis nommé le Kraken par les autres. Nous t'avons ramené tes affaires.
-Izuku : Super, est-ce que je vais continuer à aller à l'école que je connais.
Il hoche la tête.
-Tenshi : Si tu veux, j'ai obtenu ta garde. Mitsuki Bakugo voulait aussi ta garde mais a arrêté du jour au lendemain de se battre pour avoir ta garde. J'imagine qu'elle a subi des pressions.
Je le regarde. Je remarque une énorme Sparadra sur ses hanches.
-Izuku : On t'a agressé pour t'empêcher d'avoir ma garde.
Il hoche la tête.
Pensée d'Izuku : Agressé les gens comme ça. On se dit mieux que les animaux mais au moins eux ils se battent pour de vraie raison et rarement entre ceux de la même espèce qu'eux même.
-Izuku : Ils t'ont fait quoi ?
-Tenshi : La routine coup de couteau dans les hanches.
Tout les sans alter se font harceler. Ce n'est pas étonnant qu'il y en a si peu dans le Japon. On se fait maltraiter par les autres et on finit par mourir à cause de cette condition.
De suicide ou on finit par se faire buter.
-Izuku : Les gens qui t'ont fait cela, ils ont été arrêtés par la police.
-Tenshi : Non, la police s'en fou de nous. Mais on va dire que je me suis fait justice moi-même. Ils n'ont plus beaucoup d'argent sur leurs comptes de plus, j'ai pu trouver des preuves de triches et de certains crimes qu'ils ont commis. Ils sont tous en prison et ils n'ont plus un rond. L'état nous néglige et bah nous nous ferons tomber cet état pour en créer un meilleur. C'est cela notre rêve à tous.
Je vois qu'il y a énormément de gens autour de moi. Ils sont tous dans des balcons.
-Izuku : Puis je vous aider ?
Tenshi semble réfléchir.
-Tenshi : Pas de soucis, il faut que tu saches qu'ils ne te laisseront jamais devenir un héros. Ils refusent tous les gens à l'entré qui n'ont pas d'alter. Je peux t'apprendre à devenir un hackeur. Et à te battre dans une moindre mesure.
Je le regarde. Il ne semble pas savoir se battre.
Tenshi me regarde fixement.
-Tenshi : Je me serais bien défendu mais il y avait des gens autour de moi. Si j'avais osé me défendre, les témoins auraient dit que je les avais agressés donc je n'ai rien su faire sur le moment. Ce n'est pas que je n'aurais pas pu les vaincre s'est juste que cela m'aurait directement amené à la case prison. J'ai juste pris la décision la plus sensé. Surtout que si j'allais en prison, ils t'auraient amené à l'orphelinat.
Je vois donc il n'avait pas le choix. Il a enduré les coups en partie pour me protéger.
Il me montre le chemin pour aller dans mon appart.
-Tenshi : A côté de toi, tu as la doyenne ici. Elle ne pourra pas trop t'aider en cas de souci d'ordre physique mais si tu as un souci à l'école dans n'importe quelle matière demande lui. C'est une ancienne prof qui a été renvoyé parce qu'elle n'a pas d'alter. De l'autre côté il y a Vladimir. Il est russe. Il est très gentil lui en revanche demande lui si tu as besoin de quelqu'un de fort. C'est un vrai tank. Il a certes un alter mais il ne nous dénigre pas, il est totalement de notre côté. Il faut se dire que toutes les personnes qui ont des alter ne sont pas tous des trous de cul fini. Il y en a des bons même s'ils semblent si rares. On commence l'entrainement demain après tes cours, tu dois y aller sinon tu te feras virer.
Je rentre dans le salon. Je vois toutes mes affaires ainsi que des photos de moi et de mes parents.
J'avais 3-4 ans, c'était avant que l'on me dise que j'étais sans alter.
En ce temps, je pensais que l'amour que me portait mes parents ne s'arrêterait jamais. C'était une mascarade.
Je vais faire de la vie de cet homme qui était mon père un véritable enfer.
