Pov a Angélique
Je continue de courir sur la chaussé, je regarde un peu en hauteur et remarque l'enceigne du bar d'Husker, une fois devant celle ci je replace mon chapeau melon ainsi que ma veste, j'ouvre la porte et regarde autour de moi, on peut dire que sa n'a pas changé, toujours cette même peinture brune foncés, se lustre à chandelle en plein centre, et se fameux comptoir avec d'innombrables bouteilles de jack danielle, whisky et j'en passe.
J'avance jusqu'aux bar et remarque, qu'il y a une autre personne avec eux, je me rapproche jusqu'à reconnaître la silhouette poster devant moi.
- Re bonjour mon cher.
Le concerner se retourne toujours avec sont grand sourire qui s'élargit en me voyant.
- Ma chère quel surprise ! Je ne me doutais pas que c'était se bar que vous me parliez.
Je sourit et me place sur une chaise entre lui et William.
- Et bien gamine je vois que tu a déjà fait la connaissance d'Alastor.
Je fait oui de la tête avant de me rendre conte de ma bêtise.
- Aux mais que suis-je sotte j'en n'est oublié mes bonne manière. Je me présente, Angélique Skyleur, pour vous servir. Dit je en lui tendant une mains.
Aux lieux de le la serrer comme le ferait deux hommes entre eux, il pris ma mains avant de la retourner pour y faire un baiser.
- Alastor Leblanc, Animateur radio, pour vous servir également miss skyleur.
Je sourit et il fais de même.
- Bon sinon gamine, comment c'était le tour du monde.
J'allais répondre mais William me coupa là parole.
- C'était extraordinaire, nous avons pu voir Paris, Venise et tout t'un ta d'autres pays, plus merveilleux les un que les autres.
Je regarde William qui me sourit, je lui sourit également avant de lui mettre une bonne claque derrière la tête.
- Aïe !!! Et oh Angélique sa vas pas, tu ma fais mal.
- Mon cher frère, j'ai beaux être plus jeune que toi cela ne veux pas dire que tu dois me couper la parole, c'est très impoli, n'a tu donc aucune éducation.Je sourit fier de moi est il me mais aussi une claque derrière la tête.
- Peut-être mais contrairement à toi, je suis un homme et toi une femme, chacun sa place.
Je le regarde abasourdi par c'est paroles.
- Bien puisque je suis une « femme » comme tu le dit si bien, je suppose que tu na pas besoin de moi pour la préparation et l'installation du matériel, car si ta mémoire te ferait défaut William, sa à toujours étais moi qui préparé la scène pendant que monsieur se pavaner dans les rue à chanter c'est louange.
Je me lève et par vers la porte.
- Sa c'est bien les femmes, toujours à se vexer pour un oui ou pour un non.
Je lui jette un regard noir avant de sourire.
- Je crois que c'est paroles te sont plus destinés à toi qu'à moi mon frère.
Il n'u le temps de répondre que je sorti du bar.
Je commença alors une longue route jusqu'à tomber devant un groupe de jazz.
- Hey mademoiselle, qu'elle bon vent vous amène.
Je sourit à l'homme qui me posa cette question.
