Mon reveil

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Assise au coin de la chambre en buvant une coup remplie du sang de mon père , j'observais ma maîtresse dévorer ma mère. Elle avait beau crier mon nom pour demander le secours mais moi je n'avais rien à ciré. Toute ma vie j'avais vécu comme une clocharde à cause d'eux. Il y'a longtemps ils n'étaient plus dans mon cœur. À chaque cri de cette femme je me souvenais avec amertume de la manière qu'ils m'avaient jeter dehors quand ils ont su que j'étais enceinte.

En ce temps là, je n'avais que 14 ans. Malgré mes performances à l'école, j'adorais le sex comme personne. Au yeux de tous je n'étais qu'une petite fille innocente et vierge alors qu'en moi, ma partie intime n'était qu'un très grand ravin qui avait déjà reçu plus de 20 hommes à seulement 13 ans. J'étais capable de coucher avec cinq hommes en seulement trois heures de temps sans m'en lasser. Bref, comme on le disait souvent au quartier , j'étais « l'arachide du deuil » de tout le monde et la nourriture des grands du quartier. Au passage je laissais toujours mes traces.

Gar1: ash mama la petite fille ci est sucrée mal

Gar2: ah bon?? (Excité)

Gar1: j'ai déjà couché avec ça sur le sable derrière la mais en construction là

Gar2: quand tu fais les way comme ça tu ne peux pas m'appeler

Gar1: en plus elle m'a taillé une pipe qui a failli arracher mon cerveau

Gar2: mince ehh tu as réveillé mon moteur papa je vais sauf que prends ma part sur ça

Gar1: père il faut go (partir) elle ne peut dire non!

Gar2: tu es sûr ?? Ne me mets pas dans le trou

Gar1: Stuip c'est la vérité. J'ai baiser sans dans tout les sens même par la bouche

Gar2: quand elle va passer ici je vais joss(parler )avec elle

Gar1: pine ça comme si c'était ton dernier jour sur tête

Gar2: fais moi confiance

C'était unpeu ce genre de commentaires que l'on pouvait entendre à mon sujet au quartier. J'attirais qui je voulais, quand je le voulais et si j'en avais envie, même les amis de mon père ne me résistait absolument pas.

D'ailleurs je me rappelle de celui-ci comme ci s'était hier. Il s'appelait masayo, ami d'enfance de mon père à l'époque. Je le respectais comme tout les autres enfants. Malheureusement ce respect serait envolés quand papa m'envoya chez lui remettre l'argent de réunion. Une fois arrivé chez lui c'était autre chose.

Moi: bonsoir papa masayo

Lui: hein ma fille c'est comment ??

Moi: je vais très papa. Mon père m'a demandé de venir te donner l'argent ci (tendant l'argent)

Lui: ah oui pour la cotisation d'aujourd'hui (prenant)

Moi: bon je dois partir je nais pas fini mes travaux

Lui: ehh tu pars déjà? J'ai besoin de ton aide ma fille

Moi: pour quoi faire papa? (Boudant)

Lui: aide moi à récupérer mes chaussures en bas de mon lit dans ma chambre

Moi; c'est tout ? Seulement ça ??

Lui: oui c'est tout! Je veux sortir maintenant

Moi: okay j'y vais

Alors que j'étais entrain de chercher ses chaussures. Il m'avait poussé sur le lit comme une bête sauvage en me regardant droit dans mes yeux. D'habitude j'aimais ça seulement quand s'était moi moi qui le voulais ou quand j'étais consentante mais là, je n'avais aucune envie de coucher avec ce typ et je comptais très bien le lui faire comprendre.

Moi: laisse moi gros porc! Je ne veux pas de toi

Lui: donc tu penses que tu vas donner à tout le quartier sans que je ne goûte aussi ? Tu mens! Écarte moi tes jambes là

Moi; laisse moi! Imbéciles ! Si non je te tue

Lui: regarde toi minuscule chose ! Tu peux me faire quoi (déchirant mon sous vêtement)

Moi: laisse moi! Au secours aidez moi!

Il m'avait pénétré comme une vraie brute en tenant très fort ma bouche et mes jambes. J'avais le souffle presque coupé quand les coups de se typ arrivaient jusqu'à mon abdomen. Il m'avait faire comprendre qu'il allait bien profiter de moi jusqu'à ce qu'il se fatigue. Me forçant à le sucer le penis et l'anus, il m'avait même prise pas le postérieur sous me regard impuissant. Pendant qu'il me brutalisait, il criait ;

Lui : gémit là-bas dis donc! Je ne suis pas entrain de baiser le bois ou un cadavre ! Gémit idiote

Je le regardais droit dans les yeux méditant son sort à la fin de cette acte que j'avais considéré comme viol. J'avais coulé toute les larmes de mon corps comme une madeleine.

Il y'avait personne pour m'aider ce jours là et je me demande aujourd'hui si les gens pouvaient même venir à mon secours sachant même ce que j'étais. Je ne penses pas! Ils auraient plutôt profité de la situation pour prendre pour eux. Quand il eu fini, il se coucha sur le côté du lit me répétant;

Lui: tu es vraiment bonne ! Je me demande si ton père connais ce que tu es déjà !

Moi: tu aurais dû me demander avant de faire ça

Lui: Stuip les autres te demande souvent ?

Moi: tu aurais dû me demander (en colère)

Lui: ehh dégage de chez (me frappant là fesses gauche)

Remplie de rage et de colère, je m'étais dirigé vers sa cuisine où j'avais trouvé des couteaux. Là je m'étais rassuré de prendre le couteau le plus tranchant qui se trouvait là. Une fois dans sa chambre où il était carrément endormi comme un homme en lune de miel, je l'avais enfoncé ce couteau droit dans la poitrine et sans remords. Je m'étais assuré de lui couper les testicules, le lui mettre dans la bouche avant d'aller dans sa douche, me nettoyer autant que je le pouvais avant de partir.

Papa masayo n'était que ma première victime sur la liste qui allait être très longue.

Je m'appelle perla akono lisez moi attentivement.

Fille de nuitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant