Fille de nuit

...

Au fur et à mesure que j'avançais vers la porte ma mère s'éloignait en disant ;

« La honte de la famille est revenu »

Aussitôt que j'arriva à la porte même, elle me l'avait claqué au nez. Dans mon cœur j'avais souri sachant parfaitement les intentions que j'avais en moi. C'est en frappant la porte que je m'obstinais à crier ;

« Mama ouvre moi s'il te plaît je suis y'a fille »

Elle ne répondait pas à mes cris. La colère et l'adrénaline montait de plus en plus. Il me fallait franchir cette porte là mais je ne savais pas comment. La seule solution c'était que quelqu'un m'ouvre, mais qui?? De l'extérieur j'étendais mes parents parler.

Papa: mais cette petite à du toupet (d'un ton colérique)

Mama: elle pense que je vais l'ouvrir la porte après ce qu'elle nous a fait ?

Papa: quand elle va finir de crier ses bêtises là , elle partira

Mama: qu'elle continue à aller se donner aux hommes

Papa: je n'élève pas des putes chez moi!

Mama: moi je n'ai pas accouché des prostitué

J'avais tellement mal en attendant ça que mes yeux en devenaient et le désir d'en finir avec eux doublait de plus en plus. À un moment, je leva les yeux vers le ciel et j'eus la confirmation qu'il était temps. Il était temps de passer à l'action car je sentais ma maîtresse approcher.

Ce jour là je ne saurais jusqu'à présent dire avec exactitude ce qui s'était réellement passé mais mon bras dégageait d'une force qui avait brisé la porte en miettes.

Mon regard était devenu tout sombre et je ne me contrôlais plus. Je me rappelle encore des cris de mon en voyant ce que j'étais devenu.

« C'est quoi? Sorcière sort d'ici »

Je me tenais à quelqu'un centimètres de lui. Avec mon regard, j'avais réussi à le faire monter jusqu'à plafond sous le regard terrifié de ma mère qui me suppliait de ne pas ôté la vie à son mari;

« Perla pardon c'est ton père laisse comme ça! On va s'arranger »

Répondre était très difficile car il se faisait très tard pour retourner en arrière. D'un signe de la main, je l'avais brisé le cou sans pitié , le regardant ce vider progressivement de son sang.

Ma mission avec lui était complète. Au tour de ma mère, elle s'était mit à m'implorer.

Mama: perla je t'ai porté neuf mois s'il te plaît

Moi: ah maintenant tu te rappelles que j'étais ta fille ?

Mama: je suis toujours oh ne l'oublie pas

Moi: de toute les façons ce n'est pas moi qui va te tué mais plutôt ma nouvelle mère

Mama: hein?? Nous sommes ta seule famille

Moi: ferme ta bouche imbéciles

Mama: ehh tu insulte ta mère??

Pendant qu'elle parlait, ma maîtresse fit son apparition avec un coup argenté m'ordonnait ainsi de ne servir du sang de mon père. Alors que j'étais assise dans un coin entrain de savourer le sang de mon père comme du vin, j'observais ma mère se faire dévorer par ma maîtresse. Ses cris étaient comme une musique douce musique à mes oreilles. Une fois le travail terminé, nous avions disparu de la maison avec les corps pour le sanctuaire. Là certains la joie totale.