Je me reveillais, en entendant Jasper hennir.
Je regardais autour de moi en me demandant où j'étais.
Puis, tout me revinrent en mémoire.
- Merde...c'est vrai...
Je me levais et harnachais Jasper.
Puis je montais sur son dos.
Cela faisais une heure ou deux peut être que j'étais partie, et j'avais la désagréable impression que quelqu'un m'observais.
(Tu te fais des idées... Dans tout les cas, dépêche toi car si ton impression se révèle être vraie, t'es dans la merde...)
Je lançais le cheval au galop.
Tous les arbres se ressemblaient, et j'avais l'impression que le soleil déclinait.
Et que quelqu'un m'observais.
(T'es parano...)
Jasper fit un écart.
J'essayais de calmer le cheval, quand une grosse voix, derrière moi, me parla:
- Bah alors ma jolie? On est perdue?
Je fis comme ci je n'avais pas entendu et lança mon cheval au trot.
- Tu sais, c'est pas très polis de ne pas répondre.
J'entendis que l'on sortait une arme.
Une lame.
(Merde!)Il donna un coup sur la croupe du cheval, qui se cabra, et comme je ne m'y attendais pas, je tombais. Le cheval partit.
Mon dos heurta le sol de plein de fouet, je n'eut même pas le temps de reprendre mon souffle que cette homme me releva et me plaqua contre un mur.
J'essayais de lui donner des coups, mais en vain.
Il me plaqua les mains au dessus de ma tête.
Je réussis a lui donner un coup entre les jambes.
Il gemissa de douleur, en se tenant, il s'était plier mais n'avait en aucun cas relâcher la pression au niveau de mes poignet.
- Lâche moi pauvre naze!!
- Tu vas la fermer ta gueule??!!
Il s'était relevé, rouge de colère.
J'étais tétanisée de peur.
- Tu vas regretter pour ce que tu as fais...
Il s'était approché et donna quelques baisers dans mon cou.
Je sentais larmes montées, mais je ne voulais pas pleurer.
Et montrer à quel point j'avais peur.
- Tu vois quand tu veux, tu peux être sage.
- Lâche moi!!!
Il le plaqua une main sur la bouche.
- Ta-Gueule!
Il me gifla et ma tete partit à droite.
J'avais la joue en feu, et il n'y etait pas aller de main morte.
Je sentis entre mes lèvres, un de ses doigts.
Je le mordais aussi fort que je pouvais.
(Pourquoi je n'ai pas emmener d'armes!!!)
Il hurla de douleurs retira sa main, et je courus.
Je n'avais pas fais 1pas, qu'il m'attrapa par la cheville, et je m'effondra à terre.
Ma tête heurta un caillou.
Je sentais du sang perlait sur mon visage.
Je me sentais partir.
(Non...je dois...rester éveillée...)
Je fermais les yeux et les rouvris.
Il me plaqua violemment contre un arbre.
- Maintenant sale pute, tu vas rester gentiment comme ça!! Et bien évidemment, ton acte aura une grosse, très grosse conséquence.
Il sourit, mais je n'aimais pas ce sourire.
(Je savais que j'aurais du accélérer...)Je respirais profondément.
Il avais déchirer mes vêtements du hauts.
Il ne me restais plus que mon soutien-gorge et mon jean, ainsi que mes baskets.
Quand je sentais que mes forces s'en allèrent, je criais une ultime fois, en espérant que quelqu'un m'entende.
- DEGAGE TES MAINS DE LÀ AVANT QUE...
Je ne pus finir ma phrase.
Je baissais les yeux vers mes cotes.
Entres celle-ci, était planté, bien en évidence, un sabre.
(C'est ça le bruit que j'avais entendu tout à l'heure...)
- Comme ça, tu feras plus chier.Je ressentais un immense froid en moi, et je sentais mon coeur ralentir, au fil des secondes...
Il defaisait son pantalon, et avant qu'il n'enlève complètement son caleçon, on entendis de aboiments.
(Je reconnais vaguement ces aboiements...)
Je n'arrivais plus à réfléchir correctement...
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Amour ou travail?
RomanceIsabelle Léry , 24ans, veut travailler auprés des chevaux. Le seul travail qu'elle est trouvée c'est dans un commissariat. Sauf qu'elle ne rencontrera peut être pas seulement les chevaux que la police utilise...