je passais un mois, en vidans mon porte feuille en appelant des fast food, je prenais tout ce qu'il y a de plus équilibre et je cours chaque matins!
Je n'avais toujours pas brancher le frigo.
Mes cartons étaient toujours fermer et rien n'étais monter!
Le lendemain je sortis dehors et vis de nouveau le commissariat.
Je n'avais toujours pas eu le temps de revenir.
(Allons-y)
Je rentrais dans le commissariat et un homme, assez enrobé, un begnet à la main me demanda:
- Je peux vous aidez charmante demoiselle?
Je souris et lui dis:
- Oui. J'aimerais savoir où je pourrais trouver votre chef...
- Là bas. Je crois qu'il y a Sami et Ben... Hé Boris!
Un homme de grande taille, d'une quarantaine d'année se retourna:
- Qu'est-ce que tu veux Henri?
- Cette demoiselle cherche la chef, elle est bien avec Sami et Ben c'est ça?
- Oui.
- Merci.
Il se retourna vers moi et me dit:
- Allez devant la porte et cognez, où attendez que ces deux zigotos sortent de là.
Il me sourit je le remerciais et partis.
(J'appréhende un peu quand même...)
Une porte s'ouvrit sur deux hommes.
Un de petite taille, les cheveux court et marrons.
À côté de lui se tenait un homme de grande taille, musclé, bien bâti, les cheveux mi-long qui arrivent à la nuque, et bruns.
Le petit dit:
- Oui chef.
Le grand repondit:
- Aucun problème.
Ils me virent enfin et le petit me regarda, sourit et me de demanda:
- Bonjour, je peux vous aidez?
Je rougis discrètement et répondis:
- Je dois aller voir euh...la chef de cet établissement...
- Très bien. Je crois qu'elle a du temps libre là, profitez-en!
Il me serra la main et partit.
Le grand me serra aussi la main, doucement, et ils s'en allèrent.
(Wow...il est vachement sexy sérieux!)
Je secouais la tête et cogna à la porte.
- Entrez.
Une voix autoritaire... Qui glace le sang...
Je pris une grande respiration et ouvris.
- Excusez moi de vous déranger dans votre travail...
- Je vous en prie, assiyez-vous.
Je refermais la porte derrière moi et m'assise en la remercians.
- En quoi puis-je vous aidez?
Je me frottais doucement les mains et me lança:
- En fait, je cherche du travail, et je m'occupe de chevaux, j'aurais voulu savoir si éventuellement vous en montiez, et si vous cherchiez une palefreniere pour s'occuper de tout ce qui concerne ces animaux.
Elle me regarda, pensivement et me pria de continuer.
- Et qu'est-ce qu'il vous fait dire que si je cherche quelqu'un, ce serais vous la meilleure par rapport à une autre? Ou un autre d'ailleurs. Il me paraît évident que vous n'avez aucune confiance en vous et que vous angoissez, que je vous rejete.
Je la regardais droit dans les yeux, plus déterminer que jamais.
-Certe, je n'ai aucune confiance en moi, mais auprès de ces animaux, je suis metamorphosée. Je suis la fille la plus sûr d'elle qui peut exister au monde. Et je crain fort que vous trouviez quelqu'un qui aime autant ces animaux et les connais aussi bien que moi dans cette ville.
Elle sourit.
- Très bien. Vous commencez demain dès 8h.
Je souris et serrais la main qu'elle me tendait.
- Vous n'allez pas le regretter chef!
Elle sourit et je sortis.
L'homme enrobé, me demanda:
- Alors? Sa c'est bien passer?
Je fis "oui" de la tête, le remercia et sortis.
J'étais vraiment heureuse!
Je m'en allais mais mon regard fus attiré par quelqu'un.
Cet homme, grand, musclé, bien bâti et qui a les cheveux mi-long qui lui arrivent a la nuque.
Il me vit, et je souris timidement en baissans le regard et en remettant un mèches derrière mon oreille.
Je le vis sourire de même et je partis, le coeur léger!
En rentrant, je préparais mes affaires pour le lendemain, me changea, mangea ce qui restais de ce midi, et partis me coucher.
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Amour ou travail?
RomanceIsabelle Léry , 24ans, veut travailler auprés des chevaux. Le seul travail qu'elle est trouvée c'est dans un commissariat. Sauf qu'elle ne rencontrera peut être pas seulement les chevaux que la police utilise...