Amour ou travail?

Douleurs

Il m'avait fait une marque dans le cou, un suçon.

Il avait du mal à disparaitre...

Tout comme la douleur au coeur que j'avais depuis qu'il était avec l'autre blondasse!

Je m'epuisais au travail,pour oublier, j'etais épuiser mais je ne dormais pas.

Un matin j'arrivais, j'allais dans l'écurie quand un homme vint me voir.

- Euh...Bonjour... Excusez-moi de vous deranger dans votre travail mais où pourrais-je trouver la chef s'il vous plait?

Sans me retourner je lui répondais:

- Vous rentrez dans le poste de police, puis vous tournez à droite, cognez, et elle vous dira d'entrez.

- Merci beaucoup.

- Je vous en prie.

- Eum... De toute manière... Je m'appelle Tom Kranich.

Il me tendis une main. Je m'appuyais sur ma fourche et serra sa main.

- Moi c'est Isabelle. Salut.

- Merci encore à bientôt.

- Ouais c'est ça.

Je reprenais mon boulot.

Une fois la journée terminer, je rangeais tout et sortis.

- Putain il fais froid!

- C'est sur. T'as rien sur le dos.

J'aurais reconnue cette voix entre milles.

Je fis comme ci je n'avais rien entendu et pressa le pas.

- Attend!

Je continuais de marcher.

- Isa... Je suis désolé... J'aurais pas du t'eviter mais...

Je me retournais brusquement, le visage inondé de larmes et lui criais:

- Oui!! Tu aurais du éviter!! Qu'est-ce que j'ai?? Qu'est-ce qu'elle a de plus que moi cette petasse?!!un gros cul, des seins plus gros que les miens?! C'est ce genre de filles qui te branche?! Bravo Ben Jäger!! Je ne te pensais pas comme ça!!!

- Mais écoute moi putain!!

- Pour quoi faire?!! Déjà que tu m'as fais une marque dans le cou!!

- Elle y est toujours? Après tout ce temps?

- A ton avis!!! Bien sur que oui!!!

Il souffla de soulagement.

- Vas-y tu me saoules!

Je partais mais il me prit par le poignet.

- Attend! Je vais t'expliquer...

- Y a rien à expliquer.

- Si! Y a beaucoup de choses!

- Il est trop tard.

- Il n'est jamais trop tard.

Je levais la tête vers les étoiles comme pour les suplliais de m'aidais et lui dis la voix tremblante:

- Ben... Je t'aime énormément... Que sa soit en amitié ou en amour... Je t'aime à un point inimaginable... Tu m'as déjà assez fait de mal, je ne veux plus souffrir... Je ne suis pas du tout ton genre alors autant s'arretaient là...

Il me lâcha le poignet.

- Isabelle, c'est mort.

- De quoi?

- Tu es à moi, et cette marque le prouve. Je t'aime comme un fou putain... Mais...

- Mais quoi?

- Viens a la maison...s'il te plaît... on sera plus à l'aise pour discuter.

Devais-je accepter ou pas?

J'avais envie d'entendre ce qu'il a à me dire...

- S'il te plaît...

Je soupirais et le suivait.