OS Harry Potter: Aucun défi n'est insurmontable

Masque (Cemione)

Cédric est toujours vivant, l'histoire se passe après la guerre, Hermione est devenue une Médicomage réputé et Cédric est son assistant-infirmier. /!\ vocabulaire qui peut inconforter au début.

Hermione finit de recoudre le torse de son patient, posa ses ustensiles sur la tablette métallique situé à sa gauche entre les mains de son assistant. Tous deux quittèrent le bloc opératoire alors que le lit du patient était déjà tiré vers la salle de réveil par d'autres infirmiers. Ils enlevèrent leurs gants puis leurs charlottes et leurs blouses dans le sas et finirent par leurs masques.

- Pff! Je respire enfin!

- Une horreur, on est d'accord! J'ai respiré mon haleine pendant deux heures et je peux te dire que c'est pas fameux malgré mon brossage de dents avant et le chewing-gum en plus

- Heureuse que ce soit fini! Je fais enfin pouvoir dormir, désolé de t'avoir changé de garde en dernière minute

- Mais non, en plus tu ne pouvais pas prévoir cet accident de transplanage.

Cédric sourit avant d'ouvrir la porte:

- A vous l'honneur Mademoiselle.

- Merci très cher.

Ils se dirigent vers leur bureau. Hermione et Cédric regroupe leurs affaires afin de rentrer chez eux. La garde de nuit avait été éreintante, et cette nuit encore plus avec cette accident survenu à l'aube qui avait accaparé nos deux protagonistes.

- J'ai besoin de décompresser Céd', tu veux venir boire un verre avec moi?

- Je t'invite du côté moldu?

- Avec plaisir!

Ils quittèrent St Mangouste côte-à-côte et se dirigèrent vers un bar commun de la capital au nom du lutin violet pompet. Ils commandèrent une bière chacun avant que Cédric ne se jette à l'eau:

- Hermione, on a eu une longue journée, et c'est, je pense le meilleur moyen de faire passer la pillule, alors, il faut que je te dise que je t'aime.

Elle rougit, puis sourit.

- Tu en as mis du temps! J'attends depuis ma quatrième année. Depuis notre discussion dans la cour intérieure du château où tu m'as dit de ne pas me soucier des autres, et que ma beauté serait vu par les êtres qui me seront chers.

- C'est vrai Je t'ai dit ça car je le pensais sincèrement. Tu es magnifique, avec tes cheveux si volumineux que tu es incapable de les coiffer si bien que chaque jour tu me demande de les attacher, j'adore ton odeur, ton sourire et tes yeux couleurs de l'ambre

Elle rigole. Elle se penche vers lui attrape sa nuque et l'embrasse. Il réponds à ses avances et glisse ses mains dans le bas de son dos.

- Moi aussi je t'aime gros nigaud! Pour tous ce que tu as été, ce que tu es et ce que tu seras.

Et ils se réembrassent.