Harry Potter était célèbre mais il ne le savait pas encore. Au lieu de l'apprendre par un géant le jour de ses onze ans, c'est lors d'horrible vacances chez la tante Marge, qu'il va découvrir la magie.
D'étranges voisins se sont installés dans le p...
⚠️ Attention ⚠️ ce chapitre sera réécrit. J'aimerais faire un chapitre plus joyeux...
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• 3 • Esprits bienveillants et malveillants
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Harry avait appris à faire du vélo en une heure, avait pu dormir dans la chambre de Ambroise et profiter d'une bonne nuit. Le lendemain, il se réveilla tôt dans la cabane sur son petit matelas. Il fut très étonné et douta à nouveau de la réalité de ce qu'il avait vécu cette nuit. Pourtant il savait qu'il pouvait faire du vélo maintenant. Il regarda autour de lui et découvrit alors le vélo posé dans un coin. Il cligna des yeux. Ce n'était donc pas vraiment un rêve. Le soleil se levait tout juste et Harry était étonné d'être déjà réveillé après une longue soirée avec Ambroise et sa famille, enfin surtout de Hécate qui avait raconté une histoire d'un chaudron avec un pied et qui sautait partout. Harry avait beaucoup ri avec son nouvel ami. Il aurait aimé que cette soirée dure encore et encore. Hécate avait promis d'autres histoires avec de la magie, des dragons et des licornes. Harry espérait vite retrouver son ami cette après-midi et jouer avec lui, et même faire du vélo, maintenant qu'il en avait un. Pendant une heure, Harry essaya de ne pas se rendormir dû à l'ennui dans la cabane. Il avait essayé d'ouvrir la porte mais à nouveau le cadenas la condamnait, comme si jamais Hécate l'avait libéré. Toujours en doute, Harry se demandait s'il ne rêvait pas de ses rencontres avec Ambroise et du cottage. Il se demandait s'il avait autant d'imagination que ça. Il voulait y croire et en même temps il avait peur d'être déçu et se rendre compte que son oncle avait raison : la magie n'existe pas. Il finit par observer le paysage par un des trous dans une planche et regarda surtout vers le cottage hanté d'un chien étrange, d'un grand-père sympathique, d'une mère malade, d'un immense serpent qui pouvait parler, d'un esprit aimable et maternel, et d'un garçon joyeux et curieux. On frappa avec force contre la porte de la cabane, et Harry sursauta en se tournant vers la porte.
— debout ! Dépêche toi d'aller aider tes tantes ! Rugit la voix de l'oncle Vernon.
Harry entendit les mains de son oncle triturer le cadenas. Puis il eut le bruit de la chaîne qui tombait et la porte s'ouvrît alors sur la masse immense de Vernon Dursley. Harry se dépêcha de se lever et de sortir rapidement. Il courut vers le cottage de la maison de la tante Marge. Il fit des efforts pour avoir au moins l'après-midi de libre. Débarrasser de ses obligation de servitudes, il dut courir le plus loin possible poursuivit par deux gros molosses de la tante Marge. Ce fut des cailloux et des morceaux de bois qui les firent fuir. Derrière un petit buisson, Ambroise se leva avec un sourire. Harry lui fit un sourire, heureux de le revoir.
— salut, Harry ! Désolé pour ce matin, mais grand-père a pensé que c'était mieux que tu te réveilles dans ton lit, dit Ambroise gêné. S'il te demande où on s'est rejoint, tu lui dira dans le jardin. Je n'ai pas le droit de quitter le domaine.
