Tu es (t/p), une jeune fille que la vie a décidé de faire souffrir. En effet, ton père est mort dans des circonstances mystérieuses juste après qu'il se soit remarié. Ta belle mère et toi ne vous appréciez pas et ne faites rien pour que cela s'arran...
J'avais dit ça en regardant par la fenêtre. Peter était parti depuis 5 bonnes minutes.
William posa sa tasse et resta de marbre.
William : Quel est votre opinion sur lui mademoiselle ?
Je revins m'asseoir en face de lui.
(t/p) : Comme vous l'avez deviné je ne suis pas tranquille. Qui vous dit qu'il n'ira pas raconter vos machinations à la police ?
William : En effet, c'est toujours un risque à prendre..
(t/p) : ..Vous voyez !
Je m'étais écriée. Je mets mes mains sur ma bouche en me rendant compte que je lui avait coupé la parole. Je me rassois rouge de honte. William ne relève pas et continue comme si de rien n'était.
William : Mais avez-vous fait attention à son regard ?
Il relève la tête. Son regard croise le mien.
(t/p) : Qui ne l'aurait pas remarqué ? Cette aura qui l'entourait..
William : Exact. Son désir de vengeance est parfaitement normal, je dirai même plus il est totalement légitime..
(t/p) : ..Pour nous
William acquiesce. Je soupire et ferme les yeux. J'essaie de faire le point et les rouvre.
(t/p) : Qu'allez-vous faire ? C'est ce soir.. Nous ne serons pas prêts..
William : Vous l'êtes pourtant
Il se lève et me regarde.
(t/p) : Que voulez-vous dire..?
William sourie. Je me lève et lui fait face.
William : C'est vous qui serez en charge d'amener cet animal à l'abattoir
J'assimile ses paroles en me concentrant sur ses yeux couleur rubis.
(t/p) : Que.. Que dois-je faire..?
William sourit de plus belle et me tend un poignard richement décoré. Je le prend délicatement et l'étudie sous tous les angles.
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(t/p) : Je ne savais pas que vous possédiez des goûts aussi pointilleux concernant les armes blanches.. Bois d'ébène et gravures en or.. Très bel objet
Je cherche des initiales. Il n'y en a aucune.
(t/p) : Je suppose qu'elle n'est pas à vous
Je souris et relève la tête.
William : Et qu'est-ce qui vous fait penser que cette dague ne m'appartient pas ?
(t/p) : Toutes vos affaires ont leurs initiales : votre valise, vos cahiers.. Louis tiens à ce que vous ne perdiez pas vos affaires *je souris* or, cette dague est dénuée d'initiales. J'en conclus donc qu'elle ne vous appartient pas, cela aurait été le contraire, Louis aurait immédiatement entreprit de graver vos initiales
