Tu es (t/p), une jeune fille que la vie a décidé de faire souffrir. En effet, ton père est mort dans des circonstances mystérieuses juste après qu'il se soit remarié. Ta belle mère et toi ne vous appréciez pas et ne faites rien pour que cela s'arran...
Les oiseaux gazouillent près de ma fenêtre ouverte laissant filtrer les rayons du soleil.
(t/p) : Hum..
J'ouvre doucement les yeux. Je me suis couchée tard hier à cause du différent que nous avons eu William et moi..
Je me lève péniblement et marche jusqu'au paravent. Que vais-je faire aujourd'hui ? Je vais sûrement rester là, à lire les livres que Sherlock m'a prêté..
Je me change
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et sors de ma chambre. Je descend au salon en bâillant silencieusement.
Louis : Bonjour mademoiselle
(t/p) : Bonjour Louis, vous êtes seul ? Personne n'est levé ?
William : Laissez-nous le temps de descendre haha !
Je sursaute. William se tenait derrière moi.
Louis : Grand frère, (t/p), une tasse de thé ?
William : Avec plaisir
(t/p) : Ce ne serait pas de refus
Nous dégustons notre thé dans un silence religieux. William a t-il parlé aux autres de la lettre ? Je l'observe du coin de l'oeil. Il est en train de parcourir le journal.
Louis : Quelque chose d'intéressant grand frère ?
William : Apparemment non..
(t/p) : C'est bizarre non ? Personne ne relate ce qu'il s'est passé hier ? Un double homicide survenu au cours d'une soirée mondaine, une comtesse et sa belle-soeur..
William : Effectivement la presse aurait pu se délecter de cette affaire mais elle ne l'a pas fait, pourquoi à votre avis ?
(t/p) : Hein ? Je.. Je n'en sais rien !
William : Réfléchissez un peu plus
Je me concentre sur la table en face de moi. Pourquoi les journaux refuseraient de parler de cette affaire ?
(t/p) : Eh bien.. Peut-être qu'une personne leur a demandé de ne pas en parler.. Mais c'est peu probable puisque certains journaux n'ont aucune morale, ils n'hésiteraient pas à trahir la confiance de celui qui leur demande de protéger un secret
William : Effectivement, même la page des avis d'obsèques ne contient pas les noms de la Comtesse et de son acolyte
(t/p) : C'est à n'y rien comprendre ! Avez-vous trouvé la réponse ?
William sourit.
William : Certaines choses n'ont aucun sens, il faut les laisser telles quelles pour ne pas briser ce non sens
