LETTRE À UNE FEMME !

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Dès ce premier instant que je t'ai vu, à ce moment précis j'ai juste compris que tu étais faites pour moi. Je ne pouvais cacher ni ma fierté ni l'admiration profonde que je ressentais à ton égard. J'étais éblouie, abasourdi, mon regard pétrifié lorsque je te regardais témoignais de ton si magnifique bassin qui ouvrait l'explosivité de tes formes, ses long cheveux unpeu en arrière qui couvraient tout rayon de soleil pouvant imaginer te calciner et surtout cette beauté diabolique qui affichait le talent et tout l'exploit de ta génitrice. Ètais tu réelle et humaine? je n'en savais rien ; Tu marchais si doucement, des pas lents qui fanaient toute fleur à ton passage et on voyait de tous tes côtés des étincelles qui rougissaient et répendaient l'éclat démésuré de ta splendeur. Tu étais d'une réalité irrélle et mensongère, une hyperbole qui malgré tout , déprimant , était d'une vérité que nul ne pouvait démanteler ni bourder. Tu parlais très doucement, une fine et douce vine qui d'une sonorité agréable emervellait la nature et on pouvait voir la joie dans le ciel des oiseaux qui dansaient et chantaient des mélodies des plus romantiques qui puissent exister. J'avais toujours malgré tout ce réel bonheur de rèver, d'exagerer, de perdre raison mais l'oeuvre d'art que t'étais , étais illuminé et enviable comme ce résin qu'on trouve loin dans les montagnes, dans les extrèmes caraïbes, en plein milieu des eaux extrapolant et nourrisant les mers de sa saveur rare. D'un faux courage j ai eût ce cran et cette détermination de t'approcher, cela fut aussi long que les minutes que je t'observais : le message de mon arrivée vers elle arrivait à elle comme le tam tam qui annonce l'arrivée du roi, roi qui perdait domination au face d'une maigre et ravissante guêpe. C'était pas de la fascination, mais de proche je découvris un autre monde, une autre aventure. Ton corps était à lécher mais de tout ce qui me tua, c'est cette versée de rosée qui s'épanouissait sur tes tendres et roses lèvres et je pouvais pas arrêté mon coeur de battre et ma bouche de palpiter. De ma bouche ressortais incordination incordoonée de phrases non sens, des paroles de mots sans fin et une incapacité de décrire mes émotions, de détaler mes sentiments. Et au fur et à mesure que le temps avançait, j'attrapais passion et soif, passion de te posséder, soif de t'embrasser jusqu'aux dernières secondes de cette vie qui sans toi perdrait chemin et arrivée, mais de ma bouche , l'incompréhension reste farouche. Mais tu eût pitié de moi et m'accordit une réponse dans quelques jours. Ce fut là les moments les plus durs de ma vie: des jours infinissables accompagnés de cauchemars nocturnes m'imaginant me voir sans toi, imaginant moi et toi, et de toi et moi dans un seul moi ou toi, c'était la panique, un cataclysmes de resentiments qui résidaient dans mon subsconcient. Et chaque jour qui se levait je portais le fardeau d'attendre la nuit et la nuit tombée je reportais le fardeau d'attendre le jour, ce jeu dangereux m'isolait loin et on voyait la séparation officielle entre corps-esprit et àme. Mais le miracle apparut, enfin sur toutes tes formes et plus près de moi je pouvais te toucher, ta vie qu'est la mienne m'avait donner opportunité de vivre, je pouvais enfin t'embrasser à ma faim, te caresser aux moindres détails et laisser pendre tes cheveux sur mon corps glacé: c'était magique, inexplicable. J'avais perdu notion du temps juste le moment clé comptais, cet instant où chair contre chair on restait comme pendant l'hiver, l'hiver qui fut l'apogée de la passion. Coincer au milieu des bois chauds, l'amour avait désirer nous voir dans un seul corps, on restait comme ça chaque moment et quand la neige tombait sur ce tremblement émotionnel de deux corps en un qui battait son désir au rythme du vent. On attendait aussi hurler les animaux pour afficher leur compagnie et de nos yeux brulaient l'envis de mourrir ensemble. Mais malheuresement j'ai fauté, mais le coeur meurtri et la position dans laquelle tu m'as abandonné me condamnent dans une prison ouverte aux pleures et aux pensées triste. Je me tue, je deviens fou, je reste seul dans le noir repensant à tous ses épopées et je perds le fil des choses. Mes journées deviennent effroyables et infinissables, compassion et solitude m'ont envahi. Pourrais je continuer à ce rythme encore longtemps? Pourtant j'ai encore tellement à vivre, j'ai tellement encore à procurer mais juste à toi, j'ai besoin de toi, tu es indispensable à ma survie, et avec toi je rève d'une génération dorée. C'est triste mais vrai car sans toi, ma raison de vivre reste obscure, mes sentiments se tournent en souffrance interminable. Quand ce témoignage que je te porte prendra fin, si je revis sa seras avec toi, reviens moi juste pour honorer ce vécu inimaginaire, à toi ma bénédiction du ciel.

AMOUR & SOUFFRANCE !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant