•Il y'a peu de temps l'éternité sombrait devant l'ombre de ta silhouette qui planait à ma vue, fort et déterminé à t'aimer je pouvais y laisser corps et âme. Il y'a peu de temps je pouvais d'écrire et crier fort que je vis les moments les plus heureux de ma vie. Amour, désir et complicité se noyaient en une main double: moi et cette romance créature qui faisait mes jours. Cette histoire de vie pour un avenir à mort succombait tous les désirs de chair, j'étais accro, fou de passion. Ma conscience se baladait dans nos journées recherchant pain et soif, pain de nourrir mes pensées, soif de te revoir une minime seconde. Chaque seconde que je passais avec toi me rendait fort, je me sentais invincible, capable de fermer la terre pour t'offrir une rose , j'étais perché sur le toit de la passion admirant les courbes d'or qui faisaient de tes contours un détour pour mes yeux, assoiffé de dormir sur le déclin de ton corps. Chaque nuit, loin de toi, séparé de toi, je me rongeais les doigts impatient de t'embrasser le lendemain, je pleurais car je te voulais comme dans la peau d'un autre. Ces jours inondés dans la romance me rendait idiot, aveugle, je perdais en moi toute notion de temps et destin, je perdais amis et ennemis, perché dans mon coin dans cette prison sentimentale fermée qui innovait mes jours au delà même de mes plus lointaines addictions. Je l'ai tellement aimé , admiré, que son odorat positif venait sous un doux parfum rayonné mes journées, et quand elle était triste , ses pleures mouillées tarissaient sur mon corps aride d'envaler la plus maigre sueur que décapait son temple. Mais comme dans les romans , le soleil puis l'été, et quand arrive l'été tout se chauffe, le ciel se ferma, et voilà la neige maudite qui rampe pour freiner nos pas , tout se ressent compliqué sans exception, la dévotion de persister s'éclate sur des efforts forcés sans répétition. Sur ses paupières je voyais cette fille évasée , qui s'éloignait comme l'ouragan quand les flammes brûlent, elle se disait comme le brouillard au plein milieu du vent , et de mon coeur les ressentis d'une fin non voulu s'approchaient à grand pas. Je voyais , ça se dégageait, l'odeur de ce sentiment était effroyable , ça aspirait mon souffle et c'est le Sang qui alimentait mes veines, et mes veines qui pompaient mon coeur, en fait j'étais égaré. Curieux de définir ce mal, le jour des cris était la, dès sa présence à mes horizons j'ai vu l'ours pleuré, l'hirondelle crié, ce violon amère qui torturait mon calme. Puis là elle m'avoua que c'était fini après une série de poignards en mot de longues minutes, où j'étais sur le choc, perplexe, inanimé , le son de sa voix qui cognait mon cerveau, j'avais perdu ce que je pensais définitif, j'avais perdu mon éternité. Les jours qui ont suivi je m'en souviens plus, juste le noir, sauf ce jour où mon âme refoulait ton visage en répétition , j'étais pris dans le piège parano, incapable d'enchaîner les jours, cloué sur mon nouveau destin, de temps en temps chantant ton nom comme un Doliprane pour calmer mon coeur au delà des entrailles de ma fin. Des longues journées guettant le chemin parsemé d'embûches pour t'imaginer revenir, me revenir comme un messi près de la Palestine.
•Ce fût sûrement le moment, la période , je sais vraiment pas exactement la durée, le plus difficile de ma vie. Mais petit à petit je me remettais, je pratiquais les arts de la conscience, des lectures du couvant, sans me souffler de l'oxygène, et je reprenais le sens en fin de traumatisme. Je sortais un peu plus, j'aimais l'herbe, j'aimais la vue et le monde du sourire retombait un peu plus sur mon visage. Et un beau jour, surpris d'être jovial, surpris de pas eu à penser à elle, je me suis pointé face à mon ombre, cet ombre joyeux qui me ressemblait, avait tellement de joie, de bonne humeur, que j'étais surpris d'un être d'une telle apparence, c'était génial. Je longeais la voix la plus longue, comme un commando , souriant et plein d'énergie, les synagogues embrassées du climat se tortillaient la vue sur le présent incroyable que cadençait mon apparence. Plus loin pieds dans le ciel, je tomba sur quelque chose de renouveau, du bas passant par les arrondis, le calcul s'effectua au max dans la découverte totale du bijou: c'était mon changement, mon nouveau espoir. Belle était le plus simple mot qui pouvait qualifié le personnage, décolleté dans tous les travers, sa beauté rendait la nature bleue, on pouvait voir les fleurs mortes redonner du jus, les charognards se livrer au bonheur, la sensation de ses lèvres me crispaient, et le rêve d'y goûter j'y pensais même pas, juste inexplicable. Je l'a regardais faire ses mouvements de tour me permettant d'admirer les somptueuses formes que dégagaient ce corps, puis subitement , l'ombre d'un instant éternel, tout le monde s'arrêta, on attendait plus aucun bruit, le temps n'avançait plus , et j'avais comme cette étrange impression que rien ne bougeait, normal là j'étais face à ma plus grande peur, debout comme une statut face à son regard plutôt timide, soucieuse, mais dévorant de sensualité accompagné de ses lèvres roses pulpeuses qui se mouillaient sur la température nocive des intempéries. Je me lançais vers elle, les pieds pris dans la boue du stable, corps crispé qui enchaîne des enjambées dans le subconscient, enclavé sur son regard snipper qui sifflote avec élégance , tendresse, mon arrivée malgré toute ma difficulté de départ. Le premier contact fut libre, naturel, si sympa. Elle était agréable au touché , et chaque fois qu'elle lançait un sourire on voyait la toute la sincérité de l'être, du naturel autour d'une simplicité, c'était là de près le changement qui mettait lumière sur tout mon passé sombre. C'était agréable ce bon temps , à causer près d'elle , je pouvais plus réellement m'en empêcher tant je commençais à dévorer son être d'amour, un sentiment qui grandissait au plus profond de moi, mes peines passées s'étaient envolées, toute cette tristesse qui m'occupait , s'evaporait près d'elle. Comme un agneau j'étais redevenu doux, posé mais méfiant, j'avais cette crainte d'aimer, de recommencer à aimer, de finir par aimer, et chaque soir mes craintes remontaient au pic , les douleurs de notre séparation journalière m'affectait, je recommençais à penser à elle et tout mon envie était de repartir vers elle . Face au destin croisé, entre crainte d'aimer à nouveau et crainte d'être encore briser, j'avais porté chapeau, le manque à perdre, l'ironie ou le doute, j'étais confiant, décidé à livrer cette goutte qui consomme mon sang, à étaler tous ses sentiments qui me rendent plus faible . Près d'elle, comme d'habitude attentionnée, et délicate sur la gestion de son aspect, qui au delà de son sourire évasif ne laisse ressortir aucune déduction de sa situation , je m'en laça. Comme face aux Limans, entouré da sa forêt corporelle, j'avais les bêtes aux corps, mes mots se mélangeaient dans la bouche, aucune de mes phrases n'avaient cohérence, j'étais palpable, succombé par un amour apparu Soudainement, extrapole dégagait ses nuées, c'était plus profond je redevenais calme et son visage immobile se resserrait, un sentiment se dessinait. Je voyais quelque chose de nouveau en elle, une rareté qui affectait mon être depuis fort longtemps. Malgré tout mon dévolu et ce temps passé , jamais j'avais eu a réussi à déchiffrer l'unique émotion ou ressenti dégagé par elle. Mais Lequel? Toute la était l'étendue de ma pensée, c'était tout nouveau, en une seule poche de pensées croisées, tout se mélangeait, l'impact d'un miracle ou la fin d'un rêve?? Puis d'un ton connu d'avant, comme au noir d'avant, ce retentissement de tonalité me rappelant celui de mon éternité, je consultais chaque battement de mot et la concordance et la correspondance entre les rythmes se ressemblaient, je me blessais dans mon foi, je comprenais oreilles bouchées les mêmes mots qui ont gâché ma vie, ces mêmes parodies lentes, poignantes, longeant avec lenteur tout le prisme de mon coeur, ça devenait mordant, tuant, le parfum du dégoût, j'étais la entrain de retomber dans le sombre qui avait tué ma vie, mon éternité, j'étais comme un psychopathe, retournant mon cerveau de tous les côtés , sachant nulLe destination, nulle conscience, je me connaissais plus, je voulais mourir, j'ai réalisé la que je venais de perdre mon changement, mon nouveau espoir.
•Je me suis recroquevillé sur mon être , perché sur ma chaise, bizarrement cette fois ci, tout était noir, vide, sans sentiment, je me sentais faible sans m'inquiéter, mort sans me gêner, tout était plutôt simple a ce moment là , rien de particulier, penché sur l'écureuil je regardais les grenouilles dansées sur moi, les oiseaux me rendormir , et tout était simple. La vie et la mort j'en ignorais différence, présent ou passé je vivais éternel. 2 brises coeurs qui m'ont tué âme, esprit ,corps éternité, changement , espoir. J'avais tout perdu et je regardais défilé les saisons, l'été et son beau temps que j'aimais pas, le printemps et son calme que j'aimais pas, l'automne et sa lumière que j'aimais pas , l'hiver et son froid glacial que j'aimais pas, j'aimais rien , je détestais rien, je savais rien, j'étais la , figé, roman dans le coeur , déception dans les mains. Espoir dans le vent, désespoir dans le ventre, c'était effroyable de voir un gentleman plein de vie , aimant la vie , plein d'humour, dégagé , attentionné , beau , s'effondrer comme une bougie allumée, mourir comme une rose usée, ah la rose , la rose, et son parfum peut être là se trouvait l'ultime chance qui m'accablait, surement l'unique rareté que j'ai su apprécier , elle me procurait, malgré qu'elle restait fané, cet amour qui me faisait de Temps à autre , grimacé , scintillé, je me reconnais dans cet astre, du jovial à l'épuisement, oui c'est cette rose qui me qualifiait, j'ai compris mieux pourquoi j'étais si attiré par cette fleur qui me rappelait mon histoire et ma triste réalité, c'est incroyable ce que je réclame la mais c'est une réalité, la rose m'a sauvé. J'ai recommencé à aller au plante , seule caché dans les fleurs, me laver du parfum des roses, rose d'or , rose verte, aucune préférence, j'aimais tout se qui se refoulait de la. J'ai un peu plus recommencé à reprendre goût à la vie , et aujourd'hui toi je t'es , tu es ma délivrance, ma rose. Si je te perds je m'en remettrai pas. Tu m'as enlevé au delà du croyable, tu m'as changé, redonné espoir à la vie et chaque fois que je suis près de toi , je me sens à l'aise, presque comme dans un paradis cloué au ciel, l'amour qui s'évade , l'amour qui règne. Fermé comme des siamois, inséparable je nous ressens. J'avais tout perdu , tu m'as tout redonné, j'aimerais par retomber dans mes entrailles, car en toi je vis moi, et en moi je te ressens toi, toi tu es pour moi ce que ce que je veux de toi , et sans toi je perdrai moi, reste pour moi, je te veux toi, tu es ma vie , je veux pas te perdre, tu m'as remis en vie, tu es mon espoir, tu es ma vie, je t'aime profondément 𝓶𝔂 𝓤𝓷𝓬𝓸𝓷𝓭𝓲𝓽𝓲𝓸𝓷𝓪𝓵 𝓵𝓸𝓿𝓮 ❤️🩹.
VOUS LISEZ
AMOUR & SOUFFRANCE !
PoetryAprès avoir vécu plusieurs relations tant amical que amoureuse et toujours sorti brisé, j'ai découvert que je ne pouvais me libérer de cette douleur en défoulant mes peines par des écrits ! Chaque titre correspond à un sentiment et une période préci...