Je me rappelle encore de ce jour crucial, ce jour où je t'es rencontré, ce jour fabuleux où au devant de mes yeux la clarté de ton soleil m'apparut. Du naturel au pire tu hurlais ta beauté, sur des angles cachés on voyait dans un bain de lumiere tes magnifiques yeux scintillantes , et simplement tes sourcils dessinaient un éclat de sainteté et le regard dans une expression de timidité et de méfiance conjuguée se balançait sur ton visage. Tu y étais la, vraiment, à ma portée avaçant par de petits pas très lents qui fesait de tes moindres gestes une forme de carriture issue des eaux comme cette spéciale cigogne amorphe dans ses airs frais qui annoncent la venue du printemps. Les débuts difficiles à la base d'un défi personnel était le scénario d'une aventure qui s'annonçait passionnante et frémissante. Et figé blocus dans l'élan de ma portée, je tomba sur l'explosivité de ton indifférence, ce sentiment qui me rendait fragile, impuissant se posait sur tes attitudes, tu tenais une distance considérable entre mes paroles et mes actes, efforcer en vain à percer ton mystère, ta résistance veineuse me mettait au trépas de mes plus profondes addictions. Dans mes imaginations perpétuelles, je me retrouvais coincer entre doute et envie, entre peine et prière, peine de captiver à tes yeux mes légères attentions, prière de voir mes attentions combattre tes innattentions. En toi vivais ce talent précieux de m'isoler de toi, manifester cette volonté de ne jamais t'ouvrir à moi, d'isser cette haute barrière entre nous deux , bloquer toute pénétration de l'infirme de mes sentiments qui s'eguise pour angloutir ton coeur, de l'infirme pensée qui essaye de s'échapper de mes contours didactiques. Des jours, pris dans l'allure de mon destin, ma sincérité s'étouffe dans mes rêves, je me roule, je me tord, je me torture, dans ces rêves je me sens fort, je me sens heureux, car la au moins s'évit que du bonheur, s'illustre que des joies refoulées par mon subsconcient, car la au moins je te vois m'aimer et non pensez m'aimer. Mais hélas la réalité me rattrape, et la Je me relève toujours en hiver calcinée par le climat, vrais et par ce froid impur et haineux que mon Amour innofensif et irreciproque m'inflige, suffisamment épuisé de combattre mon esprit de croire à ces rêves hors limite. Mais bizarrement malgré souffrance et désespoir j'ai cette phobie de voir ces maigres joies s'envoler, cette peur de plus voir ma vie sourrit, mais au delà de tout ça , ma passion démésurée à ton égard me force à m'asseoir sur les désirs de cette misérable position. D'autres je vois en toi du nouveau, je ressens quelque chose de pas normal presque irréel, cette légère attention à mon égard qui grimpe des pentes, tu te laisses emporter par l'intuition de tes quoique foulées, pour des maigres instants mon quotidien s'illumine et je vois naître de plus près un semblant ou faux semblant d'admiration pour moi, ces affections rares et incertaines se lit dans tes paroles et je vole au plus loin , je m'échappe dans les airs emporté par cet adrénaline rêveuse que tu créé en moi , et de ce moment de flottement ou tu te libère, je me plonge dans toi, j'essaye de te décrypter au plus profond, de ton toi et de ton toi même j'ise des entrées, mais comme toujours dans grande muraille remonte en surface, tu redeviens bizarre, recoquevrillé en toi, toute cette pression grandissante et nourissante de mes espoirs baisse et je revois sur le champ de bataille tes armes sur le front de guerre qui me pointe et m'empêche d'avancer et mes enjambées se meurent, exténué par l'attitude que tu réapparaît en toi comme un chasseur qui tise ses propres pièges et dont le seul but est d'empêcher le lièvre dit traversé. Une fois de plus un refus repoussant de me laisser croire à ce que tu qualifies par tes écrits de pure imagination, imaginations que je voudrais vivre comme réalité. De quoi réellement as tu peur? Peur de tomber amoureuse de moi ou peur de tomber follement amoureuse de moi? Maintenant tu es très loin de moi, à des kilomètres de moi, il me reste juste ce parfum de ce fameux jour que tu m'avais laisser, malgré tout ça Je vois toujours cette joie dans nos causeries, je te rend heureuse et chaque jour l'espoir de la création d'une passion folle malgré la distance m'inonde l'esprit, je nous vois au ciel la terre promettant le meilleur pour le pire, un amour fleur parfumant nos quotidiens, je t'aimerai à la rose et le bleu des nuages s'inclinera à nos devants. Je veux ce monde ou on laissera exploser nos sentiments, loin très loin dans les montagnes, regardant passer les saisons , au feu brûlant nos corps siamois, des jours là où le temps cesse d'avancer, ou rien ne passe , et je voudrais ça pour le restant de nos vies, pour couronner l'histoire d'une aventure mal emportée.
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AMOUR & SOUFFRANCE !
PoetryAprès avoir vécu plusieurs relations tant amical que amoureuse et toujours sorti brisé, j'ai découvert que je ne pouvais me libérer de cette douleur en défoulant mes peines par des écrits ! Chaque titre correspond à un sentiment et une période préci...