Vie irrévocablement condamnable , d'une gestion faible des péripéties , je retombe dans l'absolu désir de te revivre. Je dégrade une faiblesse dans mes sentiments , sentiments replongeant son être vers toi. D'un rythme vibrant sur les cadences de l'amour , j'ai cloué raison dans cadenas affectueux , affections qui portent éloge à ton égard et qui selon vraisemblance à perdu sa réciprocité. Le géant lion heureux que ta présence me promulguant bonheur s'est transformé à un agneau triste , orphelin d'amour qui réalise des cauchemars incessants chaque nuit , moi me voyant comme au bon vieux temps , près de toi laissant la chaleur de tes cheveux m'hydrater le corps , laissant tes lèvres mouillées mon corps , laissant tes caresses rendrent immobile mes sens, moi oui moi suis redevenu un zéro près de -1 ou que de 0. J'ai pour longtemps de tes cantiques apaiser mon cœur du chagrin de l'amour invincible et non serviable de mes détracteurs , j'ai pour longtemps user ton charme pour rendre jaloux et faire taire les débats , avec toi , tout était rose , un mélange dangereux entre désir et risque , désir dédié à toujours t'aimer , risque mortel de te perdre. Pendant longtemps tu m'as rendu heureux et en peu de temps j'ai su être heureux et de si proche j'ai vu l'immensité des bonheurs multiples qui chaviraient en moi , comme dans une science fiction , tes actions sont devenues des sensations et en sensations mes fictions plongeaient en action. De l'Ignorance incarnée qui déclinait de ton visage , déclarait en témoin du cœur fort et limpide que tu pouvais cacher , tous s'inclinaient , tu es véritablement une déesse. Cette image de nausée devant ta beauté me propulsait dans un monde vide où je défoulais tous les fantasmes que pouvais refouler mon esprit. J'ai perdu la lumière qui scintillait dans mes yeux et l'éclat rayonnant que j'offrais à mon publique proche. Et assis chaque hiver près de la bergère je vis une absence qui réchauffe mon cœur , des illusions permanents te voyant revenir à mes côtés , tout ça accompagné et cordonné aux cris affamés des bêtes qui réclament ta chaleur, ton parfum , seul constituant pouvant relever l'absolu éclat du climat. Je garde en permanence les séquelles lourds qui se révèlent dans mes moments durs, dans les dures séquences de ma vie où je peine à sourire , où je peine à penser à d'autre que toi , où je peine à t'oublier. Les plus grands soupires affamés qui révoltent une non cohérence dans l'agencement de mes joies rares se canalisent par la disparition d'une affection que tu m'offrait , ce qui créa une anecdote phare qui ouvre une répétition infinie des mêmes journées à vides d'émotions joyeuses mais plus de chagrin et une rétrospective imminent de finir chaque jour malheureux et en longueur de soirée égarré et incapable de retrouver sommeil. Je garde ce maigre espoir que tu me reviennes, aussi tôt que tu sois partie , aussi vite que tu sois rapidement venue , et de ces hyperboles je retrouve rage et courage d'y croire , croire à l'invisible , croire au superficiel , mais du fond du cœur une bougie brille toujours. Dans mes plus lointaines pensées , j'irai reconquérir ton cœur pour me permettre de revivre sans la crainte d'être esclave d'un destin perdu dans les horizons tristes d'un amour qui a perdu son éternité. Pourrais tu me revenir et m'aimer comme autre fois ? Pourrions-nous à nouveau former un ? Me rendra tu mon cœur et ma faculté d'aimer si cela n'était possible ? Pourrais je alors à nous aimer après ? Telle sont mes dernières interrogations avant la fermeture de mes paupières !
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AMOUR & SOUFFRANCE !
PuisiAprès avoir vécu plusieurs relations tant amical que amoureuse et toujours sorti brisé, j'ai découvert que je ne pouvais me libérer de cette douleur en défoulant mes peines par des écrits ! Chaque titre correspond à un sentiment et une période préci...