La plénitude est l'univers obscure dans lequel ton manque m'a captivé, de ses états démunis au soleil du levant je me retrouve au plus profond coeur de ma sollitude. J'ai l'addiction d'un fauve qui rève de ton retour, mais aussi loin porte ma vue, l'espoir disparait. Mon attitude égarée est l'étendue claire du vide que ton absence me laisse, mais incapable de réagir mon coeur se meurt. Raison et pensée se jouent de moi, je pense à ma raison et ma raison pense à sa raison: tout devient sombre et la souffrance au bout de mes paupières témoignent de la détresse qui occupe ma vie sans toi. Des jours entiers passés assis sur un infirme brin d'espoir, un espoir qui nourrit autant de compassion que la passion que je te porte. J'assois mon inconscient sur la vérité, et les brébis d'un doute idiot se fond en larme quand la réalité s'ouvre: tu es réelement loin physiquement que spirituelement de moi. Incapable de creer un changement, je noie mes soucis au fond du vase, du plus bas je vois les petits piments de la douleur picoter mon être et cela me rend encore plus faible. Je te repense en plus beau, sur un portrait géant, tout à fait somptueuse tu étales ce sentiment de reconfort et de confort pour moi, visant à sécher mes larmes, visant à mouiller ma joie, mais la famine de ton absence est décidement incommensurable. Des nuits où je peine à trouver sommeil, j'écoute les chants du griot, je danse sur les murmures des oiseaux, mais le ciel ne se ferme guère. Ayant somnolé la nuit, le jour redevient nuit, la nuit devient jour, le ciel toujours ne se ferme guère: Ça devient insupportable. La notion du temps s'est isolé de ma conscience et le voyage de ma vie traine au trépas des illusions, je me retrouve plus et l'espace de mon regard est plus proche de ma vision du lendemain. J'ai submergé mes étés dans le froid, et mes hivers dans la chaleur: c'est incensé mais de ton amour l'image de la normalité s'en est aller , j'ai hurlé pendant mes instants de calme, j'ai pleuré quand notre amour défilait en beauté. Penser de toi est devenue raison de vivre et de torture d'âme en même temps. Que faire? Equation avec inconnue double entre dilemme de te rèver et engagement pour survivre. Durement abbatu, le film de ma vie arrive t'il à sa fin? Où le désespoir sera absorbé dans l'érosion d'un bonheur irréel de ton retour impossible? Pour le moment je continue à cultiver ses épines de ma passion. Promise envers toi, et de mer en océan je verserai énergie et détermination de te revoir en réel, près de ma chair, près de mes émotions, pour couronner l'expertise d'un amour à vie et sacré, je vivrais, je resisterais, yeux ouverts attendant ton retour, pour renover mon existence, pour poursuivre mon existence, pour arracher ma délivrance, car vivre sans futur c'est accepter d'oublier son passé, ce passé qui fut merveilleux de tous sens à tes cotés. Reviens moi et juste pour moi.
VOUS LISEZ
AMOUR & SOUFFRANCE !
PoésieAprès avoir vécu plusieurs relations tant amical que amoureuse et toujours sorti brisé, j'ai découvert que je ne pouvais me libérer de cette douleur en défoulant mes peines par des écrits ! Chaque titre correspond à un sentiment et une période préci...