SAD REALITY OF WK

68 2 0
                                    

Impossible est une absurdité qui devrait être condamnable. Mis sur une table de ma vision, j'y aurai sans cachette déguster moison et poison sans banale crainte, véritable était ma conviction sur la non existence de ce fléau qu'on appelle « AMOUR». Cette bétise croyante et dogmatique de brebis faibles amusait mon sourire , je m'amusait à rompre en partie les partitions aveugles qui canalisaient et aveuglaient mes semblables, en fait là se portait mon idéologie. Gentleman au regard foudroyant, amortie d'un fort charisme , j'illustrais le mannequin modèle que j'osais croire être ; Fringué à mort et maudit par le malheur des poches, chaque pas de ma silhouette rejetait une forte bouffée de parfum qui rendrait n'importe quelle femme malade d'attirance. Désireux de faire de moi cet être assoiffé de plaisir quotidien , l'amour était selon ma conception réelle , dit une hyperbole qui portait ses fruits juste dans des cauchemars sans raison noble. Aimer était selon moi trop jeune pour moi et cette demeuré fascination mensongère nourrissait l'espoir pour le futur des autres bref ce à quoi je croyais fortement et aveuglément. J'avais juste cette infirme désir de m'amuser au fil des saisons, d'aventure sans intérêt , vers un avenir sans futur. Mon présent glorieux m'inondait la chair et aucune compassion , ni sensation me dévorait l'éthique d'une dévotion saine, je gagnais du terrain dans ce déluge d'intérêt amusant et amusement ,  avec ces êtres sans valeur qu'on caractérise de femme. Mais l'histoire me rattrapa, le fil se coupa, un soir bizarre, avec du soleil pauvre qui balbutait des fines éclairs, j'étais croqué sur la température ambiante, et soudain dépassé par mon ombre, tu m'apparus. Simple , l'été frappait sur ta délicatesse , lent de regard tu frappais sans force et volonté mon prisme visionnant, tu étais la plus belle chose qui croisait ma vie et face à ton rayon, mes paupières renforçaient la lumière scintillante que j'avais apparu auparavant . Ce fine sourire qui dissipait la saveur de ton visage, je n'y croyais pas mais face à ce spectre naturel , j'abbatais tout effort de résistance . Au beau début il s'agissait pour moi juste d'une simple question de bonjour réponds-moi , l'ampleur que prenait le « toujours » envahissait l'énigme qui se demeurra en longueur des vies une question de regarde moi . J'étais accro à toi, et je ne manquais aucune opportunité de venir contempler ton royaume , et puis pris dans le fracas, ma flamme pour toi se déclara simplement et librement . J'installais en moi un sentiment inconnu, et irrésistible que je pouvais contenir, c'était si nouveau que des nuits , la conscience torturait mon repos. Je commençais à réaliser que je t'aimais, instinct que j'efforçais à me mentir , mais le degré était au paroxysme. Soudain et sans prédiction j'étais devenu un amoureux sans limite , sans frontière , j'ai connu l'amour . Un jour embrumé par la volonté de te revoir tu n'étais plus là, tu étais loin. Où?? Je ne sais pas , et ce mal être me plongea dans un autre brouillard plus extreme " la dépression". Réveillé tôt face à l'état de ma vie, depuis ta disparition , je me retrouve là, anéanti , fermé dans un destin de survie quotidien, égaré dans une prison émotionnelle. Entre désillusion et peine, je ne saurais réellement d'écrire l'image de ma vie, je ne saurais expliquer l'enfer de ma vie. J'ai perdu face à une créature , tout goût de vivre et cette arrogance qui enrichissait mon être . Ce phénomène que j'ignorais me cause des dépressions sans relâche et je perds toute notion de temps, d'espace et contraint au délit de combat je sombre à répétition dans une saveur amorphe et amère de supporter mes souffrance. Cette mélancolie triste qui s'accapare de mes journées, bat ses mélodies nocives dans mes nuits, je me réveille sur des séries de cauchemars, te réalisant, sur un portrait de bonheur, dégustant toute ta saveur , te réalisant sur toute forme de scène où passion et amour frappent tous leurs ailes. Je nous voient traversant les étés glacées , les hivers chauds, laissant sur les voiles de l'attirance s'exprimer le langage de nos corps. Sur les Alaska , s'éparpillés nos esprits sur les chants des oiseaux , où le temps cesse d'exister . Mais la réalité sur ce tambour de fiction cesse de s'exprimer quand subitement mon subconscient revient de ses délires, je retombe dans ma paranoïa , je retombe dans mes interminables journées infinis sables, quand réellement me reviendras tu? Outre que dans mes pensées et mes rêves.

AMOUR & SOUFFRANCE !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant