Cette histoire se déroule sur deux jours consécutifs. Notre icône peut être douce, aimable, mais cette fois-ci, les bornes avaient été dépassées. Alors accrochez vous, et ressentez pleinement la colère de la toute puissante déesse du lycée *********(censuré pour protéger l'anonymat de l'heroine).
Le début du cette rage commence en physique chimie, O joie. Dans cette matière pour le moins barbante, l'icône et ses camarades ne font imposer leurs places, et la reine du bahut se retrouve donc a chaque fois à coté des gueux.
ce jour là ne fit pas exception, et la belle fut placée a coté d'un partisan de la cour de son chevalier. Ce partisan ( qui n'est même pas assez important pour que je lui accorde un nom de pastille) essayait beaucoup d'interagir avec notre icône, et tenta pour cela de faire une approche, en parlant du beau brun qui la faisait tourner en bourrique depuis le début de cette histoire.
Il lui posa la question suivante.
"Tu étais toute seule en français la dernière fois, pourquoi n'est tu pas venue a coté de moi ?"
Elle répondit assez sèchement que c'était justement par ce que c'était lui qu'elle n'était pas venue, irritée qu'il se permette la familiarité de la tutoyer.
Le partisan ajouté, d'un ton conspirateur, qu'il connaissait une autre personne qui aurait été contente de s'assoir a coté d'elle.
la gêne envahit l'icône. Au fond d'elle, elle savait la réponse. Mais pour entretenir son image naïve et mystérieuse, elle demanda innocemment de qui il parlait.
Vous vous en doutez cher lecteur, ce bel inconnu était bien évidemment Vee, en personne.
Devenant rouge et encore plus gênée, si possible il y a, elle répliqua avec une phrase qui revient souvent dans cette histoire:
"Mais arrêtez Wsh, vous n'êtes pas drôles"
Cela ne fut visiblement pas suffisamment explicite pour le partisan, qui enchaina avec cette phrase:
"Il aurait bien aimé, mais il l'a pas fait de peur de passer pour un forceur."
Je pense qu'il est important de faire un point sur l'état mental de l'icône a ce moment là de l'histoire. Tout d'abord, elle est confuse. Est-ce vrai ? Est-ce une blague ? On se fiche d'elle depuis le début, devrait-elle prendre ce récit au sérieux ?
Cette dernière continua de lui dire " Mais arrêtez Wsh, c'est vraiment pas drôle", mais le partisan de la cour continu, en disant cette fois ci une phrase qui mit la beauté dans tout ses états.
Il dit :" Très bien dans ce cas, je n'ai qu'a dire au beau brun que c'est a lui de faire le premier pas !"
Réaction de panique du coté de l'icône, qui lui répète qu'elle n'a jamais dit ça, et qu'il ne devait en aucun cas lui dire !
Il lui dit alors que dans ce cas,il avait juste a dire à vee qu'elle avait un mec, ce que l'icône très lasse acquiesça distraitement. Mais le partisan de la cour du brun surenchérit, en disant:
"J'ai qu'a dire que c'est Vee, ton mec..."
l'icône est, une fois de plus, confuse, perplexe, exaspérée, au bord... du gouffre...
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Après une nuit de sommeil réparateur (ou pas) peuplé de remises en questions, de réflexions sur la vie, le Vee, la mort et beaucoup d'autres choses, l'icône attaque une autre journée a la tête du lycée.
Ce fameux jour arriva.
Oui, je parle bien de ce vendredi... ou ile fameux vendredi 12...
L'icône attendait dans un couloir quand une de ses amies, Pastille au nom de famille douteux, qui n'était évidement pas aussi magnifique qu'elle, mais pas aussi méprisable que le bas peuple, s'avança et accosta l'icône.
Et là, au milieu de ce couloir, au milieu de la plèbe, elle demanda a l'icône si elle voulais, je cite, "pécho le beau brun"...
L'icône, plus qu'irritée par la situation, répliqua "Non mais c'est sérieux là ?!".
Ce a quoi Pastille au nom de famille douteux répondit qu'elle se posait la question car elle avait l'air gênée.
Mais évidement qu'elle était gênée, car OUI, c'était gênant de la part de Pastille Stan de lui demander au milieu d'un COULOIR ce qu'elle pensait de Vee ! TOUT ÉTAIT GÊNANT !
S'en était trop pour elle.
Elle n'en pouvais plus. Elle contacta alors son gang, sa cour royale pour demander des conseils sur la conduite a adopter et évacuer son trop plein de mal être.
Et c'est après une séance de conseils auprès de son gang qu'elle prit la décision de ne plus être le dindon de la farce.
La morale est la suivante: Give up on your dreams and die
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L'histoire d'une icône (one shots)
Short StorySuivez l'histoire d'une heroine attachiante dans des aventures palpitantes.