Chapitre 4: Le Troisième Wagon

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Nda:pense = italique

Tout ce que Harry pouvait dire à propos de la semaine était qu'elle avait été extrêmement fastidieuse. Malgré la petite victoire qu'il ressentait envers Tom Riddle, Tom ne s'approchait pas de lui. Finalement Harry avait passer ses dernières semaines à l'orphelinat et grâce aux enfants il ne s'était pas laissé mourir d'ennui avec tout le se question qu'il lui posait.
Harry voyait parfois son camarade de classe secouer la tête, jugeant sa proximité avec les petits.
Il ne pouvait cependant pas dire que l'orphelinat était incroyable. Il y avait des garçons de son âge qui agissaient occasionnellement de manière discriminatoire envers lui, soit parce qu'il traînait avec Riddle et par conséquent il  était " un monstre" ou parce qu'il était populaire auprès des jeunes enfants.

"qu'est-ce sa fais de se faire abandonné par ses parents? Ah, c'est vrai ils sont mort." , lls rirent et l'instant d'après devinrent rouges de fureur face à l'absence totale de réaction d'Harry. Maintenant, le garçon avait enduré Dudley et ses amis assez longtemps pour apprendre à ne pas se soucier des gamins stupides. De plus sa maturité était plus proche de vingt ans que de quinze. Il se devait de démontrer la différence de maturité.
Si d'une part partager une chambre avec Tom lui valait une certaine offense, d'autre part c'était tout simplement incroyable. Les orphelins
plus âgés avaient la mauvaise habitude d'attaquer les autres, mais Harry était complètement exempt de coups de poing et de coups de pied parce que la renommée de Tom
l'entourait comme une cape protectrice, même à distance. C'était ironique pour le brun de penser
qu'il était protégé par le futur Seigneur des Tenebres, bien qu'inconsciemment.

Ce n'est que jeudi qu'il a finalement eu des nouvelles intéressantes.
Il était tôt le matin lorsque Mme Cole
frappa à la porte de la chambre, passant sa tête ronde dans l'entre baillement de la porte et disant d'une voix claire et basse, mais sans sa voix acide habituelle:

"Parker, un homme de votre école
est venu vous voir."
Harry changea rapidement, alors que le regard de Cole était à nouveau remplacé par la porte fermée, enlevant son pyjama au-dessus de
sa tête et mettant ses vêtements noirs
et légèrement usés qu'il avait reçus. Il attacha sa baguette à la ceinture de son pantalon et la couvrit avec l'ourlet de sa chemise au cas où quelque chose n'irait pas. En , quittant la
pièce, il trouva la matrone qui attendait trop patiemment. Elle s'engagea dans les couloirs en
acajou sombre.

La plupart des orphelins, y compris leur colocataire se reposaient en ce matin froid, le voyage se fit donc dans un silence complet. Harry eut le temps de réfléchir et sa tête finirait par réfléchir sur la façon dont il traiterait un jeune Dumbledore vivant devant lui après si longtemps
sans voir les yeux en demi-lune familiers et les yeux bleus du réalisateur.
Malheureusement pour Harry, I'homme qui se tenait délibérément dans la sale de réunion, vêtu d'un costume bien repassé et bien ajusté,
n'était pas tout à fait celui qu'il attendait.

«M. Parker,» dit l'homme en voyant le visage froissé et légèrement déçu du garçon. "Comment allez-vous ?"demanda l'homme.

Harry remarqua que Mme Cole se faufilait hors de la porte,  les laissant tout les deux seuls dans la pièce . Le brun ne se souvenait pas de l'avoir vue agir si poliment avant, pas même
devant les policiers. Mais, en fait, il pouvait sentir l'aura importante que l'homme à la cravate imposait au petit espace.

"Je vais bien, monsieur". Harry s'assit dans la chaise en bois, faisant face à la table bancale, essayant de cacher son désarroi poignant alors qu'il regardait l'homme étrange s'asseoir dans la
chaise plus confortable de l'autre côté.

"J'imagine que vous êtes  ici pour parler d'école?" dit Harry

"Oui oui biensûr. Mais pas seulement ça." L'homme agita la main, verrouillant la porte de manière audible.

Pour la première fois (en Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant