Chapitre 3:La Lettre

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Nda: italique =les pensées
Italique gras= la lettre.

Harry devait se lever tôt le matin. Non pas qu'il dornmait beaucoup, après tout son coeur ne laissait pas son corps se reposer , battant beaucoup trop vite pour être considéré comme sain. Ses yeux l'avais gratter toute la nuit, devenant rouges et douloureux, ce qui lui donnait un air triste, comme si il avait passé sa nuit à pleurer alors que se n'était pas le cas. Au moins sa renforçait la triste histoire de la perte de ses parents.

En revanche, Tom Riddle avait parfaitement bien dormi. Il s'était réveillée tôt, jetant un simple coup d'oeil à Harry, apparemment ne se
souciant pas de l'apparence fatiguée de l'autre et lui disant de s'habiller parce qu'ils allaient aux chemins de traverse.

Harry était content de la perspective d'acheter enfin les choses dont il aurait besoin pour enfin retourner à Poudlard. Vivre dans l'orphelinat était certainement mieux que de vivre avec son oncle et sa tante, mais rien ne remplacerait la chaleur accueillante de l'école de sorcellerie.
Le garçon attendait calmement dans son lit, regardant attentivement la pièce dans laquelle il se trouvait. C'était la même pièce qu'il avait vu dans la mémoire de Dumbledore, avec le même meuble en acajou sombre qui avait pris feu, la même
fenêtre qui reflétait le temps gris de
dehors et le même fauteuil inconfortable et usé dans le coin.
Son esprit était encore trop occupé à
essayer de traiter tout ce qui s'était passé. Parfois, le garçon pensait clairement qu'il était dans un rêve ou un cauchemar, et parfois son
esprit flirtait même avec l'idée qu'il avait été tué. il y a longtemps dans la forêt interdite et que d'une manière ou d'une autre Merlin l'avait
considéré indigne d'aller au ciel. Donc, dans sa tête, il était clair que le maître des magiciens l'avait mis dans une souffrance éternelle, là où il aurait à supporter Tom Riddle pendant très, très longtemps. Bien sûr, dans l'impossibilité de
savoir s'il vivait une réalité ou une illusion, il finit simplement par accepté qu'il n'avait pas d'autres choix que de s'adapter à sa nouvelle situation et essayé de ne pas trop paniquer. Le bruit de la porte
l'interrompit dans ses pensées. Après une douche chaude qui lui détendit tous les muscles et il s'habilla avec
des vêtements empruntés, on ne sait pas où. Puis il rejoignit Tom devant l'entrée de l'orphelinat.

Harry et Tom ont quitté l'orphelinat, avec l'accord de Mme Cole et se son dirigée vers le chemin de traverse .
Si le brun à lunettes s'attendait à un
Tom Riddle animé et bavard, il se trompait. Les garçons échangèrent à peine un mot en chemin
et Harry ne put s'empêcher de se souvenir que Dumbledore avait dit que Riddle était polie et aimable.

« Honnêtement, il ne me semble pas très agréable. » Pensa-t-il, se demandant comment tout le monde à Poudlard était tombé sous le charme du garçon à côté de lui.

Il entendit la voix de Tom que lorsqu'ils atteignirent finalement Gringotts, après avoir traversé le
chaudron baveur et traverser une partie du chemin de travers coincée dans ses pensées. II n'avait pas d'autre choix que de parler au gobelin qui
les assistait.

"Harry Parker." dit il d'une voix grave, quand le gobelin se demanda ce qu'ils voulaient là-bas et qui ils étaient.

"La clef ! " demanda le gobelin.

"Accès à la banque de Poudlard"
répondit Calmement Tom.

"Première fois." demanda le gobelin.
Et à ce moment, le regard du gobelin tomba sur Harry. Un sourire effrayant s'échappa de ses lèvres, déchirant la peau laide et ridée et faisant
courir des frissons le long de la colonne vertébrale du garçon.

"Harry, alors. Parker? Intéressant, très intéressant. Je ne pensais pas que j'allais trouver quelqu'un d'aussi simple ici." Le sourire effrayant
était toujours très présent alors que le gobelin disait ça.

Pour la première fois (en Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant