Après cette première cam avec JC, nous prenons l'habitude de nous connecter plusieurs fois par semaine, principalement en soirée afin de parler de nos fantasmes respectifs. Jean-Christophe me pose beaucoup de questions sur mes réactions vis-à-vis de ses envies qu'il me décrit de plus en plus précisément. Je rentre bien volontiers dans son jeu en « forçant un peu » sur mon goût immodéré pour les tenues et en particulier les costumes cravates. Les séances se terminent souvent de la même façon. La bosse dans son pantalon est tellement forte qu'il me demande s'il peut sortir son sexe qu'il décrit comme « tendu au maximum ». J'accepte bien volontiers. Il descend alors doucement la braguette de son pantalon et, souvent assis devant la cam, sort son organe qu'il aime lâcher d'un coup, pour bien me montrer l'état de tension dans lequel cette conversation l'a mis.
Je suis stupéfait de la beauté de son sexe : parfaitement droit, il n'est pas très long mais d'une belle largeur. Le gland est toujours décalotté et laisse paraître le sillon selon des lignes parfaites. Sur la hampe, on devine une veine assez appuyée et légèrement gonflée. Il me demande alors s'il peut sortir ses couilles. Cette attitude de sa part est très excitante car c'est comme s'il me demandait à chaque fois l'autorisation. Je commence à comprendre que pour lui, cette étape décuple son plaisir. Il est « aux ordres » devant moi. Parfois je fais des commentaires sur sa queue : « elle est vraiment belle ». Il me répond alors sans détour : « tu trouves ? Je ne la trouve pas très grande. » Ses doutes m'excitent et je continue ce jeu implicite entre nous.
- Montre là davantage dans la lumière.
Il tourne alors la lampe de bureau directement sur son sexe qui se met à briller.
- Comme ça, c'est mieux ?
- Oui parfait, approche un peu le gland que je vois le trou.
Jean-Christophe approche son gland de la cam et je devine la plupart du temps une ou deux gouttes de liquide pré spermatique perler au sommet de son organe. Je m'imagine en train de la lécher. Cela doit être délicieusement salé.
- Tu mouilles je me trompe.
- Oui ça m'excite beaucoup.
- Mets-toi debout les mains sur la tête.
La séance se poursuit souvent par des positions que je lui fais prendre : à genoux, debout de face ou de profil. JC est tellement excité que la mouille se fait de plus en plus abondante. Son sexe palpite et expulse doucement ce nectar que je lui demande périodiquement d'étaler sur son gland.
Au bout de 15 à 20 minutes je décide de le « terminer » en le faisant jouir. Parfois je lui demande de se mettre torse nu mais je sens qu'il n'apprécie pas plus que ça. Son vrai plaisir est d'éjaculer sur sa chemise blanche, le sexe plaqué contre son ventre, assis sur sa chaise ou allongé par terre. Il émet alors de puissants jets de sperme qui parfois s'abattent sur son visage.
Chaque soir avant notre séance nous discutons un peu et je lui demande de me donner ses impressions de la séance d'avant. Je sens qu'il aurait vraiment envie que l'on se rencontre mais je ne force pas. Nous envisageons de nous retrouver en pleine nature car chez moi ou chez lui c'est impossible. Il me demande de lui décrire ce qu'il se passerait. Je lui réponds en lui décrivant souvent un scénario. Il m'avoue qu'aucun garçon ne lui a encore touché la queue. Rien que cette sensation serait incroyable pour lui. Il me parle aussi de fantasmes où je serais dominant et où je l'utiliserais comme un objet. Il faudrait pour cela un endroit fermé où je serais caché. Il arriverait alors en tenue d'hôtellerie : je l'attraperais par surprise et le forcerais à me sucer après lui avoir sorti la queue de son pantalon. Chose étrange : il me demande jamais de sortir et de montrer mon sexe. Comme si la surprise faisait partie de son fantasme.
Nous nous mettons d'accord pour se retrouver ce week-end dans un endroit, au bord d'une petite route de campagne. Nous verrons bien.
VOUS LISEZ
46 fragments d'inintimité
Non-FictionCe récit que je présentrais en plusieurs épisodes raconte mes rencontres avec 46 garçons qui ont tous fait parti de ma part d'"inintimité". Rencontres clandestines car il fallait que je me cache, tout est vrai. Les évènements se sont déroulés sur t...