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Elle avait à peine franchie la porte d'entrée qu'on y entendait les cris provenant de celle-ci.
Elles ne perdus pas de temps et fi directement demi-tour.
La voici maintenant,se trimbalent d'avenue en avenue.
Elle ne va pas se perdre,elle connais le quatorzième comme sa poche ayant vécu toute son enfance dans cette zone elle y connaît pratiquement chaque recoins.
Elle regardait, comme à son habitude le monde autour tel un chef-d'œuvre, elle à toujours trouvé cette vie anormal complexe trop,trop...
Elle n'avait pas le mot.
Mais elle l'admirait.
Les individus,la regardaient d'un regard éffrayant,c'est vrai qu'une femme assise sur le rebord d'un pont pourrait donnait l'air d'un signal de détresse.
Une femme est même venue l'aborder lui proposant son aide.
Elle ne répondit rien à la femme et descendue du rebord, traversa la route du pont jusqu'à arriver dans un parc.
Nonchalant disons t'ont d'elle.
Elle n'aime juste pas s'exprimer face aux personnes qu'elle ne connait pas.
Alors,elle gardait se visage soyeux doux et imperméable où aucune émotion ni dégage.
La neutralité à l'état pur.
Sur le chemin du retour,elle entendit des cris et des reniflements provenant du Casino du coin.
De nature pas curieuse,elle continua sa route jusqu'à entendre son prénom.
Il s'agissait tout simplement de son amie qui se jeta en larmes dans ses bras.
Elle savait déjà qui était la source de c'est pleure.
- Noréla ? Regarde moi.
La jeune femme releva le visage,un Coquard à l'oeil Et les lèvre enflées.
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Elle la regarda,dormir la face emplie de bandages.
Saouda,ne comprenait toujours pas.
Pour qu'elle raison son amie ne le quittait pas,encore une soirée de plus où elle venait la rendre visite pleine de blessures.
Il la détruit à petit feux.
Elle avait beau essayer de raisonner son amie mais rien n'y fessait.
Il est tout pour moi disait t'elle.
Elle est même allée jusqu'à cette homme en question mais sans d'espoir.
Noréla lui avait même fait la tête jusqu'à deux semaines.
Ce qu'elle ignorait,c'est que cette amour destructeur pourrait même l'amener jusqu'à sa tombe.
Ah l'amour un sentiment à en faire même aveuglé les consciences.
