2. Retrouvée [~]

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J'ai écrit cette nouvelle il y a assez longtemps, mais elle a toujours été sur mon compte donc la revoilà... (désolée pour les fautes j'ai un petit peu la flemme de corriger...)

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Ma respiration se coupe sous le choc. Ma tête a heurté le sol beaucoup trop violemment et rapidement à mon goût. Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits que sa main se pose déjà sur ma taille. Quel salaud ! Je viens de me fracasser par terre, et lui ne pense qu'à me souiller. Je me relève malgré mon horrible mal de tête et me dégage de son emprise. Je titube et il en profite pour me prendre par l'épaule et se coller à moi. Je fais une petite grimace de dégoût et le repousse. Je m'éloigne en direction de couloirs plus fréquentés, où il n'osera pas essayer de.... Je ne préfère pas y penser. Je sens alors une main qui saisi mon poignet. C'est encore Anthony et il est plus entreprenant que d'habitude, ce qui me fait peur... Sans que j'ai le temps de réagir, il me plaque contre le mur et retiens fermement mes mains au dessus de ma tête.

— Tu ne vas pas regretter ce moment chérie crois-moi !

Sa phrase à peine finie, ce con plaque sa bouche sur la mienne, et cherche l'accès avec sa langue. Je ne me laisse pas faire et serre les dents. Voyant que ça ne marche pas, il me lâche une main pour ne me tenir que de l'autre et profite de sa nouvelle liberté pour déboutonner à une main les premiers boutons de mon chemisier. J'ouvre la bouche pour crier mais il me coupe en s'emparant à nouveau de mes lèvres. Je ferme les yeux et me débat comme une folle mais mon agresseur est trop fort et je sens que ses mains arrivent aux derniers boutons.... Ce qui signifie qu'il peut voir mes seins. Enfin, pas en entier, car ils sont un minimum cachés par mon soutien gorge. J'ouvre les yeux pour voir la tête qu'il fait... Ses yeux noirs profonds me fixent.... D'une tête de pervers !!!!! *rage intérieure* Sa bouche descend alors embrasser mon cou, puis le haut de mon buste. Je sens ses cheveux parfaitement laqués sur ma peau nue, et je frissonne. Je ferme les yeux de peur et attends. Anthony continue toujours de déboutonner mon chemisier, et de me lécher dans le cou. Ses mains me retiennent encore, et son bassin est collé au mien, si bien que je peux sentir sa bosse contre mon bas ventre. Le dernier bouton de mon haut tombe alors et Anthony attrape à pleines mains mon sein gauche, encore caché par le soutien gorge. Il malaxe doucement en guettant ma réaction de ses diaboliques yeux noirs et je ne peux m'empêcher de gémir, d'abord de douleur, puis de contentement. Des larmes de colère perlent à mes yeux, alors que je réalise que je me fais souiller par un con. La rage explose dans mon corps et je hurle. Mon pied part tout seul et rentre avec violence dans ses bijoux de famille. Anthony me lâche et pousse un hurlement digne de Tarzan. Je récupère mon chemisier par terre et tape un sprint dans le couloir. Arrivée au bout, je remets sans perdre de temps mon haut, réajuste ma coiffure et retourne vers ma chambre.

Arrivée sur mon lit, je m'effondre en pleurs et appelle mes parents, pour leur dire que je veux changer d'université à cause d'un harcèlement scolaire. Mes parents ne demandent pas tout de suite les raisons, mais je sais que ça ne saurais tarder et qu'il va falloir que je leur mente...

~~A very long moment later ~~

Cela fait 2 ans que cette histoire m'est arrivée et je ne saurais dire si je m'en suis remise. Depuis, j'ai déménagé dans une autre ville, direction une nouvelle université et une nouvelle vie. Je vis désormais avec Luka, un homme incroyable qui me comble. Demain, c'est mon anniversaire et je vais fêter mes 20 ans. Comme c'est un jour important, mes amis ont organisé une fête, dans un bar pas loin de chez moi.

~~Pendant la fête~~

Tous les invités sont là. La musique tonne a travers les enceintes du bar et je me déhanche sur des airs de Beyoncé. Je me sens vivante, accompagnée de tous mes amis et proches. Je ne rêverais pas mieux comme anniversaire. La sonnette retentit alors et je fais signe à tout le monde de ne pas s'arrêter de danser, que je vais ouvrir.

Je me dirige vers la porte d'entrée et ouvre. Je découvre avec surprise un jeune homme brun, aux cheveux bien coiffés et aux yeux sombres profonds.... Trop profonds... La terreur se mêle à ma surprise et je me fige en encaissant la dure réalité. Anthony sourit et s'exclame :

— Bon anniversaire Lise !!!

RecueilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant