⁉️Où est-il ?⁉️

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Pdv: kaeya

Je me réveilla vers huit heures, mangea et me prépara pour mes missions de reconnaissance prévues à dix heures.

-Alors, nourriture, c'est bon, arme, c'est bon aussi. Je crois que j'ai tout ce qu'il me faut.

À dix heures je partir du QG et me mis en route. C'est parti !
J'avais trois camps de Brutocollinus à faire tomber. Une simple routine pour le grand chevalier que je suis !

Je me mis en chemin vers le premier camp. Il se trouvait à environ 1200 m Au nord de Mondstadt. Une fois sur place, je dégaina mon épée et le combat commença. En moins de cinq minutes, il ne restait plus aucune trace d'un quelconque campement. Il ne restait que des débris de tours éparpillés par ci par là.

-Et de un plus que deux !
Dis-je à voix haute comme pour me donner du courage pour affronter cette nouvelle journée qui s'annonçait ennuyante.

Le deuxième camp se trouvait non loin du temple du faucon. Je mis environ dix minutes à rejoindre ce deuxième camp. Il ne me posa aucun problème particulier, à part qu'un mage de l'Abîme avait tenter de me barrer la route. Je me débarrassa de lui en moins de deux.

Le troisième et dernier camp était le plus éloigné des trois, il se trouvait à la frontière entre Mondstadt et Liyue. Je mis un certain temps à le trouver car il était caché parmis des rochers ainsi que des buissons dans une petite clairière.
Quand je m'approcha du camp cinq Brutocollinus me sautèrent dessus. Malgré ça je n'eu aucun mal à les exterminer. Mais pendant que je détruisais la première tour, un mage de l'Abîme Pyro apparut. C'était bien ma veine, les Pyros sont les seuls qui me posent des difficultés. Évidemment quand on oppose la glace et le feu c'est souvent le feu qui l'emporte.
Mais ce n'est qu'un petit mage de pacotille, je suis certain de pouvoir m'en sortir !

Soudain un autre pointa le bout de son nez, puis un autre, et un autre. Au final, ils étaient dix ! Dix mages de l'Abîme et tous Pyros ! Comment vais-je bien pouvoir m'en sortir tout seul ! Déjà deux je suis en galère maximale, alors dix ! Ce qui est sûr, c'est que je n'en sortirais pas indemne. Je regarda de tous côtés pour trouver quelque chose qui me serait d'une quelconque utilité, sans rien dénicher d'intéressant. Alors je pris une grande inspiration et fonça sur l'un des mages. Il esquiva mon attaque et répliqua en m'envoyant des flammes en plein dans le visage. Je tenta d'utiliser mon élément pour parer son attaque mais les flammes firent fondre la glace et mon magnifique visage sentit le roussi. Soudain un autre mage me sauta dessus par derrière et me fit tomber à la renverse. Je me débattit avec force et finit par me dégager, mais je n'eu pas le temps de me relever que deux autres mages me tombèrent dessus.

J'essaya de me relever mais ils me plaquaient au sol et m'enpêchaient de bouger. Un mage s'approcha alors de moi. Ce devait être le chef de la bande, car il semblait bien plus puissant que les autres. Il me toisa d'un air conquérant et dit:

-Alors, qu'est ce que ça fait de se faire battre par une poignée de petits mages ?

Je ne répondit rien et il continua d'un ton arrogant et triste à la fois:

-Apparement tu es le chevalier le plus performant de Mondstadt. Je m'attendais à ce que tu n'ai aucun mal à te débarrasser de nous. Je suis vraiment déçu.

Il poursuivit mais cette fois il avait un air manipulateur et un peu fou:

-Maintenant je vais te tuer pour que les chevaliers de l'ordre de Favonius sachent que moi, le grand Luxus, je suis le plus puissant et que je prendrais bientôt le contrôle de la ville sous votre nez. Dans trois jours je règnerais sur Mondstadt !

Il partit d'un rire démoniaque qui me donna la chair de poule. Puis il prit une épée et me transperça le ventre. Une douleur aigue me traversa et je poussa un long hurlement de douleur. Il commença à tourner l'épée dans ma blessure ce qui m'arracha un nouveau cri. Puis il l'enfonça jusqu'à ce qu'elle ressorte dans mon dos, ce qui me fit me tordre de douleur.

Les mages s'en allèrent en suivant leur chef et en me laissant seul avec une épée dans l'abdomen, agonisant.
Je poussait des plaintes aiguës, pressure inaudibles. Que quelqu'un me vienne en aide. Au secours ! Je ne peut pas finir comme ça ! Et il faut que je les préviennes qu'il y aura une attaque aux portes de Mondstadt dans trois jours. Non, je ne peut pas mourir, pas maintenant qu'ils on besoin de moi !
Malgré tous mes efforts je ne parvins pas à me relever. Alors j'essaya de ramper en direction de Mondstadt. L'épée dans mon abdomen ralentissait ma pénible progression, et à chaque centimètre qui me rapprochait de Mondstadt, la douleur était plus grande.

-Il faut que j'y arrive...,pour tout le monde..., les habitants de Mondstadt..., Jean..., Lisa..., et pour diluc.

Soudain mes pensées se dirigèrent vers lui, et je repensa à se que nous avions partagé la veille. C'est alors que je me dis que j'aurai bien aimé revoir une dernière fois ses yeux. Et je m'evannoui, face contre terre, le bras tendu vers la ville.

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Pdv: diluc

Mais, où est-il ?
Normalement c'est le premier à arriver à la taverne. D'habitude il arrive même dix minutes avant l'ouverture. Comme je suis un bon gars, je le laisse pas poireauter dehors et on discute un peu avant qu'il ne redevienne saoul et qu'il n'ai plus l'esprit bien en place.

Ça fait maintenant déjà une heure que j'ai ouvert et je ne vois toujours pas de capitaine de l'ordre de Favonius à l'horizon. Ce n'est plus possible, il doit lui être arrivé quelque chose, même si il avait décidé d'arrêter l'alcool, ça ne se fait pas du jour au lendemain ! Je décida de me rendre au QG de l'ordre pour voir si il avait eu une ou deux mission qui l'avait retenu. Je demanda à mon second de me remplacer au bar et sortit de mon établissement. Dehors, les rues étaient désertes et silencieuses. Je me glissa dans la nuit tel une ombre, sans un bruit. Une fois devant le QG je toqua à la grande porte, mais comme je mis attendais personne ne répondit. Je tenta de pousser la porte, et, miracle, elle était ouverte !
Je me dirigea vers le bureau de kaeya, mais il était vide. Je décida alors de fouiller un peu pour trouver quelque chose qui me dirait pourquoi il avait soudainement disparu. J'ouvris quelques tiroirs et trouva une lampe torche, des missions pour la semaine suivante et une photo. Sur cette photo apparaissait le visage aux traits fins et doux d'une belle jeune femme dans la fleur de l'âge. Elle portait une robe noire simple, mais qui lui allait très bien et qui faisait ressortir ses pommettes saillantes. Je retourna la photo et au dos, de l'écriture si raffinée de kaeya était écrits ses mots :
Ma fleur noire.
Je manqua de m'étouffer avec ma salive en lisant ces mots. Kaeya avait une copine ! Le grand, ténébreux et si mystérieux kaeya avait une petite amie !
Je remis la photo dans son tiroir et décida de voir si Jean pouvait me dire où il était. Je toqua à son bureau et une voix lasse me répondit :
Entrez !
J'entris et découvris une grande maîtresse totalement surbookée, croulant sous les avis de recherches, les contrats, les factures et les missions.
Quand elle vit que c'était moi qui avait frappé, elle se redressa, souffla un grand coup et me demanda en souriant :
-Qu'est-ce qui vous amène capitaine ?

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Hello les gens,
Deuxième chapitre enfin terminé. Il est un peu plus long que le précédent mais j'espère qu'il vous plaira quand même. Sur ce Ciao les gens et bonne lecture !

Une Erreur (kaeluc)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant