Tu es venue, tu étais belle, tellement belle, tu souriais et je ne pouvais détacher mes yeux de ton visage, je ne pouvais détacher mes yeux des tiens, de ton sourire que j'aime tant.
Tout au long de la journée, en étant à tes côtés je me suis sentie en confiance, je me sentais belle, parce que tu me disais que tu me trouvais belle, pour une fois je ne me suis pas détesté et c'est grâce à toi.
Mais lorsque je me suis retrouvé seule dans ma chambre, que je me suis regarder et que je me suis rappelé de ta beauté, j'ai eu l'impression de me faner, de mourir, j'ai eu mal, mal de ton absence, mal de mon manque de confiance.
Je me suis trouvé moche, grosse, pas assez bien. J'aurais tant aimé que tu sois à mes côtés pour m'aider, mais tu n'étais pas là, tu n'étais plus là, j'ai ressentie ton manque seulement 20 minutes après t'avoir quittée, ça m'a fait peur, ça me fait peur.Tu t'es confié à moi, j'en ai été incapable, je voulais juste entendre le son de ta voix, je ne voulais plus que tu t'arrêtes de parler, j'ai peur.
Et si ça foire, j'ai tendance à toujours tout faire foirer, si je te fais du mal, si tu me fais du mal ? Comment on va faire ?Tu sais, j'ai eu envie de t'embrasser aujourd'hui, quand on était sur le banc, je ne sais pas si tu as ressentie pareil que moi, mais j'étais follement attiré par tes yeux, par tes lèvres. Mais je ne pouvais pas, j'avais peur que tu me repousses, j'avais peur d'aller trop vite.
De nombreuses fois j'ai eu terriblement envie de te toucher, de prendre ta main dans la mienne ou même juste de te frôler, mais j'ai eu peur encore une fois.
Et si en fait j'étais en train de m'emballer, et si toi tu n'avais pas ressentie tout ça.
J'ai envie de te revoir, encore et encore, mais on peut pas, il ne le faut pas, je foire toujours tout.
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de l'eau salé sur les joues
Poetryun peu de larme sur du papier blanc recueil de mes pensées et quelques histoires inventées de la poésie à l'état pur mon journal intime en quelque sorte