En travers de mon chemin

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Hanaé en média.

Pdv Gu

On se plaça aux extrémités du terrain face à face.

Hanaé : je trouve que tu te la pètes vachement.

Gu : je te demande pardon ?!

Hanaé : tu débarques comme ça après plusieurs jours et tout le monde te saute dans les bras.

Gu : ahhhh je vois... en fait t'es jalouse.

Elle éclata d'un rire cristallin.

Hanaé : moi ? Jalouse de toi ?
Laisse moi rire...
Tu n'as rien à envier.
M'enfin, on en rediscutera quand je t'aurais battu.

Gu : c'est ce qu'on verra.

La pouf courut vers moi en sortant des griffes de ses mains et tenta de me blesser.

J'esquivais avec facilité.

Je pourrais la tuer la maintenant si je le désirais.
Elle a tellement une mauvaise défense que ce serait si facile.
Si simple de...

Je repris mes esprits quand elle me flanqua un coup de poing dans la mâchoire.

Je sorti de ma torpeur et décida de sérieusement lui péter la gueule.

Des morceaux du sol s'arrachairent et foncèrent en direction de la métamorphe.
La roche s'écrasa sur sa sale face de thon.

Elle eut du mal à ce relever.

Je suis sûre que si je perfectionnais cette alter je pourrais contrôler le corp humain.

En attendant Hanaé c'était relever et fonçait à nouveau sur moi.

Comme précédemment des débris lui tombèrent dessus et elle fini enseveli.

Gu : ce combat est d'un ennuis mortel.

Folle de rage Hanaé se transforma en réel panthère.
Ses mouvements étaient plus rapides et inattendus.

Elle m'entaillais plusieurs fois la peau avant de me mordre juste à côté de la jugulaire.

Je tombais à genoux une main sur la morsure.
La plaie dégoulinait de sang et une vive douleur me lança.

Hanaé me regardait avec un sourire victorieux sur le visage.

Aizawa : bon je pense que Hanaé a-

Je lui laissa pas le temps de finir que je fis un baptême de l'air à la nouvelle.
Je l'éleva à plusieurs mètres de hauteur dans le projet de la projeter contre les murs mais Aizawa coupa mon alter.
La nouvelle fit une chute libre et vint s'écraser sur le sol.

Un bruit de craquement retentit.

Un silence pesant plana quelques secondes avant qu'un immense cri de douleur retentit des cordes vocales de Hanaé.

Aizawa se précipita à son chevet ainsi que quelques élèves.

Je portais ma main à ma nuque et grimaça face à la douleur.

En détournant les yeux je croisais ceux de katsuki.

Pour la première fois je vis dans son regard... du dégoût.

°•°•°•°•°•°•°•°

Les profs ont dû débattre pendant de longues heures pour ne pas me virer à cause des plaintes de la famille de Hanaé.

Il a été déclaré que je puisse rester à condition de porter des bracelets anti-alters.

Malgré tout je fini par ne plus y aller de mon plein gré.

ReversOù les histoires vivent. Découvrez maintenant