Pluie de larmes

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Pdv Gu

On courut dans les couloirs pour atteindre l'internat quand un élève nous arrêta.

- hey c'est toi sur la photo nan ?
Beaux nichons ! Ton copain a pas trop la rage que tout le monde les aient vus ?

Katsuki : nan parce que je suis le seul à pouvoir les toucher, contrairement à vous.

Il me prit dans ses bras et sprinta jusqu'à sa chambre.

Une fois à l'intérieur il me plaqua contre la porte pour m'embrasser avec envie.

Katsuki : ça m'avait manqué...
Tu m'avais manqué...

Je lui souris.

Katsuki : tu es la seule qui compte à mes yeux.
Bon dieu Gu Agari qu'est-ce que tu m'as fait ?!

On se regardait longtemps jusqu'à ce qu'il m'emmène sur le lit.

Il s'allongeait sur le lit et je m'assis sur son bassin.
Je bougeais les hanches sur lui jusqu'à ce qu'il vienne m'embrasser avec fougue.

Je lui retirais son haut et il en fit de même avec le miens.

Il retira mon bas tout en embrassant ma cuisse.

On se retrouva en sous-vêtements l'un contre l'autre a s'embrasser encore et encore.

Toc toc

Merde !

Kirishima : oï bakugo je peux rentrer ?

Le blond rabattit la couette sur nous pour que je sois caché contre lui, seul son buste à lui dépassait.

Kirishima : tu pourrais répondre quand je t'appelle mec !
Qu'est-ce que tu fous à poil ?!

Katsuki : pas tes affaires !
Qu'est-ce que tu veux ?!

Kirishima : Hanaé te cherche.
Ça a l'air sérieux.

Katsuki : m'en fou !

Kirishima : mais mec-

A ce moment là je glissais et tombais du lit en sous-vêtements devant les yeux écarquillés de kirishima.

Kirishima : je comprend mieux maintenant...

Katsuki se leva et me pris dans ses bras, sans doute pour me cacher du rouge.

Katsuki : sort !

Kirishima : wow relax je sais que c'est ta copine détends toi.

Il sorti en soufflant nous plongeant dans le silence.

Katsuki : mes parents sont pas là ce week-end, on serait tranquille pour...tu vois ?

Gu : oui faisons ça j'ai pas envie que tout le lycée débarque.

On fini quand même par se mettre dans le lit mais on ne fit que s'embrasser et se câliner.
Je m'endormi dans les bras réconfortants de mon chéri.

Le lendemain je m'habillais à moitié pour aller dans ma chambre voisine à celle de katsuki.

En sortant je vis Hanaé choqué de me voir sortir à moitié à poil de la chambre du blond.

Gu : salut la nouvelle !

Je rentra vite avant qu'elle pique une crise.

Après ça je l'entendit pousser un grognement de rage.

Rigolant de son malheur je me préparais.

°•°•°•°•°•°•°

Le week-end, enfin !

ReversOù les histoires vivent. Découvrez maintenant