My brother is Niall Horan 3

CHAPITRE 7 « Qu'est-ce tu fous là, sale chienne !? »

PDV Stéphanie

J'avais enfin fini de monter cet immense escalier et je me trouvais désormais à l'étage du dessus, avec une seule idée en tête : découvrir ce qui peut bien se cacher à cet étage !

L'étage du dessus était exactement comme son chemin, son entrée; poussièreux, sale et encombrant.

Il y avait une pièce, avec un énorme cadenas, bloquant l'accès à la pièce, et malheureusement c'était la seule pièce de l'etage.

Je souffla d'exaspération, me sentant tout d'un coup vaincu par un simple mais immense cadenas.

Mais qui a-t-il dans cette fichu pièce pour y bloquer l'accès avec tant de chose !? D'abord il faut trouver cet immense escalier qui est, je peux vous dires, extrêmement bien camoufler dans le décor, surement dans un coin pomer de la maison, sans compter qu'il faut être incroyablement douer pour monter ces putain de marches cassées et sales en tout coin. Sans compter le fait que l'escalier, tellement vieux, pourrait s'effondré d'une minute à l'autre, sans crier gard. Puis maintenant, il y a un énorme cadenas tout rouiller qui bloque l'accès à la seule pièce de l'étage ! Mais bon sang on est dans un film d'horreur ou d'aventures ou quoi !?

Cette journée est de plus en plus fatigante bon sang !

Je continua malgré mon exaspération à contempler l'étage minuscule dans lequel je me trouvais.

À ma gauche, une petite fenêtre se trouvait, laissant normalement passer la lumière du jour, mais celle-ci était barrée par de grosses planches de bois, comme si la personne qui à créer cet étage, volatile garder secret et dans une atmosphère terrifiante. Il n'y avait aucune lampe ou ne serait-ce qu'une petite bougie pour éclairer un minimum l'espace. Il faisait complètement sombre, l'étage était complètement lugubre et terrifiant.

Il ne manquerait plus qu'à mettre de vieux animaux empaillés au mur et de peindre les murs avec du sang...

Les gens ont vraiment de drôles de goûts pour laisser une pièce dans un pareil désordre...

En face de moi, une porte en bois, comme ronger par des ermites sur les bords et très humides à la fois, donnée accès à la pièce que j'espérais tant découvrir, mais celle-ci étant barrer par un gros cadenas, il m'en était absolument impossible.

Le sol était fait d'un plancher, tout aussi poussièreux que les marches d'escaliers. Les murs n'étaient même pas visibles, tellement la pièce était sombre et lugubre.

Je fouilla dans mes poches de devant, puis dans celle de derrière, dans l'espoir d'y trouvait mon phone. Et merde ! Je ne l'ai pas sur moi, étant donner que ce ne sont même pas mes vétements. C'est surement une question d'habitude !

Je m'avança donc, un peu à l'aveugle vers la porte en face de moi, et m'abaissa en face du gros cadenas.

Je plaça mes mains à chaque êtrémitées de celui-ci et tira de toutes mes forces. Peut-être allait-il céder ? Il était tellement rouiller et vieux qu'il aurait très bien se fissures en mille morceaux.

Mais à mon plus grand malheur, il était peut-être vieux, poussièreux, rouiller...Il ne cédait pas. Il résistait, même si je tirais de toutes mes forces.

Je fis plusieurs tentatives, sans réussirent pourtant à l'enlever de cette putain de porte ou à l'ouvrir ! Si j'avais une broche, j'aurai surement essayer de faire comme dans les films, inserrait la broche à l'intérieur et je j'aurai tourner un peu dans tout les sens pour faire déclencher le déclic. Mais je ne suis pas dans un film mais dans la vrai vie.

J'allais taper du pied la porte pour tenter de la faire céder, quand je sentis une immense claque sur ma joue.

J'arrêta tout mouvements et me retourna lentement, ma joue étant en feu et certainement rouge, et mes yeux bleus embuaient de larmes.

Ma respiration se coupa alors, ma bouche s'entrouva légèrement, et mes yeux sortirent presque de leur orbites, mes mains commençant à trembler et à suer, ma gorge se nouant et mon sang ne faisant plus qu'un tour, se glaçant entièrement.

Kyle : Qu'est-ce tu fous là, sale chienne !?

Oh non...Je suis chopée.