Chapitre 8

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J'entre. La chambre qui se trouve devant moi est immense. Un grand lit sur la droite rempli presque tout l'espace. Une commande juste en face ou une télé est poser dessus habille la pièce assez sombre. Un grand dressing habillé le mur a ma droite et deux portes sont entre le lit. Simple mais classe. Je marche à pas feutré jusqu'à la bais vitrée de la terrasse de la chambre. Arrivé à celle-ci, je m'appuie contre la barrière en verre.

Moi: C'est un vrai labyrinthe ici !

Daryl: Tu t'y habituera va !

Moi: Tu te mélange pas à tes invités ?

Daryl: Je suis bien ici...

Moi: T'as le "contrôle" comme ça ?

Daryl: Tu mentirai si tu me disais que l'a vu n'ai pas satisfaisante !

Moi: Ta raison. Mais toi tu mentirai si tu disais que tu connais toutes les personnes présentes !

Daryl: Ta raison...

Moi: Tu bois quoi ?

Daryl: Du whisky écossais ma belle c'est pas pour toi !

Moi: Qu'est ce qui te fait dire sa ?

Daryl: C'est ton deuxième verre que tu t'envoie. Tu devrais te calmer. A se rythme je te laisse une heure max !

Moi: Je tiens super bien l'alcool je te signale !

Il rigole mais ne répond pas. Il se contente de prendre une nouvelle gorgé de son liquide ombré. Je le regarde attentivement. Il me regarde en levant un sourcil pendant qu'il avale se qu'il a dans la bouche. Je lui arrache presque son verre et goutte sa boisson. C'est vachement bon son truc ! Je fini le verre d'une traite et le lui rend d'un regard penaud. Il me sourit et part remplir a nouveau "notre" verre. Il prend une gorgée avant de me le rendre. Je le prends sans esiter. Le sourire au lèvres nous nous regardons. Je l'imite quelque seconde après avec le verre.

Il allume un cigarette et tire dessus. Il est vrai que je fume, mais je me contente d'une clope quand je suis stressée. Chose que je suis en sa présence, même si le silence qui est entre nous, n'a rien de gênant au contraire, il est relaxant. On a pas besoin de parler pour se comprendre. Il me tend sa clope et moi le verre. On rigole face à notre coordination.

Il me fixe quand je mets la cigarette entre mes lèvres. Je soutiens son regard. Il se rapproche de moi se qui colle mon dos contre la barrière. Je lui crache la fumée au visage en rigolant. Son regard quitte mes yeux pour passer sur mes lèvres. Mon poud s'accélère. Se mec me fait un effet je vous dit pas. De sa mains libre, il vient m'attraper la hanche comme si il avait peur que je parte alors que je suis plaqué entre lui et le verre.

Je n'ose plus parler, en même temps je crois bien que mes cordes vocales se sont fait la malle. Je passe ma langue sur mes lèvres comme pour les humidifier. Il sourit face à mon geste et fond dessus. Se baiser est passionné. Nos langues joue ensemble dans une danse endiablé, mouvementée. A bout de souffle on se libère, le regard toujours encré l'un a l'autre. Front contre front, nous reprenons notre respiration.

Dernier nous, la musique slow It donw de Kofi se fait entendre. J'adore cette chanson. Poussé dans un élan de folie je lui pose la question qui me trotte dans la tête.

Moi: Pourquoi t'es pas resté ?

Daryl: Je comprenais pas ce qui t'arrivais. J'ai paniqué...

Contente de sa réponse et de se que je lis dans ses yeux, je l'embrasse. Il me décolle de la barrière et vient me coller encore plus a lui. Se baiser témoigne de se qui nous habite. On est attiré l'un par l'autre même si le danger est plus que présent.

Un Ortega et une Maccini ( love Daryl)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant