𝘼𝙫𝙖𝙣𝙩-𝙥𝙧𝙤𝙥𝙤𝙨

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Le roman que vous vous apprêtez à lire est ce qu'on appelle un roman « dangereux ». J'ai décidé d'écrire, pour la première fois, quelque chose de complètement opposé à la romance, j'ai choisi le thème du suicide qui est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes après les accidents routiers. Aussi triste que cela puisse paraître, c'est la pure réalité.

Être suicidaire ou dépressif, ce n'est pas anodin. La vie n'est pas un cadeau, et parfois c'est compliqué de s'adapter à une société qui n'accepte pas « L'adolescence » telle qu'elle est. Stigmatisés, marginalisés, discriminés, ignorés et brutalisés, les jeunes d'aujourd'hui trouvent refuge soit dans la drogue, soit dans les romans, soit dans le peu d'espoir qui leur reste. D'autres succombent et laissent la tristesse les submerger, et ce monstre qui les dévore de l'intérieur prend le contrôle, le corps ne peut plus grand chose face à la décision drastique que prend le cerveau : il est temps de mettre fin à cette souffrance.

Cette idée est fausse, le suicide n'arrête pas la douleur, il la transmet juste à d'autres personnes plus proches.

Le titre de ce roman pourra vous paraître bizarre. Je m'explique : Nous savons tous comment employer un point virgule. Un auteur qui utilise un point virgule aurait pu terminer sa phrase, mais il la laisse en suspens, en quelque sorte, et choisit plutôt de continuer de s'étendre sur le même sujet.
Le point virgule n'est pas un caractère de ponctuation banal, c'est en réalité un signe d'espoir, la vie est cette phrase en suspens, l'auteur, c'est vous.

Puisse ce roman venir en aide aux personnes traversant des périodes critiques, et être là pour vous ouvrir les yeux sur cette facette cachée de la vie.

« La mort est la seule expérience de la vie qui ne se vit jamais. »

Lisez entre les lignes, que dieu vous garde.

Bien à vous, Lina Halim.

𝐏𝐎𝐈𝐍𝐓 𝐕𝐈𝐑𝐆𝐔𝐋𝐄 [ 𝙴𝙽 𝙲𝙾𝚄𝚁𝚂 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant