10-Ennemis, amis

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Sirius venait de déposer Victoria dans le seul lit de l'appartement, le lit anciennement conjugal.                                                                               

En bas Rosier regardait les livres posés sur l'étagère du salon, se demandant s'il devait, oui ou non, avoir honte de s'être laissé ainsi emporté devant deux autres personnes.

Il vota pour le non.

Il remit rapidement le livre sur les origines de Salazar Serpentard à sa place quand il en entendit les pas de Sirius dans les escaliers. Pas besoin de tendre une perche au Black qui n'en ratait jamais une pour le chambrer, se dit-il. Il se retournât sur lui-même pour apercevoir, appuyé sur la rambarde en bois, Sirius visiblement en pleine réflexion avec lui-même. Celui-ci inclinât légèrement la tête, sentant le regard sur lui.

-Rosier ?

Les deux hommes se regardèrent pendant quelques secondes, se demandant silencieusement si l'un voulait parler de ce qui venait de se passer. Tous les deux d'accord pour taire l'épisode qui venait de précéder il allèrent se servir à manger dans la cuisine.

Goinfres était sans aucun doute le mot adéquate, à croire que pleurer donnait faim...peut-être.                     
Les deux hommes finirent leurs assiettes sans un mot ni un regard l'un pour l'autre.                                                
Ils allèrent ensuite dans  le salon admirer le feu et s'endormirent sur les fauteuils gris, encore sans un mot.

Chapitre inintéressant et sans aucune importance pour le coup mais bon il était perdu dans mes notes word alors je me suis dit « pourquoi pas 🤷‍♀️ »
GIOVANA ☕️

ta dákrya mas épnixanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant