Les étoiles

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Chaque jours, je me rend au bar, pour travailler et gagner de quoi me nourrir. Et chaque jour, je vois Draco, dans un coin. On ne se parle pas. On est rien au regard de l'autre. Je fini ma journée. Je part à ma cabane et mange. Je fini par prendre un sac et de quoi avoir pour demain. Je ne passerai pas ma nuit dans ma cabane. Je part dans la forêt et me retrouve dans mon endroit secret. Je passe l'arc florale et pose mon sac. Un lac est au centre, permettant à la verdure d'avoir d'autres couleur. Je sort de quoi dormir et massoit. Je regarde les étoiles et la lune.

??: la pleine lune.
Moi: que fais tu ici?
Draco: la même chose que toi. Tu fugues aussi?

Je détourne mon regard vers le ciel. Il s'installe à côté de moi et attend patiemment ma réponse.

Moi: je n'ai plus de famille.
Draco: désolé pour toi.
Moi: ne t'inquiète pas.
Draco: et tu as quel âge?
Moi: 16 ans... toi?
Draco: idem... et tu n'es pas scolarisé?
Moi: non, l'héritage de mes parents sont partie cher leur parents. Je n'ai rien. Je dois donc bosser pour avoir de quoi acheter à manger.
Draco: c'est chiant.
Moi: parle moi de ce monde magique.
Draco:*rigole* mieux que tu ignores, mieux ça sera.
Moi: il se passe quelque chose de grave?
Draco: très. Tu vois les personnes maqués? Ce sont des partisans d'un mage noir. En ce moment il fait trembler le monde. Seul, le directeur de mon école et un de mes camarade peut le tuer.
Moi: qui c'est?
Draco: Harry Potter. Il a une cicatrice en forme d'éclair sur son front.

J'écarquille les yeux en me tournant vers lui.

Moi: je l'ai déjà rencontré. Lunettes et brun?
Draco: exact. Je veut que tout ce termine.
Moi: vraiment?
Draco: oui. Mes parents sont du coter noir. Moi, je n'ai pas le choix de suivre leur pas. Dans trois jours, je dois me rendre à mon école. Je ne reviendrai plus dans le bar.

Je souri doucement en reportant mon attention vers le ciel.

Draco: mon ancien prof doit être sous l'apparence de loup-garou.
Moi: dangereux?
Draco: non... enfin, si. Il n'est pas conscient de ses actes avec la lune.

Le vent doux cogne contre mes joues. Je décide de m'allonger en regardant ce qui s'offre à moi.

Moi: ça a l'air bien d'avoir de la magie dans le sang.
Draco: oui. Sûrement de ton point de vue. Moi, je veut juste par moment me réveiller et que tout ça soit un cauchemar. Ou alors, vivre dans votre monde.
Moi: mmh... les étoiles sont magnifiques, tu trouves pas?
Draco: très...
Moi: mes parents sont mort lors d'un incendie, avec mon frère. Le reste de ma famille n'est plus de cette ville. Ils sont loin. J'ai aussi perdu mes amis. Fin bref, la cata.
Draco: désoler.
Moi: c'est du passer. Ça va mieux maintenant. Toi, tu as vécu quoi?
Draco: perdu un membre de la famille, un camardes. Le retour du mage noir. Je fais partie de son côté. Bref... rien d'extraordinaire.
Moi: oh...
Draco: il y a deux ans, on ma métamorphosée en fouine. Je te dis, c'était une horreur.

Je me met à rire au éclat. Je le voix bien en fouine. Je reçois une tape sur mon épaule. Il veut que j'arrête de me foutre de sa gueule mais c'est plus fort que moi. Après une dizaines de minutes, je parvient à me calmer.

Draco: calmer?
Moi: ouai... Mais c'était plus fort que moi. Ça t'as traumatisé?*rigole*
Draco: EH! Arrête de te moquer et oui, traumatisant car on ma mis dans le pantalon de mon pote. Horrible.

Je me remet à rigoler de plus belle. Je reçois une autre tape mais c'est plus fort que moi. Je continue sous son regard meurtrier.

Draco: où tu vis?
Moi: dans une cabane.
Draco: et comment tu vis? Tu as de l'électricité, de quoi de réchauffé?
Moi: je n'ai rien mis à part de l'eau, un lit, et de quoi survivre.
Draco: donc, en hiver, tu peut crever de froid?
Moi: oui. Injuste, n'est-ce pas?
Draco: ouai.

Je fini par fermer les yeux, sentant une fatigue arriver.

Moi: bonne nuit.
Draco: bonne nuit.

Je fini par me placer correctement et essaye de me rendormir. En peut de temps, je suis transportée dans le monde de Morphée.

Le soleil me tape au visage. Je me redresse et regarde me paysage. Je frotte mes yeux, me recoiffer et regarde à coter. Il est endormi. Une vague traverse mon corps. Ce sentiment est étrange et surtout, inconnu. Je me lève et range mes affaires.

Draco: tu pars?
Moi: ça se voit pas?
Draco: tu n'es pas d'humeur le matin.
Moi: je pars travailler. A une prochaine.

Je me lance à travers la verdure. Une douce mélodie résonne dans ma tête, crée par les oiseaux. Je fini par me retrouver dans la ville. Une personne agrippe mon bras et m'emmène loin des regard. Je me retrouve coller contre le mur pour m'empêcher de m'enfuir. Il commence à faire une chose malsaine. Je me débat, pleure et cris mais personne ne me vient en aide. Après des minutes à me débattre, il se lâche et part. Je m'écroule, au bout du gouffre. Mes larmes ne font que de perler. Je me relève, remet les vêtements que le type ma enlever et part au bar. Je pose mes affaire sur le contour.

Ive: que ce passe-t-il?
Moi: je...je ne peux pas travailler.
Ive: je vois. Prend ton temps pour me le dire. D'accord?
Moi: oui.
Ive: a plus petite.
Moi: a plus, Ive.

Je sort et part d'un pas trainant vers ma cabane. Je prend de quoi ne pas être enceinte au passage car ce porc a comme pas utilisé de préservatif. Je part dans ma cabane. Je boit une gorgée d'eau et m'allonge dans mon lit. La solitude pointe le bout de son nez. Je me remet à pleurer pour ce qu'il c'est passer ce matin.

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1017 mots pour ce chapitre.

Je pense, mais je ne suis pas sûr, mais ce livre sera court. Après, faut voir. Voilà voilà.

Zoubi Zoubi.

Solitude devenue passerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant