Solitude devenue passer

Tu n'es plus seule

La porte fini par s'ouvrir. Je la regarde. Ses yeux sont rouges. Elle a le teint pâle comme neige. Elle est presque tremblante. Je décide de faire un geste que je ne fait que rarement. Je la prend dans mes bras. Je pose ma tête sur son épaule, enfouis mon visage dans le creux de son cou. Je ne la connais de quelque jours et pourtant, elle est plus importante que Pansy ou autre, que je connais depuis de nombreuse années. Je décide de me redresser et de la regarder.

Moi: Merlin soit louer. Ton patron s'inquiète pour toi. Et moi, quand je ne t'ai pas vue, j'ai décider de te chercher vois si t'allais bien.
TP: ça va.

Je la regarde de bas en haut. Une voix qui tremble, qui est presque souffler... Je dit qu'elle ment.

Moi: je peux entrer?

Elle se décale en hochant la tête. Je m'assoit sur son lit, bien confortable, ma foi et attend qu'elle vient.

TP: je n'ai pas de boisson à t'offrir.
Moi: ne t'inquiète pas. Je veux juste savoir, pourquoi tu es comme ça. Dit moi.

Elle souffle et s'assoit. Elle fini par se lancer dans son récit, qui me touche.

Pourquoi je m'inquiète tant pour elle?

Je fini par la prendre dans mes bras. Elle fini par laisser échapper quelque sanglots.

Moi: tu n'es plus seule, TP. Confie toi à ton patron. Il est sympa.
TP: je n'ai plus confiance au gens.
Moi: je sais que ça fait mal de subir un viole, mais tu n'es plus seule. Quand je serai à Poudlard, et quand je t'écrirai, tu me répond. Tu n'auras pas le choix.

Elle rigole doucement et fini par s'allonger.

TP: raconte moi comment est Poudlard.

Je me tourne vers elle et lui offre un sourire.

Moi: Poudlard est une école de sorcellerie. Tu apprend comment gérer la magie. Tu peux métamorphoser des objets, humains et j'en passe. On a des cours en soin des créatures magique. On peut concocter des potions. Il y a beaucoup de matières que je ne peux te les dire. Poudlard est un château. Il y a de nombreux étages. Au septième, on a une salle surdemande...

Plus je parlais de ce sujet, plus je voyais TP sourire et tomber dans les bras Morphée. Une fois que je suis sur qu'elle soit endormie, je me lève, fait un petit mot et sort. Je regarde au alentour et transplane dans le jardin. Je rentre et vois ma mère affolée.

Mère: te voilà. Tu aurais pu me prévenir que tu rentrerai tard.
Moi: tout va bien.
Mère: pour que tu sois longtemps dans un endroit, tu as été voir ta copine.
Moi: j'en ai pas.
Père: je te rappelle qu'il est promis à cette Greegrass.

Je fait une grimace de dégoût. Cette pot de colle fait pitier. Elle est avec moi pour faire son intéressante. Le pire, c'est qu'avec mon groupe d'amis, on a découvert que c'était une pute. La pute de Poudlard. Elle n'a pas un beau visage aussi. Ses cheveux, je n'en parle pas. Et sa tenue pour la soirée cher les serpy, trop vulgaire. Non, elle ne me mérite pas. TP, elle est plus intéressante. Sa vie dans le monde moldus m'intrigue de jours en jours.

Mère: tu as été voir Astoria?
Moi: non.
Mère: donc, tu as une copine?
Moi: non. Je suis aller me promener et me vider la tête.
Père: dans le monde moldus?

Je me raidit direct. Comment il le savait?

Père: ne crois pas que je te laisse partir comme ça sens qu'on est obliger de te surveiller. Une personne bien formaté te surveiller. Tu passe ton temps dans un bar, tu es aller dans une librairie. Et après, tu t'es volatilisé. Alors, la personne que j'ai employer est venu me raconter. Tu sais que je suis très déçu de toi? Franchement, Draco, tu déshonore ton sang et ta famille. Tu me déçois énormément. Vraiment. Que je te reprenne à te rendre la bas. Tu vas avoir une punition.
Mère: Lucius, ne soit pas si dure.
Père: et cette TP TN.
Moi: ne la mettez pas dans cette histoire.
Père: orpheline, travaille dans un bar. Est une pauvre fille. Ne connais rien à notre monde. C'est faite violé par un type. J'espère qu'elle a aimer mon cadeau. Elle ne fera plus partie de ce monde. La prochaine personne qui s'approche d'elle, ça sera pour la tuer.
Moi: ne la mettez pas dans cette histoire, père. Elle n'a rien fait. En ce qui concerne le viole, ce n'est pas un jouet. C'est une chose qu'elle peut dénoncer a des policiers et qui se chargeront de le mettre en prison. Ce sujet n'est pas un jouet.

Il se met à rire en prenant une autre gorgée de son whisky pur feu.

Père: tu as vue Narcissa, comment est ton fils? Il est complètement débile.
Mère: c'est aussi le tien.
Père: il ne l'est plus depuis qu'il fait honte au nom Malfoy. Sache une chose, accomplis ta mission que le maître a donner et tu remontes aussi dans mon estime, c'est claire?
Moi: bien, père.

Depuis qu'il a été évadé de prison, il y a peine une journée, il se font dans l'alcool et n'est plus le père que je connais. Je m'allonge dans mon lit, séchant mes larmes qui n'arrivent pas à stopper de couler.

Je ne veut pas devenir un meurtrier.

J'ai peur de mon avenir.

Je me retourne et retourne dans mon lit. Mes larmes continue de tomber. Je n'arrive pas à m'arrêter. Après des années à contenir mes larmes, je fini par exploser. Après tant d'années... Je veut qu'on me réconfort, qu'on me dit que tout va bien se passer. Je une personne qui me berce dans ses bras, me chantonnant une douce musique. Mais au lieu de ça, je n'ai personne.

Je me recroqueville en laissant les émotions sortir car ils sont bien trop puissant à contrôler. Je fini par sécher mes larmes et me lever. Je part prendre une petite douche et part dans mon armoire. Je fouille le sol de cette dernière et sort une boîte métallique. Personne ne connaît cette existence. Personne mis à part moi. Je l'ouvre et sort la petit peluche.

10 ans en arrière
Je regarde mon armoire et prend la boite que ma mamie ma offert. Je vide tout les biscuits, la nettoie et décide de mettre un tissus un l'intérieur et mon doudou en forme de hiboux. Je met un autre petit tissus en guise de couverture.

Moi: voilà, petit. Tu seras au chaud jusqu'à ce que je revienne.

Je sourit et referme la boit. Je ma met dans le fond du placard et met des vêtements dessus pour la recouvrir.

Face à ce souvenir, je me met à sourire. Je sort la peluche et me glisse dans mes draps. Je sert fort le hibou contre moi. Dans un murmure, je dit:

Moi: tu m'as manquer.

Et le sommeil m'emporte facilement, avec un petit sourire au coin de mon visage.

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Je crois ( j'en suis sûr) avoir salie certains gens dans ce chapitre. Enfin bref. Comment ça va?
Oui, je publie une semaine sur deux, et encore... C'est parce que, une semaine, je n'ai pas de co, l'autre, je l'ai. Fin bref, trop compliqué. Du coup, bas je m'amuse à écrire quand j'ai pas de wifi et publie les chapitres directement.

Bon, j'arrête de raconter ma vie. Je vous laisse avec la suite.

1173 mots.

Zoubi Zoubi