Solitude devenue passer

Changement

On est le jour J. Je dis que je rejoins Théodore et Blaise en ville et je part. Je marche dans les rues et je remarque les deux imbéciles. Je leur frappe l'épaule en les saluant, poliment.

Moi: alors, on y va?
Blaise: ouai! J'ai hâte!
Moi: mmh!

On transplane dans une rue puis on commence à marcher. On parle de ces moldus puis ça vire vite, sur TP. Je pousse la porte du bar et balaye, comme à mon habitude, le bar. Je m'installe sur un tabouret, face à la jeune fille. Mes amis font de même. Elle a les cheveux en chignon, mal fait. Une magnifique robe, rouge. Le teint rose. Elle est magnifique.

TP

Me sentant observer, je lève ma tête et le vois. Je me met à sourire quand je remarque qu'il est accompagné de deux personnes. Je range le verre sur l'étagère derrière moi et leur demande d'attendre quelques secondes. Je part prendre le plateau où Ive ma laisser emmener et reviens au près des trois garçons.

Moi: bonjour. Que voulez vous?
Draco: accueille chaleureux!
Moi: je me doit.

Le métisse chuchote à l'oreille du blond quand celui ci lui jette une regard noir.

Draco: TP, voici Théodore et Blaise. Les gars, voici TP.
Blaise: c'est toi!! Bordel! Mais tu es une bombe!
Theodore: ah!! Mais c'est pour ça qu'il parle dans son sommeil!!

Je me met à rire en le regardant frapper le crâne de ses deux amis. Entre temps, le blond a changer son teint qui vire au rose/rouge.

Moi: que voulez vous boire?
Draco: je ne sais pas. Tu as quoi à nous proposer?
Moi: je peux te mettre du ciseaux de banane-kiwi avec de la limonade.
Draco: on va essayer ça!

Je leur fait la boissons et leur met les verres face à eux.

Draco: tu as drôlement changer depuis la dernière fois.

Je me met à rire me souvenant de la dernière fois. J'étais dans un états pitoyables, pâle et en larmes. Pas une belle image avant de partir.

Moi: je sais. Ive a fini par me prendre sous son aile. Je vis cher lui, qui est au-dessus du bar. Vue que cette hiver, il y aura de nombreuses tempêtes, il sais dit que je serais sa petite protégée.
Draco: temps mieux.
Moi: je le connais depuis que j'ai quatorze ans.
Draco: longtemps.
Moi: exactement. Et toi, Poudlard?
Draco: ennuyeux. La routine quoi.
Théodore: il se retrouve avec des filles pitoyables de colle sur son dos, doit se tenir à carreaux pour son père, Bosse comme un fou.
Blaise: ce que je trouve louche, c'est qu'il a toutes les filles à ses pieds, et ne baise aucune. Moi, j'en profiterai.
Moi: sache que tu vas en souffrir si tu veux que du cul. Tu te retrouvera solitaire. A moin que tu veux devenir pute.

Draco tourne sa tête vers Théodore et éclate de rire. Blaise fait une tête déçue.

Moi: la vérité blesse. Sache, je n'ai pas essyer.
Blaise: il est encore puceaux alors qu...

Sa phrase se termine dans la main du blond. Il lui jette un regard noir et fini par se décaler.

Blaise: a moins qu'il le fait dans ses rêves...AÏE!

Draco venait de lui assommer une claque. Le métisse gémissait de douleurs. Je me met à rire. Théodore, lui, ne parle pas. Il se contente de me fixer. Je me sens extrêmement gêné.

Théodore: as tu un petit copain?
Moi: non.
Théodore: un penchant pour une personne?
Moi: non.
Draco: tu mens. Mais bon...
Moi: je vais prendre la commande des personnes qui viennent d'arriver.

Belle échappatoire, TP.
Merci.

Je prend mon calepin quand Ive me devance. Il prend la commande et fait le service. Je fini par retourner vers les gars, ou je peut tranquillement l'averse certains vers.

Après avoir fini leur boisson, les deux amis partent, et Draco reste.

Draco: fais attention à toi.
Moi: je te retourne la phrase.

Il sourit et me prend la main. Il me sourit et pose un baiser sur me dos. Je mord ma joue en sentant mes joues brûler.

Draco: a la prochaine, TP.
Moi: a la prochaine, Draco.

Il sort du bar et disparais dans les rues accompagné de Blaise et Théodore. Je fini ma journée et rentre dans la maison. Je prend un verre d'eau et le dirige sous la douche. L'eau chaude, à me brûler la peau me fait un bien fou. Mes muscles se détendent et les émotions retombent. J'ai revus Draco pour quelque minutes. Je suis heureuse mais d'un autre coter, c'est le grand vide. Il m'arrive souvent de ressentir des choses que je ne connais pas en sa présence. Et le fait que j'en ai parler à Ive, rien n'arrange.

Ive: je pense plus que tu es amoureuse.
Moi: je ne l'ai jamais été. Comment tu peux savoir?
Ive: ce que tu me décris la, ce sont les symptômes de l'amour. J'ai aimer une ravissante fille. Elle avait un prénom peut commun. On s'aimait mais le cancer qu'elle avait la emporter.

Je souffle, coupe l'eau et me prépare. Je fini par m'installer dans le canapé et le chat s'installe sur mes genoux. Il se met à ronronner sous les caresse et s'endort. Je met la télé et regarde ce qu'il y a d'intéressant.

Ive: bonsoir.
Moi: bonsoir.
Ive: ça va?
Moi: oui et toi?
Ive: nickel. Allons manger. Demain, repos.
Moi: cool.

Je sourit et me lève pour aller manger. Je m'assoit à la table et on discute de notre journée. Même si elle est presque commun, on se la partage. Ça fait du bien de parler.

Ive est le genre de gars sensible. Il est très ouvert et a tout les sujets. Il a aimer une fille dans sa vie et ils rêvaient d'avoir un enfant. Même si au début, on était distant, Ive a accepté, en quelque sorte adopter. Et franchement, ce gars est aussi un bon père. Avec le temps, on s'habitue et on est comme une sorte de famille. Bien sûr, quand il s'agit de travail, c'est une autre histoire.

Je lui dit bonne nuit et part dans ma chambre. Le chat me suis et se place sur son lit. Je commence à lire le livre et fini par être emporté dans les bras de Morphée.

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Voilà voilà, nouveau chapitre de fait avec 10554 mots
Zoubi Zoubi