Caresses

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Ses mains commence clairement à devenir baladeuses. Je les replace plus haut. Il me dévore des yeux.
- Tu sais que t'es beau...
Il s'avance vers moi. Je recule, quand je rencontre un mur. Il continue à s'approcher. Il retire son t-shirt et le jette dans un coin. Je me liquéfie. Il si... sexy. Sa beauté est indéniable. Je suis presque intimidé. On est très proche. Il me prend par la taille et glisse ses mains sous mon haut. Ses caresse sont douces. Je pousse un petit soupir de plaisir. Petit à petit il enlève mon vêtement. Plus rien d'autre n'existe. Rien que Gellert et moi. Moi et Gellert. Je me doutais qu'il allait être plus entreprenant que moi, comme depuis toujours, mais là je suis pris de court. Il me prend la main et la pose délicatement sur son torse. Il place les siennes sur le mien.
- Tu es musclé, dis-donc.
- Toi aussi, je murmure.
Je suis rouge tomate. Il continue de me caresser, s'approchant dangereusement de mon pantalon. Il me fait un sourire rassurant devant mon air tendu, un peu inquiet. Nous étions jeune et je n'ai jamais été aussi loin avec lui. Ni avec qui que ce soit d'ailleurs.
- Ne t'inquiètes pas Albus. Ça va aller. Je ne veux pas te brusquer.
- D'accord.
- Il n'y a eu personne d'autre n'est-ce pas ? Personne qui a été aussi proche de toi ? Dans tous les sens du terme.
Son ton est bienveillant.
-... Oui. Tu es le seul avec qui j'accepterais d'être collé torse nu voir plus. Même si j'appréhende un peu, je dis d'une petite voix.
- Oh mon Albus... J'irais à ton rythme. Mon beau...
- Gellert....
Il m'embrasse passionnément. Mon cœur bat la chamade. Il est tellement... Gellert. Tout m'attire chez lui. Finalement, ce n'est pas si mal qu'il soit entreprenant.

Comme il a dit, il a été à mon rythme. Je ne vous direz pas ce qu'on a fait, je laisse vos esprits mal placés faire le travail. Mais c'était un moment plus qu'agréable.

Visite en prisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant