"An angel" (Josuke x Rohan fr)

Chapitre 12 : "plutôt top ou bottom ?"

⚠️smut⚠️

J - Ro...han...?

R - Mhh, grogna-t-il en faisant vibrer ma nuque, et, par ailleurs, la totalité de mon corps, que je sentais brûler. Dis-moi, Josuke kun, combien de temps cela fait-il que tu n'as pas senti la chaleur de quelqu'un contre toi ? Ne te sens-tu pas seul ?

J - Ahh ?, fis-je, tandis qu'il m'enlaçait par derrière.

R - Moi, je me sens seul, tu sais~ ?, me dit-il d'une voix tremblante, feignant l'excitation qui montait, en passant ses mains sur mon torse.

J - Rohan sensei...s'il te plaît, arrête...

R - Je sais, Josuke kun, que tu t'es braqué contre les relations amoureuses et les promesses qui vont avec. Ne t'inquiètes pas ; ce n'est pas ça que je veux. Je suis seul, et toi aussi... Il n'y aura ni promesses douloureuses, ni attaches. Pas de nous, juste toi et moi. Cependant, je ne ferais rien que tu ne veuilles pas, alors saches que si tu me redemandes d'arrêter, je m'exécuterais.

J - ...

R - Josuke kun, je ne suis pas un violeur, et je considère que le consentement mutuel est très important. Tu as le choix, mais le silence n'est pas une réponse valable.

J'analysai la situation en silence, pesant le pour et le contre, puis finit par prendre ma décision en repensant au mots "pas de promesses douloureuses " et "pas un violeur".

J - Je...j'accepte.

Rohan ne se fit pas prier et passa ses mains sous ma chemise pour retracer la forme de mes muscles du bout de ses doigts. Il se mit à mordiller mes lobes d'oreilles, zone particulièrement érogène chez moi.

J - Ngh-

R - Détends toi, tu es tout crispé, murmura-t-il.

Je décidai d'être obéissant et me retournai vers lui, et, lui ôtant doucement son bandeau, je passai une main sur sa nuque et l'autre dans ses cheveux émeraudes, lesquels étaient doux et épais. L'odeur de Kishibe sensei était exactement celle que j'imaginais ; un mélange d'encre de chine et d'Earl Grey. Il sentait bon. Il joignit doucement ses lèvres aux miennes, puis y donna un léger coup de langue, comme pour demander mon approbation. J'entrouvris donc la bouche en guise de réponse. Tandis que nos langues s'exploraient mutuellement, il commença, doucement, à déboutonner ma chemise. Après qu'il l'eut complètement ouverte, il passa une main dans mon dos et l'autre derrière ma tête, me rapprochant de lui, et de la chaleur de son corps. Je posai mes mains au niveau de sa taille et me retournai, le déposant sur mon torse. Sans se laisser surprendre, il retira ses mains et croisa ses bras sur mon torse, puis, comme plus tôt aujourd'hui, il se colla à moi en y posant sa tête.

R - Dis moi, tu es plutôt top ou bottom ?

J - Ça dépend, répondis-je hésitant. Et toi ?

R - Top, ça ne te dérange pas ?

J - Non, non, tentai-je de me convaincre.

R - T'as pas l'air très sûr de toi, là, tu sais ?

J - La ferme et vas-y, tu veux ?

Il me fixa d'un regard irrité avant d'enfoncer la quasi totalité de sa main dans ma bouche, tout en traçant des cercles concentriques sur mes pectoraux de l'autre. À mon grand désarroi, je saisit rapidement le but de cette action ; en mettant sa main dans ma bouche, il m'empêchait d'articuler des phrases (donc de le faire chier) mais aussi et surtout, ça la maintenait ouverte... Tandis qu'il se mettait à martyriser mes tétons avec sa langue et à les mordiller, et qu'il s'agitait volontairement contre moi, son genou frottant plus ou moins fort la bosse apparente au niveau de mon boxer, tous les râles se formant au fond de ma gorge en sortaient sans mon autorisation. Après m'avoir fait durcir à un point où ça me faisait mal, il me retourna sur la droite et fit voler le seul vêtement qu'il avait daigné me laisser jusqu'ici à l'autre bout de la pièce, puis retira sa main de ma bouche, pour glisser un de ses doigts fins, imprégné de ma salive, en moi, avant d'en rajouter un deuxième puis de se mettre à les agiter.

Mon corps me brûlait et ma patience commençait à s'amenuiser.

J - C'est...pas...la peine...vas-y...

Comme pour ponctuer mes mots, je me mis à quatre patte sur la couverture fraîche, la tête dans un coussin. Je sentis, après une légère hésitation, le mangaka retirer ses doigts. Puis j'entendis un bruit de tissu avant de le sentir, lui, m'effleurer à plusieurs reprises, avant de se décider à entrer doucement. Cela m'arracha une légère plainte, qui fut étouffée par l'oreiller. Dans un mélange de désir et d'appréhension, j'agrippai le drap et me mordit la lèvre inférieure.

R - Tu as mal, Josuke kun ?

Je fis non de la tête, alors il s'enfonça un peu plus profond en moi, puis se mit à faire de lents va-et-vient, m'entourant de ses bras, se collant à mon dos. Tandis que je m'habituais à sa présence, mon bassin se mit à remuer de lui même, comme pour sentir un peu plus sa chaleur, tandis qu'il accélérait peu à peu ses mouvements.

J - Haanhg~

Ce bruit, indésiré, obscène, sembla parvenir à ses oreilles, et ce malgré le coussin.

R - Haa~ Trouvééé~, fit-il, satisfait.

Il relâcha ma taille et me retourna sur le dos, toujours contre lui, puis attrapa mes cuisses avant de se mettre à marteler ce qu'il venait d'identifier comme étant ma prostate, m'arrachant au passage une série de gémissement.

J - Aaahn~...Ro...Rohan~...Sensei~...

R - Haa~ Si tu prononce mon nom de cette manière, ça m'excite encore plus, tu sais ?

J - Ro...han~...Je...je vais-

Il me coupa en prenant mes lèvres en assaut, étouffant dans un même temps ses râles et mes gémissement. La douleur s'était totalement dissipée et je commençais à perdre pied au milieu de l'agitation et de mes battements de cœur irréguliers. Nous vînmes presque simultanément, quelques instants plus tard, puis nous allongeâmes l'un contre l'autre.

✅ end of the smut ✅

Ce soir là, on s'endormit directement, épuisés par notre journée.

***C gênant de poster çaaaa !... (≧∀≦)ゞ Bah j'espère que ça vous a plu X3 Hésitez pas à me dire si vous avez des requêtes de one shots je viens juste d'ouvir un receuil jjba mais je peux en ouvrir d'autre si vous voulez ( •̀ ω •́ )✧ Bonne journée/soirée/nuit, Haz <3***