Os x reader

Seijuro Akashi x reader

Salut voici ma deuxième histoire que j'ai faite pour passer le temps, pendant que j'écrivais j'écoutais la chanson Lost Boy donc l'histoire vient un peu de là.

rappel:
(n/f)= nom de famille
(t/p)= ton prénom
(p/ma)= prénom meilleure amie
(nf/ma)= nom de famille meilleure amie
(p/pf)= prénom petit frère
(t/s)= ton surnom
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*PDV reader*

Salut, moi c'est (n/f) (t/p), j'ai 16 ans, je suis au lycée Rakuzan et j'habite avec ma tante et mon oncle. Ma situation familiale est assez difficile à vivre par moment, mes parents sont décédés dans un accident de voiture et mon petit frère, (p/pf), est à l'hôpital. À Rakuzan, personne ne le sait à part (p/ma), qui est ma meilleure amie, et Seijuro Akashi, nous étions tous les 3 au collège Teiko.

« (T/P), MA CHÉRIE, ON MANGE! me cria ma tante d'en bas des escaliers. »

Je descendis, mangeai, saluai ma tante et mon oncle, montai pour faire ma toilette du soir et me couchai.

~lendemain 7h45~

Je m'apprêtais à partir de chez moi quand je reçus un message de l'hôpital, qui est en charge de (p/pf), me disant qu'il y avait une urgence, que l'état de (p/pf) s'était gravement détérioré. Sans même prendre le temps de réfléchir, je pris le chemin de l'hôpital en courant comme si ma vie en dépendait.

Une fois arrivée à l'hôpital, je me dirigeai directement vers la chambre de (p/pf). Je restai toute la journée auprès de lui, lui tenant la main, lui assurant que tout allait bien et chantant sa chanson préférée "Lost Boy".

*PDV seijuro*

J'étais tranquillement installé dans mon bureau quand je me rappelai que (n/f) (t/p) n'était pas là aujourd'hui. Sans vraiment savoir pourquoi, cela me fit comme un vide, peut-être parce que nous nous connaissons depuis tout petits ?

Je décidai alors d'appeler sa meilleure amie (n/ma), qui arriva une minute après mon appel. Je la laissai s'installer et lui posai LA question qui me taraudait l'esprit : pourquoi (n/f) (t/p) n'était pas présente en cours alors qu'elle n'a jamais été absente même si elle était malade. Elle me regarda légèrement surprise et allait me répondre quand son téléphone sonna.

« C'est sûrement (t/p). dis-t-elle.
- Passe-moi ton téléphone. lui ordonnai-je. »

Elle me le passa, je répondis à l'appel et mis sur haut-parleur.

« Désolée de ne pas être là (p/ma), mais l'état de (p/pf) s'est gravement aggravé. Est-ce que tu pourrais prendre mes cours s'il te plaît. commença-t-elle.
- (n/f), c'est Akashi. Je t'apporterai tes cours. disais-je neutralement.
- Sei... Akashi, désolée de te déranger alors que tu dois être en train de travailler, j'étais sûre d'avoir appelé (p/ma). s'excusa-t-elle.
- Tu as bien appelé (n/ma). Elle est, d'ailleurs, en face de moi. lui affirmait-je.
- Hey. confirma (n/ma) en parlant.
- Bon, bah Akashi, je te remercie, à toute à l'heure et (p/ma), je te tiens au courant de l'état de (p/pf), à demain. dit (n/f).
- À plus tard. terminai-je en même temps que (n/ma). »

Je raccrochai, rendis le téléphone à sa propriétaire et lui dis qu'elle pouvait partir.

« Ne lui donne pas de faux espoirs, tu ne sais pas à quel point elle a souffert de ton changement de personnalité. S'il te plaît. dit-elle en partant. »

~Ellipse cours~

Je terminai ce que j'avais à faire dans mon bureau et me dirigeai vers mon chauffeur pour lui dire d'aller à l'hôpital. Une fois arrivée, je demandai la chambre de (n/f) (p/pf) et me dirigeai vers celle-ci. Quand j'arrivai vers la porte, j'entendis la douce voix de (n/f), cela me rappela un moment passé avec elle.

°flashback°

« Sei ! Tu sais, je t'aime énormément ! dis une petite fille courant vers moi.
- Je t'aime énormément, moi aussi (t/s) ! disais-je en prenant (t/p) dans mes bras. »

C'est sur ses deux enfants s'enlaçant que je revins à moi sans me rendre compte que j'étais revenu à ma "personnalité de base". Je rentrai discrètement, me faufilai jusqu'à derrière elle et vis que son petit frère était endormi. Quand elle finit sa chanson, je l'enlaçai par derrière et la sentis sursauter dans mes bras, elle se retourna et fut étonnée, comme si elle ne s'attendait pas à ma venue.

« Qu'est-ce que tu as ? demandai-je.
- Tes... tes yeux... répondit-elle, les larmes naissantes.
- Qu'est-ce qu'ils ont mes yeux ? demandai-je, m'inquiétant.
- Sei... Tu m'as tellement manqué. finit-elle en me serrant fort. »

J'étais d'abord surpris de ce qu'elle avait dit, puis je la serrai doucement et d'un souffle faible, j'entendis un "je t'aime" avant qu'elle ne s'endorme dans mes bras. Je me rapprochai doucement, pour ne pas la réveiller, de l'une de ses oreilles pour lui chuchoter un "je t'aime aussi, ma (t/s)".

FIN