Je sais bien, vous ne me connaissez pas. Vous ignorez totalement qui je suis et qu'est-ce que je fais là. Je n'ai rien dans la vie, excepté une épouse en or qui a accepté la demande d'un minable. J'avais un job, très bien payé, j'en étais satisfait malheureusement tout à basculé. Je ne pensais pas qu'une pandémie nous tombe dessus et qu'elle nous fasse perdre tout nos biens petit à petit par manque de tout...
Je me nomme Éric, j'étais un travailleur dans une entreprise, je payais mais compte beaucoup trop élevé mais bon. J'avais le salaire idéal pour avoir ce que j'avais sous les pieds. Si je me souviens bien j'avais un condo de rêve, une voiture fortunée, une vu impressionnante qui élevait la valeur de notre demeure, j'étais fou mais j'avais l'argent. Ma femme vivait dans son petit palace même si elle me disait continuellement que j'exagérais. J'ai vécu pauvrement, c'est ce qui me pousse à ne plus y retourner et de faire profiter ma femme et moi la somme qui rentre à flot dans mon compte en bank. C'est un grand mot à flot... Car elle disparait dans mes dettes tout autant que dans mes payements d'ici et là. Je savais géré mon budget, ma femme me demandait constamment comment je faisais pour qu'à chaque moi nous arrivions sans rien manquer. Je la rassurais toujours. Je suis loin d'être une rapace qui vend de la drogue ou autre arnaque. Je faisais ma vie de citoyen tranquille et en règle. Jusqu'à ce jour où la covid-19 nous a tombé dessus telle une colère meurtrière que la terre nous a envoyé pour punir je ne sais qui. Je me souviens encore que nous écoutions les nouvelles et ma femme pleurait tout ces morts atroces sur les civières des hôpitaux. Je me contentais d'être chanceux. Je n'avais pas ce virus coller à la peau et j'avais encore mon travail. C'est suite de deux longues semaines coller sur nos écrans que tout a chamboulé. Ma femme a été coupé de son milieu de travail. Toute les centres de coiffures, de restaurations et les petits magasins non essentiels ont fermées par force, toutes activités ont été retirés et nous étions tous prisonniers dans nos maisons. Il y avait ce couvre feu qui a presque déclencher des émeutes dans nos quartiers. Jamais de ma sainte vie, j'avais vécu une crise aussi forte mais je me disais, que nous allions nous en sortir j'avais encore mon travail. Je vous avoue que s'était maintenant difficile. J'étais le seul avec un salaire. Il est vrai que ma femme obtenais son montant de la pcu mais rien qui venait égaler sont salaire. Elle était travaillante dans un grand hôtel qui payait bien. Je voyais bien qu'avec cette argents, elle paniquait. Elle voulait tend m'aider a payer comme elle le faisait. Je comprenais mais ce n'était pas de ça faute. C'était cette putain pandémie. Elle parvenait à payer son véhicule qui dormais dans notre stationnement, et ses petites dettes par justesse. Il fallait que je me tape tout le reste. J'avais même demandé à mon patron de faire des heures supplémentaire. Malheureusement, vu que tout autour de nous était en zone rouge, nous n'avions pas tout le matériel que nous étions supposés avoir et ceci dit pas de boulot en bonus. Je me serrais les dents. Je n'étais pas le seul dans cette situations, beaucoup d'autre l'était. C'est quand on perds quelque chose comme de l'argents qu'on réalise que nous achetons beaucoup trop pour pas grand chose. Je pensais à ces personnes dans la base société, je me questionnais, comment vivent-t-ils ? On-t-il autant de mal que moi ou le salaire de 2000 de la pcu équivaut à ce qu'il gagne déjà par mois ? Je faisais les 100 pas. Je me rongeais les ongles à même les doigts. J'ai toujours été une personnes zen et serins. Par contre cette pandémie a éveillé en moi ce qu'on appelle l'anxiété. J'ai toujours pensé que ces gens mentaient, qu'ils en mettaient beaucoup plus juste pour avoir de l'attention. Je me trompais. C'est vraiment dégueulasse cet état d'esprit. C'est tel un fou qui entend une voix lui chuchoter à l'oreille de se jeter d'un pont. Encore là, je me répétais, j'ai encore mon travail mais pour combien de temps ?
C'est après deux longs mois à voir mon environnement de travail diminuer que j'ai réalisé que s'était fini. Nous avions eux une conférence, nous devons fermer comme tout les autres cabinets. Mes épaules se sont contractées ainsi que mon coeur. Avec 4000 par mois nous n'arriverons jamais à tout payer. Le patron est sincèrement désolé. Je lisais bien dans son regard qu'il avait peur lui aussi. Il avait l'inquiétude de mettre la clé dans la porte. Je ne voulais pas entrer chez moi. J'avais honte. Je ne pouvais pas aller la voir et lui dire que je suis coupé de mon travail. Elle va me pété une crise cardiaque. Je n'avais pas le choix. Je suis entré chez moi le coeur lourd. C'est lorsque ses yeux bleus ont croisés les miens chocolats que je me suis éclaté en sanglots. Toute cette pression de la pandémie et le stresse m'ont littéralement lâchés. Elle est venue me prendre dans ses bras tel une mères qui berce son enfant pour me dire tout bas. « Nous allons s'en sortir ensemble.» Je l'ai serré contre moi. Comment ? Nous allons perdre les voiture et notre toit ! Elle m'a pris le visage. « Nous allons vivre dans une belle petite maison avec une voiture de moyenne ou petite gamme.» Mon rêve de richesse se fracasse. Je ne pouvais pas vivre dans une moyenne société. J'étais surpris de voir son sourire. Elle m'expliquait que nous avions pas besoin de tout ça pour être heureux. Qu'avec cette pandémie, elle avait compris que l'argents n'apporte pas vraiment le bonheur. Elle se mit à rire. Ce n'était pourtant pas drôle, moi qui pensait qu'elle aurait pété une crise cardiaque. Je m'étais trompé. « Eric, pourquoi ne pas acheter une maison et une voiture avec tout les petits accotés, pour une sommes de 3000 environ par mois ? On pourrait tout payé nos dettes et vivre aisément et être non étouffé par tout ce luxe qui nous coûte beaucoup trop cher.» La la tenais par ses hanches. Je ne réalisais pas à quel point une vie en dessous de nos moyen pouvait être agréable. J'ai alors accepté. Nous avions vendu nos voitures, des objets qui prenaient la poussières et notre condo.
Tout pour vous dire que cette pandémie n'a pas été juste négative.
On a pu revoir nos valeurs, nos besoins et nos amis.
Avec ces règles qui nous a tous mis en colère, nous avons appris à mieux se connaître.
Il y a plein d'exemple que je pourrais faire mais celle-ci convient parfaitement. J'espère qu'après cette pandémie, vous garderez ces nouvelles valeurs et vos nouvelles habitudes de vies. Les amis vraiment sincères, gardez-les sinon housse ! L'argent, dépenser moins et soyer responsable. Et j'espère que vos soirées tranquille à la maison vous ont fait du bien. Profitez de ses petits moments que la pandémie vous a appris. ( Je ne suis pas la pour vous faire une moral ahaha. )
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Les Histoires De Taty
Teen FictionIci tu trouveras des one shot et aussi des textes sur n'importe quel thème. Qu'ils soient mignons ou bien émouvants, mes écris sont là pour vous occupez ainsi que vous faire vivre des nouvelles aventures à chacune d'entre elles... Ah oui ! J'aime li...