Chapitre 6

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1 mois et 2 semaines que la rentrée était passer. 1 mois et 2 semaines qu'il ce connaissaient. 1 mois et 2 semaines...

Elle était la au fond de sa poche.

Elle était là cacher, dans son porte-feuille.

Elle avait la réponse sous ses yeux, la réponse à son mal être, à sa tristesse.

POINT DE VUE LOUIS

S-O-U-F-F-R-A-N-C-E

Aujourd'hui c'était son mot, écrit sur son avant bras gauche. Hier était marquer V-I-D-E. Je savais qu'elle était différente, je l'aimais pour sa. Mais là, allai-t-elle trop loin ? Ou es ce que c'était vraiment la réalité ? Je me sentais impuissant, et je l'étais.

Chez elle, rien. Juste des meubles qui ne sont pas les siens, et ces affaires. Pas de photos, d'ordinateur, un pots à crayon sur son bureau, pas d'étalage de produits dans la salle de bain. Cela peut paraître bête, mais c'est ce qui ma fait réaliser qu'elle n'allais pas trop loin, c'était la réalité... Sa réalité.

Je ne l'avais jamais connu avant, je ne sais pas qui est la Alexia d'autrefois. Mais je sais que chaque personne normalement constitué laisse quelques affaires à traîner. Juste par flemmardise.

POINT DE VUE ALEXIA

1 moi et 2 semaines.

Pour le 1er mois de nôtre amitié, il ma offert une carotte.

-Quoi tu n'aime pas les carottes ?

-Nan désoler c'est un peu comme une phobie, j'ai faillie m'étouffer avec ce trucs orange, dit-je tout en poussant le légumes des mains.

Après ma phrase il avait ponctué, qu'il relèverais le défis de me faire aimer ces stupides carottes.

Son cadeau était tellement idiot, mais remplit d'affection et de sens. Il se comportait comme un débile, il le faisait exprès. Je ne pouvais pas lui en vouloir d'essayer de me faire sourire...d'essayer.

Les vacances d'automne était proche. Le ciel gris, qui nous bombarde de sa pluie, la terre avalant cette eau tant rêver après un été trop sec, et c'est feuilles au mille couleurs chatoyant nos visages à coup de bourrasque de vent.

L'automne arrivait à grand pas.

1 mois et 4 semaines, que ma grand-mère avait quitter ce monde, pour rejoindre mes parents.

Je n'était pas assez forte pour supporter tout sa ! J'avais beau avoir prétendu le contraire jusqu'à maintenant.

Être une fille forte, sa le fait beaucoup mieux comparé à quelqu un de dépressif ? Non ?

Aujourd'hui le mot S-O-U-F-F-R-A-N-C-E était sur mon bras gauche, mais sur le bras droit « Pleurer pour mieux se relever ». On aurait put me comparer à une personne qui à les yeux vairon. Mon coté gauche était comme impuissant, mort, du vide, de l'absence de personnes aimées. Mon coté droit lui, voulait sans sortir, il essayait de me faire sortir la tête hors de l'eau.

POINT DE VUE EXTERNE

Le 11 Novembre, un jour triste Louis le savait, mais Alexia le vivais encore plus mal.

En ce jour d'automne 2005, sa mère était vêtue d'une robe noire et son père en beau costume. Elle aimais voire son père dans son beau costume, et serrer son nœud de cravate qu'il ne savait toujours pas faire. Il était fière de sa fille. Son père dans la voitures, prés à partir pour saluer leur aînés dé fins. Il alluma la voiture, pour la faire chauffer en attendant que sa femme finisse de se préparer. Alexia sur le perron faisait la moue. Son père s'approcha d'elle. Lui pinça gentiment la joue, ce qui la fit sourire.

-AL' on ne peut pas t'emmener tu risquerais de t'ennuyer.

-Papa, j'ai pas envie que tu parte.

Sur ces mots elle se jeta dans les bras de son père. C'est lui qui l'avait vue marcher pour la 1er fois, lui qui lui avait arraché sa 1er dent, lui qui jouais le Père-Noël pour elle. Tout 2 était si proche, l'un sans l'autre ne pouvais pas fonctionner.

Sa femme descendit les marches du perron, la petite fille serra ces 2 parents dans ces petits bras, « je vous aime » leur avait elle chuchoté à l'oreille, son père la porta dans ces bras « Je t'aime encore plus », il lui fit un bisou. Juste avant de monter dans le couper gris, il se rapprocha tapa dans sa main, effectuant ensuite le mouvement d'un chien mouillé et un bisou esquimau. Voilà c'était leur trucs à eux, la petite fille sourit. Elle admirais son père, pour elle, il était le plus beau.

Ils monta dans la voiture, sa femme ne disait rien, comme chaque 11 novembre. Il introduisit un CD dans l'auto radio, un crépitement s'entendit et une vielle chanson sortie. Elle souriait, ils c'étaient rencontré sur cette chanson. Tout 2 se mirent à chanter. Il arrivait sur un Carrefour. « ATTENTION !!! » Trop tard, le camion d'en face venait de perdre, les troncs d'arbres qui reposaient sur sa remorque, le 1er cassa le par brise, mais la chute de tout des autres entraîna la voiture qui dévalait la route en pente en de multiples tonneau. La chute ce termina à deux doigts du précipice. La voiture était méconnaissable.

Les 2 corps inertes ne ressemblaient plus à rien, la chute leur avait été fatale.

Pendant 2 jours, Alexia avait passer ces journées à les attendre sur le perron, il ne sont jamais rentrés.

Elle avait du mal à respirer, ces souvenirs étaient trop violent même apprêt 10 ans. Elle savait comment ils étaient décédé en lisant la presse locale. Elle n'avait que 10 ans mais de voir, le noms et le prénom de ces parents dans la page des décès lui avait été très difficile.

-Ça va aller ?

Louis se tenait à coté d'elle, il conduisait la voiture. Elle ne lui répondit pas et s'affala encore plus dans le siège.

Ils étaient arriver dans un parc de Londres, la ou son père l'avait emmener une fois. Elle s'assit auprès d'un arbres au racine puissante et au tronc solide, c'est branche était recouverte d'une multitude de feuilles colorées. Elle contemplais la vue.

Louis s'approcha, et s'assit à coté d'Alexia. Tout les 2 contemplaient cette vue, l'arbre était perché sur une petite colline. De là ils surplombaient tous le parcs.

Un étangs, ce trouvait un peu plus bas, c'est là qu'avec son père elle avait fait du canoë, pour la 1er fois.

Louis fouilla dans sa poche et en ressortie une photo.


POINT DE VUE LOUIS


J'avais la photo dans les mains. De toute la journée Alexia n'avait pas décroché un mots, et nous étions déjà en début d'après-midi. Aujourd'hui:

S-O-U-V-E-N-I-R-S, un mots simple aux multiples facettes. On peu ce souvenirs d'un bon moments, une journée avec une personne qu'on aime. Mais aussi les mauvais souvenirs, la perte d'une personne.

Mais aujourd'hui, j'étais presque convaincu, qu'elle allais mieux. Elle se remémorait des souvenirs, mais des bons, des joyeux enfin c'est ce que je me persuadais de pensé.


-Alexia ?


La photo était emprisonnée dans ma main qui commençais à devenir moite. Je stressais un peu, j'allais me livrer à elle. Lui confier un secret que personne ne sais à part moi. J'allais enchaîner quand....Elle me prit la main.


-Écoute Louis...


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Correctrice: @Misslisou

Nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant