La magie ne sort pas que des baguettes - Harmione

Humeur changeante

Plusieurs semaines c'était écoulé depuis la discussion d'Harry et Hermione. Cette dernière avait sérieusement rapprochée les deux sorciers. Ils prenaient leur plaisir à des discussions plus mature sans ajouté une petite touche d'humour, pour la première fois Harry comme Hermione ne voyaient pas leur maturité comme une fatalité du aux ténèbres des dernières années, non cette maturité était du à leur âge. En effet, les deux jeunes adultes de 18 ans avait beaucoup grandis et cela n'échappé pas au regard bienveillant de Molly toujours très observatrice de l'évolution de leur comportement.

La rentrée à Poudlard allait bientôt arriver et les 4 jeunes sorciers appréhendés celle-ci plus que les dernières, cette rentrée serait la première depuis la bataille. Harry se sentait coupable, se sentiment ne le quittait qu'en de rare occasions. Comment allait-il faire pour franchir les couloirs de l'école sans entendre tous les cris de terreur de ses amis mort, sans voir leur corps inanimé, sans se dire que tout cela était de sa faute. Harry était dans les hautes herbes assis en tailleur dans ses pensées, des larmes s'échappaient de temps à autre de ses yeux émeraude avec un air morbide sur le visage. Hermione arriva derrière son ami, le voir comme ça était une véritable torture. Elle avait remarqué le comportement du brun avec qui elle passait le plus clair de son temps en se moment et savait très bien pourquoi.

-« Pour d'ancienne rancœurs se déchirent à nouveau ». Commença telle

- La poésie de ce bon vieux Shakespeare me fera toujours sourire surtout quand elle sort de ta bouche. Répondit l'élu la tête baissé vers les hautes herbes.

- Je le prends pour un compliment. Je t'ai vu lire Roméo et Juliette il y a deux jours. Remarqua la brune

- Observatrice. Comme toujours, l'amour me passionne vois-tu c'est mon côté féminin. Justifia Harry

- Pourquoi l'amour devrait être féminin ? s'indigna faussement Hermione

- Car il est tendre et dur à la fois, magnifique et immonde en même temps un peu comme les femmes. Expliqua l'ex balafré

- Si tu le dis ... N'essai pas de changé de sujet. Je t'ai vu Harry, tu t'isole, tu pleure en cachette, tu repousse Ron, Ginny et Molly même Arthur alors qu'il n'est pas souvent la. Harry je sais que tu te sens coupable de se qui est arrivé mais se n'est pas le cas, le seul responsable c'est Voldemort. Argumenta la jeune femme au regard noisette

- Hermione ... Commença Hermione

Celle-ci mit directement fin à sa phrase en lui mettant la main sur sa bouche. Elle savait qu'elle avait raison et en plus elle ne voulait pas débattre de ça. Elle aurait aimé pouvoir oublier cette guerre ce qui était impossible mais en parler le moins possible était le meilleure moyen de ne pas rouvrir d'ancienne blessures. La jeune brune pris l'élu dans ses bras et rentra avec lui au Terrier.

Ginny remarqua les yeux rougit de son petit ami dès qu'il entra avec sa meilleure amie dans la pièce. Ginny regarda Hermione et celle-ci hocha la tête comme ci elles avaient déjà eu cette conversation. La rouquine pris Harry dans ses bras à son tour et lui offrit un tendre baisé. Ron quand à lui n'était pas très doué pour le réconfort et offrit une tape timide à Harry sur son épaule gauche. Les trois amis d'Harry savaient la charge qui pesait sur ses épaules et la douleur de la perte de Fred était atroce car il voyait les Weasley tous les jours depuis son retour.

Après avoir passé l'après midi à s'assurer qu'aucune affaire ne leur manqués, les quatre amis se préparait pour diné. Les garçons, guidés par l'estomac de Ron, partir devant et laissèrent les filles seules