Chapitre 15

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Pdv kakashi :

1 mois... Ça fait 1 mois que je suis enfermé ici.. 1 mois que je souffre physiquement et mentalement tout les jours.. 1 mois entier que je sert de jouet à des mecs que j'aimerai fuir le plus loin possible et qui me dégoute au plus haut point.
1 mois que j'attend une occasion pour pouvoir m'échapper, que je n'ai plus la moindre nouvelles de mes amis de konoha, je sais qu'ils me cherchent j'en suis persuadé, ça fait un mois entier qu'ils essaient de trouver l'endroit où l'akatsuki ma enfermé.
Je ne suis pas ressorti de cette pièce depuis, n'ai pas revus la lumière du jour non plus.
Le seul ici qui ne m'a jamais frapper ou toucher est itachi. J'ai parfois l'impression qu'il aimerai me venir en aide, je veut dire concrètement.
Une fois alors que deidara et hidan s'en prenait une nouvel fois à moi, itachi est passer devant la porte qu'ils avaient laisser ouverte et j'ai vus de la pitié et de la colère sur son visage, ça avait été bref, mais il avait fini par détourner les yeux et partir sans rien dire.
Si ça avait été obito, il se serait jeter sur hidan et deidara pour les ruer de coup, me libérant ainsi de leurs torture.

Mais obito n'est pas la, je pense souvent à lui, je me demande ce qu'il fait, ce qu'il pense.. Est-ce qu'il pense à moi ? Ou est il ? À konoha ? Ou est il reparti ? Je fait souvent le même rêve depuis que je suis ici, je le voit defoncer la porte pour entré et me dire que c'était fini, et qu'on allait rentré à konoha sans plus tarder..
Mais les jours passait sans voir obito, il ne venait pas, j'attend toujours pourtant, je n'abandonne pas.. Je sais qu'ils finiront par arriver... Je le sais.. Et à ce moment là obito m'enlevera ce seau qu'il m'a mit sur le poignet et je pourrais me vanger de ces enfoiré !

Je suis maintenant assis contre le mur juste à coter du petit trou de souri, d'ailleurs celle ci sorti de sa cachette et je tourne ma tête vers elle, un sourire triste vint se placer sur mes lèvres.
Cela peut paraître pathétique mais cette souris etait la seule avec qui je peut réellement parler depuis 1 mois, alors quand elle sort de son trou, ça me rend heureux, même si c'est stupide..

Je tend ma main vers cette petite bestiole, elle vient me renifler les doigts, avant de s'éloigner et de disparaître sous le lit, sur lequel je n'ose même plus m'assoire, les seul moment où j'ai un contact avec ce lit c'est lorsque l'un d'entre décide de passer cette foutu porte camoufler.

Je me relève, ce qui est une tâche defficile, tout mes muscles me fond souffrir.
Une fois debout je me cale contre le mur, et gémis de douleurs.
La dernière fois qu'ils m'ont violer c'était pas plus tard qu'ils y a une heure, on s'imagine parfois que l'on prend l'habitude à force, mais c'est faut, c'est toujours aussi horrible, aussi malsain et douloureux.

A un moment la porte s'ouvre à nouveau ce qui je l'avoue me surprend, ils leurs arrivent de venir plusieurs fois par jour mais jamais avec si peu d'intervalle.
Je commence à trembler en voyant pain entré, je me recule un peu plus contre le mur au fond de la pièce.

C'est vraiment pathétique, le grand ninja copieur de konoha, coller contre un mur au fond d'une prison, tremblant comme une feuille.. Mais j'arrive pas à m'en empêcher..
Pain pose son regard sur moi, avant de sourire, un sourire à vous faire froid dans le dos.

-on va devoir ce déplacer.. On nous a confirmé que konoha a trouver cette planque, il y a quelque jours, ils sont déjà en route alors vient ici, on dégage.

Je le fixe, ne comprenant pas ses mots sur le coup, mais peu à peu leurs sens me monte au cerveau et c'est une vague gigantesque d'espoir qui m'envahit, si konoha à trouver leurs planque et qu'ils sont en route, il ne faut surtout pas qu'ils parviennent à me déplacer.
Seulement voyant que je n'ai pas réagi, pain se rapproche de moi, et sous l'adrénaline du moment je lui envoie mon point sur le visage, au vus de sa réaction il ne s'y attendait clairement pas, j'en profite alors pour partir sur le coter et quitter la pièce en courant.
J'arrive au centre de couloir sombre, je ne sais même pas par où me diriger, je suis épuisé en plus de cela.
Je décide de faire avec la chance et part en courant sur la gauche, j'entends pain hurler mon prénom suivit d'une insulte..
Je cours comme je peut dans les couloir je prend une direction au hasard à chaque fois que je croise deux direction différentes.
Tout ce que je veut pour le moment c'est mettre le plus de distance possible entre moi et pain, qui je suis sur me suis de près.
A un moment je tourne sur la droite mais je me fait stopper dans ma cours par un bras qui m'encercle la taille par derrière, je me fis soulever du sol.

-tu vas ou comme ça ma belle?

Je reconnais de suite la voix d'hidan, et je me mit à me débattre autant que le peu de force me le permettait.
Mais cela ne fit ni chaud, ni froid à hidan qui me ramena à contre sens, jusqu'à ce que l'on croise pain dans un des couloir.
Je me mit à me débattre avec plus de force, parvenant même à faire lâcher prise à hidan, une fois mes deux pieds au sol je voulu partir, mais kisame me stoppa à son tour en ce postant devant moi.
Ma respiration se mit à accélèrer de plus belle, et mes tremblement à revenir.
Un coup de pied me fut donner à l'arrière du genoux me faisant tomber au sol.
Une main m'attrapa les cheveux et me les tira.

-ta énormément de chance qu'on ai pas le temps, mais je t'assure que tu vas prendre très très cher pour le coup que tu m'a donner.

C'était pain qui m'avais susurrer ses mots à l'oreille. Je ne lui répondit pas et il m'envoya face contre sol avec une grande violence.

-ramasse le kisame, on y vas, je m'occuperai de lui une fois arriver.

Je senti la main de kisame m'attraper un bras et commencer à me relèver, je me trouvais à genoux, lorsqu'une voix arriva de derrière moi, une voix qui fit stopper tout mouvement aux membres de l'akatsuki.

-vous avez exactement 10 seconde pour le lâcher ou je vous jure que je ne répondrai plus de rien.

Tintintin 😱😱qui est-ce ? Naruto ? Gai ? Obito ? 😱😱😱
Est-ce la fin du cauchemars pour kakashi et la petite souris, 😱😬

apprend moi à aimer-obikakaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant