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Samuel: je pars demain

Un instant
j'ai cru que mes spaghettis bolognaises allaient me sortir par le nez

Moi: où ?

Samuel: voir mon père

Moi: et il est où c'lui la?

Samuel: vegas

Moi: t'es obliger d'y aller?

Samuel: c'est mon père..

Moi: tu m'as pas déjà dit que t'es un viraltie et t'as toujours ce que tu veux?

Samuel: s'en est un aussi

je ne dis plus rien

Samuel: c'est trop mignon
Samuel: que tu t'intéresse à où je vais

Moi: et puis?

Samuel: et puis, ca veut dire que tu tiens à moi
Samuel: et que si je pars je te manquerais

Moi: tu prends trop la grosse tête
dit-je en rigolant

il mit sa main sur ma tête

Samuel: t'inquiète le sang, je te ferais un vlog de là-bas

Moi: t'es débile
je lui tendis ma fourchette pourqu'il prenne un bouchée

Il refusa
Lui: tu devrais manger, tu seras plus belle avec plus de forme
rigole

Moi: et toi tu devrais dire a ta grosse daronne de perdre du poids

Lui: elle est pas grosse
Il éclata de rire

Lui: ton sens de la répartie m'avait manqué

Moi: m'en fou

il prit alors une bouchée
-

après quelques minutes de marches, nous arrivions chez moi.

Il ce tenait devant moi

Sam: voilà, nous sommes arrivés.

Moi: oui..

Sam: C'était bien, on remets ça à quand?

Moi: tu t'en vas donc, je ne sais pas?
Moi: après t'aime toujours aller, loin

Sam: arrête

Moi: bah quoi, c'est vrai..

Sam: Roh c'est bon.
Sam: pourquoi tu ne viens pas avec moi?
il s'approcha dangereusement de moi

Moi: ben.. il faut acheter les billets de l'avance, non?
Moi: et pourquoi.. tu t'avances comme ça..

Sam: chut
Sam: ouais et alors?

Moi: je.. sais pas

Il mit ses mains sur ma taille
et me ramena vers lui doucement

il avait toujours cette façon de me regarder, celle qui me faisait toujours perdre contact avec mon système nerveux.

Sam: Frère, je n'sais pas encore, si mes sentiments sont véritables.
Sam: la seule chose que je sais c'est que tu ne me rends pas insensible et que j'adore être avec toi,

Sam: tu me fais rire et tu es omniprésente on dirait,
j'te vois partout.

Moi: je.. j'avoue

il rigola

Sam: « j'avoue », ok.

il enchaîna plusieurs baisers agréables sur le cou, qui ne me faisait quelque choses au fond de moi, mais quoi?
Vers la fin il m'embrassa avec passion.

Je fis aussi la même choses à mon tour, mais je me limita aux « il faut que j'y aille »

Sam: Tu embrasses de mieux en mieux bien

je le poussa

Moi: Sale con

il éclata de rire avant de me tenir la main

Lui: Bonne nuit, sorcière

Moi: ouais ouais, a plus.

Lui: Pourquoi t'es comme ca?

Moi: euh... j'suis pressée..

Lui: hein?

je rentra avant de fermer la porte
Je détala les escaliers jusqu'à ma chambres,

il y'avait quelques choses qui clochait avec moi?





j'étais horny,
Samuel me faisait foutrement de l'effet.

𝑨𝒎𝒐𝒖𝒓 𝑰𝒓𝒐𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant