- XXIII.

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Il était 8h,

Samuel et moi avions parler de toute la soirée, jusqu'à l'aube.

Je crois que la situation que je vis actuellement prend très bien le sens de cette expression que je cite; être dans de beau draps.

Hier, tout les deux nous étions sous tension, mais une tension électrique.
La même tension qui ce produit entre deux personnes très attirés l'un de l'autre.
Alors je préférais m'en éloigner car, je connaissais cette sensation.
Je la connaissait sans l'avoir réellement vecu, à vrai dire.

-

SAM.

Je ne pouvais pas cesser de poser les yeux sur elle.

Mais pourquoi est-elle autant belle?

Moi: Donc..

Franc: donc, redevenons pote.

Elle me tendit sa main, cela me fit chaud au coeur, mais je me devais de paraître fort, je tapa sa main en signe de mepris et je l'ignorais

Elle ce leva d'un bon, soupira désespérément et detacha ses cheveux.
Pour ensuite, les re-attacher.

-
FRANC.

Je re-attacha mes cheveux mais je regardais autre part, pour ne pas qu'il aperçoive mes yeux timides de honte.

C'était peut-être du à la fatigue?, mais j'avais des papillons dans le ventre, je venais de me faire recaler amicalement.

Il ce leva aussi.
Alors, j'avanca
Mais il me retenit.

Samuel: Je veux t'embrasser.

Moi: que-quoi..

Il prit ma tête entre ses mains afin de rapprocher mes lèvres des siennes.

Je frola ses lèvres mais rien de plus, il lacha ma tête et eclata de rire.

Samuel: Rêve toujours, j'ai une meuf.

Dit-il avant de s'en aller.

J'étais sous le choc.

Je n'étais même pas énervée mais super gêné, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même.

Je ne me suis même pas débattue.
quel honte..

Me dit-je intérieurement.

-

J'arrivais au salon, tout le monde était partit et tout était sans dessus dessous.

Saraii: Franc, tu étais où?

Moi: euh..

Samuel, était encore en train d'embrasser sa copine en me fixant avec le même air moqueur d'hier.

À cet instant je su qu'il c'était foutue de moi et que ces excuses n'étaient que du vent.

Saraii: franc?, franc? Tu m'écoute ?

Je reprit mes esprits et je regarda mon amie enfin.
Elle regarda par la même direction que je pris au début et compris.

Saraii: Oh, non franc...me dit pas que..

Elle me traina par le bras hors du salon et me pris par les deux épaules.

Saraii: tu fais une grave erreur.

Moi: mais de quoi tu parles?

Saraii: j'ai vu comment tu les regardent.

Moi: Who?

𝑨𝒎𝒐𝒖𝒓 𝑰𝒓𝒐𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant