CINQUANTE

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J'étais couchée sur les genoux de ma tante me plaignant de toute les peines du monde pendant qu'elle jouait avec mes cheveux

Claire: t'as pensé à te trouver un travail d'été ?

Moi: je sais pas..

Claire: je connais un endroit bien
Claire: tu pourrais travailler comme serveuse au bar proche de la plage?

Moi: orh je sais pas tantine..wesh

Claire: Moi, Je vais voir ma marraine, elle est juste la devant, tu veux venir?

Moi: flemme

Claire: essaye de faire quelques choses Franc au lieu de te morfondre et procrastiner.
Claire: y'as de super beau gars ici, plus beau que Samuel.

mais?

Claire: de super beau endroit, sors, va découvrir un peu...

Moi: j'irais après, j'ai envie de rien faire la tout d'suite..

Claire: Bon moi, j'y vais.
-

SAM

Moi: abuela? tu sais où je pourrais trouver un téléphone

Elle: j'en sais rien, trésor
Elle: je crois qu'il y'a un magasin pas très loin
Elle: et habille-toi !

je soupira
ca fait 3 jours que je suis revenu de Sicile et aucune trace de mon téléphone, je crois bien qu'on n'm'ai volé.

Je me demande ce qu'elle fait en ce moment.
est-ce qu'elle pense à moi?

DING DONG.

Moi: t'attend quelqu'un?

Elle: , ouvre-lui la porte

j'ouvrit la porte, puis un visage super familier apparu devant moi.

Moi: Mme Sting?

Elle: Samuel?
Elle: mais t'es ici depuis quand??
elle me fit la bise
Elle: je suis super surprise

Moi: trois jours

Mamy: Clarita?
Mamy: mi amorr, approche !!

Elles s'enlacèrent puis discutèrent un bon moment.

Je glissa timidement « comment elle va? »

Mme Sting: ella está ahí, justo afuera de la casa.

Je souris.
et j'enfilla une chemise.

-

FRANC.

il faut bien que je sorte, un peu. 
je décide alors de mettre quelques choses de presentable.

je regarda par la fenêtre pour voir si j'aurais la chance d'apercevoir ma marraine, elle est entrée dans la villa d'en face sans en revenir depuis une trentaine de minutes déjà.

Et elle est pas prête de revenir j'crois.

Lorsque je voulais fermer la fenêtre avec le rideau, j'apercu une ombre ressortir, un animal?

plutôt une personne.
Ma tante?

Non,
un mec?

Bon c'est-à-dire que là, j'ai peur putain

je vis qu'il avancait tranquillement vers moi.
mais avec ce rayon soleil a travers la fenêtre, qui m'aveuglait. Impossible de bien voir.

Je ferma le rideau et j'ouvris la porte pour mieux voir.

𝑨𝒎𝒐𝒖𝒓 𝑰𝒓𝒐𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant