Ce jour-là, l'humanité s'en est souvenue.
La terreur de n'être qu'une espèce dominée.
L'humiliation d'être emprisonnée dans une cage.
L'humanité a redécouvert ces sentiments qu'elle avait oubliés de plus d'un siècle.
Nous étions au District de Trost. Personne n'avait parlé depuis un petit moment le temps de s'y faire. C'est vrai que ce n'est pas facile pour ces mômes de savoir que leurs amis étaient des traîtres. Même moi, j'avais été touché alors que je n'aimais pas plus que ça Reiner et Bertolt. Mais c'était ainsi.
En ce moment même, je me situais derrière la porte de la chambre d'hôpital ou se trouver Erwin, je voulais savoir comment il allait. Cela fessait trois jours qu'il était dans cet hôpital et que je n'avais pas osé venir. Je voulais qu'il se repose.
Dans un élan de courage, je toquai à la porte.
"𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘵𝘰𝘲𝘶𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦."
"𝘛𝘰𝘤, 𝘛𝘰𝘤, 𝘛𝘰𝘤."
«Entrez. Dit une voix derrière la porte.
"𝘌𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘦𝘯 𝘧𝘦𝘴𝘴𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘴𝘢𝘭𝘶𝘵 𝘮𝘪𝘭𝘪𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦."
- Bonjour commandant Pixis, Caporal Chef Livaï, Major Erwin.
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-Bonjour soldat, je peux savoir ce qui vous amènes ici ? Me questionna le commandant Pixis.
- Et bien je.... Je me fis couper par l'intervention d'Erwin.
- C'est mon deuxième bras droit commandant Pixis.
- Et bien, ravie de faire votre connaissance
- Alors c'est toi son deuxième bras droit ? Questionna le Caporal d'un ton froid comme à son habitude.
- Oui, c'est bien ça.
- Humm. Fit-il.
- Bien, Erwin je n'ai pas que ça à faire, j'ai encore plein de documents à remplir. J'y vais.
- Ce n'est pas contre toi Erwin, mais moi aussi, je dois y aller. Avait-dit le Commandant Pixis.
- Bien. Répondis Erwin.»
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