Ce jour-là, l'humanité s'en est souvenue.
La terreur de n'être qu'une espèce dominée.
L'humiliation d'être emprisonnée dans une cage.
L'humanité a redécouvert ces sentiments qu'elle avait oubliés de plus d'un siècle.
Dès le lendemain, l'entraînement consista à étudier une création du Major Erwin, à savoir, la formation de combat pour traquer l'ennemi sur une longue distance. Curieusement, bien qu'il s'agisse d'une formation de combat précise, la position d'Eren Jäger n'y était pas indiquée. Nous par contre, nos positions pendant cette expédition nous était bien indiqués. Après cet "entraînement", Armin, Mikasa, moi et d'autres étions dehors en train de parler avec Eren qui venait de nous rejoindre. Nous nous fîmes couper par un soldat qui venait de nous prévenir que les uniformes étaient arrivés.
Chacun de nous avait pris une cape des bataillons d'exploration, dont moi. J'étais tellement fière d'avoir réussi, d'avoir cette cape sur mon dos que j'en avais les larmes aux yeux.
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1 moins plus tard,
Entre temps, l'expédition avait eu lieu, et ce fut un désastre. Beaucoup de soldats étaient morts, dont l'escouade du Caporal Chef Livaî. Durant cette expédition, nous avions fait la découverte d'un nouveau titan : le titan féminin. Nous n'avions pas vraiment d'informations précises sur celui-ci, mais nous savions que quelqu'un se cachait derrière ce titan. Quant à moi, j'avais réussi à tuer une dizaine de titans, mais j'avais également frôlé la mort. C'est le Major Erwin qui m'avait sauvé me voyant chuter d'un arbre (NDA: oui, c'est de la merde, mais bon.). Au final, rien de grave, je m'étais juste cassé la jambe. En ce moment même, j'étais dans une infirmerie, je suppose. Je me fis interpeller par la voix de l'infirmière.
« Le Major Erwin Smith m'a demandé de vous dire à votre réveil qu'il voulait vous voir dans son bureau immédiatement. Avait-elle dit
- Vous avez t-il pourquoi il voulait me voir ? Avais-je alors demandé.
- Non, d'ailleurs, avant que vous ne partiez, n'oubliez pas de faire attention à votre jambe et votre plâtre et n'oubliez pas vos béquilles !
- Oui. Dis-je avant de m'en aller vers le bureau du Major.»
Je me dirige alors vers le bureau du Major, une fois arriver devant la porte ou se trouvait derrière celle-ci son bureau, je toqua.
"𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒."
"𝑇𝑜𝑐, 𝑡𝑜𝑐, 𝑡𝑜𝑐"
« Nom, prénom et raison pour laquelle vous êtes là s'il vous plaît. Avait-il demandé.
- C'est t/p t/n, vous m'avez demandé dans votre bureau. Avais-je dit en attendant la permission de rentrer.
