Chapitre 9

1.5K 57 13
                                    

D'après Shigaraki la filière héroïque terminait tous les jours à dix sept heures sauf le mercredi ou elle terminait à midi. Je me suis donc préparé de façon à pouvoir y être pour dix sept heure. J'optais pour un style un peu moins provoquant que d'habitude, je me suis dit que ça passerait certainement plus au près de futur héros. J'ai donc mis un jean qui mettait mes atouts en valeur, un tee-shirt un peu over size et des bottines noir à talon. J'ai détaché mes cheveux, ils étaient très long et à force de les attacher ils finissent toujours par prendre la forme de mon chignon, ils étaient donc légèrement ondulés aujourd'hui. J'aimais bien le rendu, je n'ai donc pas pris la peine de les lisser ou de les réattacher, j'ai remis du parfum et un peu de mascara aussi. Je suis sorti de ma chambre, Dabi était là sur le seuil de sa porte et comme à sa grande habitude il me fixait dans le plus grand des silence.

T/p : Alors comment tu me trouves ?

A ce moment j'étais entrain de fermer la porte de ma chambre et n'entendant aucune réponses je me suis retourné vers lui.

T/p : Tu m'as entendu ? 

Dabi : Oui...

T/p : Donc comment tu me trouves ?

Dabi : Tu te soucis vraiment de mon avis ?

T/p : Bah oui un peu sinon je te poserais pas la question débile.

Dabi : Dans ce cas... il a un peu souri en levant les yeux au ciel... C'est vrai que cette tenu te vas bien, j'aime surtout tes cheveux détaché comme ça.

T/p : Ah oui ?....

Dabi : Ne me regarde pas comme ça ...

Il était gêné, je l'ai su parce qu'il souriait bêtement et qu'il rigolait un tout petit peu enfin légèrement. Je me suis rapproché lentement et quand je fus très proche de lui, j'ai passé mes mains sous son tee-shirt afin de toucher son ventre. Mon regard ne lâché pas le sien, il posa une main sur ma joue puis il chuchota:

Dabi : On a le temps...? 

T/p : Non....

Pendant que j'affichais un grand sourire très provocateur, Dabi se décomposé sur place. J'ai enlevé mes mains de sous son tee-shirt et je me suis lentement retourné toujours avec air satisfait et je suis parti prendre le bus pour aller à la sorti de Yuei. J'étais maintenant sur le trottoir en face de cette gigantesque école, la question que je me posais maintenant c'était comment trouver quelqu'un qui est dans la classe du mec aux cheveux vert. Leur sonnerie venait à peine de se faire entendre que déjà une multitude d'élève sortait. C'était quasiment impossible de le repérer avec tous ce monde. Puis au bout de quelque minute les élèves commençaient à se faire moins nombreux. Jusqu'à ce que je le vois sortir du lycée derrière un mec assez beau je dois avouer, il était blond, les cheveux en pétard, il était très musclé. Il m'a surpris alors que j'étais clairement entrain de le fixer. Mais malgré ce petit embarra je n'ai pas détourné le regard et lui non plus. Ni lui ni moi ne dévions nos regards, j'ai ressenti un nœud dans mon ventre, mais bizarrement c'était un nœud agréable, je ressentais une sorte de tension qui pouvait exploser à tout moment. J'avais envi d'aller le voir mais ma conscience m'en n'empêcha. Il m'intrigué beaucoup car j'avais le sentiment qu'il était inaccessible ou du moins très dur à avoir. Ce fut lui qui détourna le regard en premier car il c'était retourné pour parler à l'autre cheveux vert là, enfaite il ne parlé pas il lui criait dessus apparemment. En soit si je me rapproche de son ennemi c'est pas plus mal. Il c'est retourné et nos regards se sont recroisé mais cette fois ce ne  fut qu'un court instant, mais cet instant fut très intense. Je l'ai regardé s'éloigner. 

J'avais ma cible....

En rentrant au QG je me posé tout un tas de question, comment l'aborder, qu'est ce que j'allais lui dire, comment m'habiller etc..... Je venais à peine de franchir le seuil de la porte que Shigaraki était déjà entrain de me poser plein de question. Je lui ai dit que je n'avais pas encore de piste et qu'il fallait donc attendre un peu. Je suis ensuite monté à l'étage pour voir Dabi. J'ai toqué à sa porte mais je n'ai eu aucune réponse, je l'ai donc doucement entrouverte mais il n'y avait personne, j'ai vérifié dans la sale de bain mais rien dans celle-ci non plus. Après un petit moment de réflexion je suis allé voir Toga pour lui demander si elle savait ou il se trouvait.

T/p : Euh excuse moi mais tu sais ou se trouve Dabi ? 

Toga : Il est pas dans sa chambre ?

T/p : Nan je viens de vérifier et il n'est pas non plus dans la salle de bain.

Toga : Je sais pas, il certainement sorti. 

Elle était entrain de jouer avec ses couteaux, j'avais l'impression qu'elle m'écoutait à moitié pour le coup. Je suis donc retourné dans ma chambre pour me changer et attendre patiemment l'heure de manger tout en espérant le voir à table. Les minutes et les heures passaient sans que je n'ai entendu le moindre bruit provenant du couloir, cette réaction m'a surprise au sens ou je ne me sens pas si attaché que ca à Dabi et pourtant je ressens le besoin de l'avoir près de moi en ce moment. Vers vingt heure Toga est venue me dire que c'était l'heure de manger, je suis descendu mais bizarrement je n'avais pas faim. Je suis entré dans la salle à manger avec un air dépité, je me suis assise à ma place et j'ai attendu que black mist me serve en précisent bien que je n'avais pas très faim. Puis un peu après que tout le monde ai terminé son entré Dabi est arrivé, il c'est assit dans la plus grand des calmes et personne n'était surprit qu'il arrive aussi tard. J'ai ressenti une sorte de grande joie de le voir à coté de moi là, enfaite je n'arrive pas vraiment à mettre des mots sur ce que je ressentais actuellement. 

T/p : T'était où ? *chuchote*

Il c'est tourné vers moi, il a plongé son regards si glacial à cause de la couleur de ses yeux et à la fois si intense et chaud de se qu'il dégagé. J'ai sentis sa mains se posé sur ma cuisse et remonter doucement vers mon bas ventre. J'avais de plus en plus chaud et dans son regard je pouvais percevoir qu'il n'était pas près de s'arrêter même si je le supplié. 

Dabi : Je suppose que ce n'est toujours pas le bon moment... *chuchote*

J'ai eu du mal à parler tellement j'avais envi de lui et à tellement je souffrais de ne pas pouvoir le laissé faire ce qu'il voulait de moi. J'avais terriblement envie d'ouvrir mes cuisses pour que ses doigts puissent continuer leur trajet qui me donnais des frissons le long de ma colonne vertébrale mais la seul chose que je pouvais faire pour lui résister c'était de croisé les jambes et de poser ma main sur son poignet avant de lui dire:

T/p : Tu supposes bien ...

Il a léché sa lèvre inférieur avant de la mordre. Nos regards ne se sont pas détaché avant que Shigaraki intervienne.

Shigaraki : On vous dérange peut-être ?

T/p : Non rien avoir c'est que...j'essayais de trouver quelque chose à dire mais rien ne venait, heureusement pour moi Shigaraki m'a coupé la parole.

Shigaraki : Vous faites ce que vous voulez mais pas devant nous et encore moins devant moi...

On a tous les deux acquiescé d'un hochement de tête à moitié mort de rire. Le repas et la réunion terminé nous nous sommes dépêché d'aller dans ma chambre. On est dans ma chambre les néons rouges sont allumés. Cette couleur marque notre peau, tel un fer brulant. Son ombre est imposante, son regard se pose sur moi. Ni lui ni moi n'osons parler, c'est un silence lourd et pesant. Il s'approche doucement de moi, la tension me tord le ventre. Ses mains sont posées sur mes hanches, se contacte me brule, il m'embrasse. Ses doigts tracent des lignes imperceptible sur mon corps, il me rapproche encore plus de lui en me tirant par les hanches, notre baisé ne s'arrête pas, il passe alors ses mains sous mon haut pour venir caresser mes seins. Nos vêtements sont très vite éparpillés partout. Nous voila tous les deux nues. Nos corps se sont séparé il y a peu mais le mien réclame le sien et je sens dans son regards que la même attraction règne dans son corps à lui aussi. 

Un jeu dangereux...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant