Chapitre 11

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Ca fait bientôt deux semaine que Dabi n'est pas renté au QG, les premier jours on était compliqué, j'étais un peu inquiète puis je ...  à vrais dire il me manquait. Tous les jours j'attendais au même endroit que d'habitude que le lycéen sorte et comme tous les jours on se fixait de loin jusqu'à ce qu'on ne puisse plus le faire. Mais aujourd'hui ça allait être différent, j'avais décidé de tester quelque chose. A chaque fois que nos regards se séparé c'était parce qu'il tourné dans une ruelle. J'ai donc décidé d'attendre dans cette ruelle, on verra bien ce qui ce passe... je suis donc sorti à la même heure que d'habitude pour m'y rendre. En tournant dans cette ruelle je me suis rendu compte que c'était une petite rue commerçante, tout avait l'air artisanale. Il y avait un marchant de glace au tout début de celle-ci et il n'y avait pas trop de monde, je me suis dis que c'était l'occasion de me rafraichir par cette grosse chaleur presque caniculaire qui annonçait l'été. Je me suis mis dans la file, il y avait deux personnes devant moi, j'ai attendu patiemment mon tour, je sentais une présence assez inquiétante derrière moi, je sens que cette présence se rapproche de plus en plus que moi. Mon cœur bat de plus en plus vite, un tat de scénario se bousculent dans ma tête. J'essaye de m'avancer le plus possible sans gêner la personne de devant. Mais elle continuait de s'avancer, elle a finit par se coller contre moi. Je me suis retourné comme une furie, je l'ai giflé de toute mes forces.  C'était un homme, grand, jeune, assez musclé, il avait un regard débordant d'envi, ce qui ne me rassurais pas vraiment. Maintenant que je me tenais face à lui en venant à peine de gifler ce colosse. J'ai essayé de partir mais il m'a rattrapé par le poignet, j'ai essayé de me débattre mais rien à faire il ne me lâchait pas. A vrai dire cette situation commençait à m'énerver sérieusement. La sonnerie du lycée m'a rappelé que j'étais pas là pour prendre une glace et qu'il allé bientôt arriver. Et la dernière chose que je voulais qu'il pense de moi c'est que je suis une petite chose fragile. Mais malheureusement pour moi en tournant la tête pour essayer de partir je suis tombé nez à nez avec lui. Il se tenait là devant moi, je ne sais pas pourquoi mais mon cœur c'est emballé, j'en avais presque oublié l'autre type. Il c'est encore avancé puis il a regardé le colosse, son regard dégagé de la colère.

?? : Lâche la.

Sa voix a provoqué un cour circuit général dans tout mon corps. Elle était grave et elle raisonnait en moi sous forme d'écho chacun provoquant un intense frisson qui glissait le long de ma nuque. Enfaite elle m'hypnotisé, j'étais tellement submergé par mes émotions que je n'ai pas senti que la pression que l'autre type exerçait sur mon poignet c'était amplifié. Je le voyais s'engueuler avec le mec, mais je ne les écoutais pas, j'assistais juste à la scène qui se déroulait au ralenti devant moi. J'ai repris mes esprits quand il m'a prit la main et tiré pour me dégager de l'emprise du type. Le colosse a fini par partir et quelque seconde plus tard lui aussi a commencé à s'en aller en disant juste:

?? : Pas la peine de me remercier.

T/p : Je peux savoir comment tu t'appelles ?

Il continué de marchais alors j'ai un peu couru pour être à son niveau.

?? : Pourquoi ? 

T/p : Pour savoir qui m'a aidé...

?? : Bakugo

T/P : Enchanté Bakugo. Maintenant j'aimerai t'inviter à boire un verre dans la semaine avec moi. Mais bien-sur pas pour te remercier vu que ça n'en vaut pas la peine.

Il c'est arrêté net et c'est tourné vers moi. Nous étions maintenant face à face. Et pendant que j'affichais mon sourire le plus séducteur lui resté de marbre. 

Bakugo : Très bien samedi 16 heure pile au début de cette rue. 

T/p : Parfait....

J'ai réussi à cacher ma joie en attendant qu'il ne puisse plus me voir. En rentrant je me suis rendu compte que mes poignets étaient couverts de bleu. Je suis rentrais comme si de rien n'était et je suis allé directement dans ma chambre. A ma grande surprise Dabi qui avait disparu pendant bien deux semaine m'attendais tranquillement sur mon lit. Une immense rage m'a envahie sur le coup, mes muscles se contractèrent, ma mâchoire c'est serrait, une vague de violence m'a envahie. Je ne voulais rien savoir, du pourquoi du comment il était parti. Et en même temps est ce que j'étais légitime de m'énerver contre lui alors qu'il ne m'appartient pas. Enfaite tout ce que j'ai réussi à faire c'est baissé la tête est lui dire de sortir de ma chambre sur un tond assez froid. Il c'est avancé vers moi, a prit mes mains dans les siennes et il a regardé les bleu que j'avais au poignet. Il a resserrait la pression qu'il exercé à cette endroit mais sans me faire mal puis il a levé son regard pour me regarder dans les yeux.

Dabi : Qui a fait ça T/p ?

J'ai retiré mes mains des siennes.

Dabi : Je veux savoir dis le moi !

T/p : Ah oui et pourquoi ? Hein Monsieur par pendant deux semaines juste après m'avoir baisé et en plus il exige des informations sur ma vie à son retour.

Dabi : J'ai dis que je voulais savoir qui est ce qui t'a fais ces marques.

T/p : Oui et ben non! Maintenant va te faire foutre et sors de ma chambre. 

Il a levé les yeux au ciel puis il est parti en étant énervé en fin de compte on était tous les deux énervé... 

Plus tard dans la soirée j'ai compris pourquoi je lui en voulais tant. Enfaite j'avais l'impression qu'il n'était gentil avec moi que pour avoir du sex. Mais maintenant je m'interrogeais sur son comportement là. Pourquoi était il énervé contre le mec qui m'avait fait ces marques. Je me suis décidé à aller le voir pour lui poser des questions. Je suis donc entré dans sa chambre pour lui parler, je suis rentré directement sans frapper au préalable. Il était allongé sur son lit, torse nu et il lisait le même livre que la dernière fois. 

T/p : Pourquoi t'es parti ?

Dabi : Parce que...

T/p : C'est pas une réponse.

Dabi : Pourquoi tu as des bleu sur les poignets ?

T/p : Répond d'abord à ma question tu veux.

Dabi : Répond à la mienne et j'envisagerais  de répondre à la tienne.

T/p : Non si je te dis pourquoi j'ai des bleu tu me dis pourquoi tu es partis.

Dabi : Très bien comme tu voudras....

T/p : Je me suis faite comment dire... Agressé.... Enfin abordé un peu violement par un mec tout à l'heure.

Il a posé son livre sans marquer la page et pourtant il prend le temps de le faire à chaque fois. Il c'est ensuite redressé pour s'assoir au bord du lit, ses avant bras étaient posés sur ses cuisses et son regard qui était rempli de haine fixé le sol, d'ailleurs il évitait de croiser mon regard.

Dabi : Tu veux dire que quelqu'un t'a touché ?

T/p : Oui fin il m'a tenu par les poignets et voila, mais t'es sur que ça va?

Dabi c'est levé d'un seul coup je ne le reconnaissais plus, c'était une furie. Il a mit un tee-shirt et des chaussures puis il est parti.

Dabi : Bon T/p tu viens !!

T/p : Pour aller où ?

Dabi : Pour aller le tuer.

Je ne sais pas pourquoi mais je l'ai suivi. Sur le trajet il était silencieux, les dernière phrases qu'il avait prononcé était pour me demander de le conduire sur le lieu en question. Ce que j'étais entrain de faire. Quand on fut arrivé au début de la rue, mon coeur battait de plus en plus fort, j'appréhendais beaucoup ce qui allait se passer. J'ai vu quelque mètre plus loin le mec qui m'avait agressé, mon regard c'est figé sur lui, je n'arrivais pas à regarder autre chose. Et Dabi s'en est très vite rendu compte parce qui a posé sa main sur mon épaule.

Dabi : C'est donc lui...

J'ai levé la tête pour le regarder, sa voix m'avais sorti de toutes mes pensées. Le regard que Dabi porté sur se type, lui était beaucoup plus violent, on pouvait sentir en lui une rage incontrôlable. J'avoue qu'il commençait à me faire peur. Il c'est avancé vers le mec, je le suivais de très près mais je restais quand même derrière lui au cas où. Le colosse était un peu plus grand que Dabi et Beaucoup plus musclé que lui. Ce qui n'a pas empêché Dabi de le saisir par le col de sa chemise et de l'entrainer difficilement dans dans une petite ruelle à coté. Il le plaqua contre le mur, tout en le maintenant toujours par le colle. Le colosse tourna la tête vers moi et commença à m'insulter de tous les noms possible et imaginable. Il n'eu même pas le temps de terminer sa phrase que Dabi avait déjà commencé à le tabasser. J'assisté à une scène sorti d'un film d'horreur, il y avait du sang de partout, le colosse poussait des cries de douleur insupportable à entendre pour ma part, Dabi était devenu complètement fou...



Un jeu dangereux...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant