Un jeu dangereux...

Chapitre 18

Plus tard dans l'après midi Bakugo est venu me voir. 

Bakugo : Tu lis quoi ? 

T/p : Un roman sur une enquête policière.

Bakugo : Et c'est bien ?

T/p : Le début et pas mal c'est vrai.

Bakugo : Mina t'a dit pour ce week-end ?

T/p : Elle a parlé de faire une soirée mais elle n'est pas rentrée dans les détails. 

Bakugo : Bah elle a appelé sa mère là et elle l'autorise à faire une soirée vendredi soir.

T/p : Oh bah c'est cool ça et il y aura qui ?

Bakugo : Déjà il y aura le groupe et certainement la classe.

T/p : Oula mais vous êtes combien ?

Bakugo : Détends toi ça maison est grande et je ne pense pas que tout le monde vienne.

T/p : Ah ok...

Bakugo : Bon j'y retourne.

J'avais du mal à me concentrer après cette nouvelle, je commençais à me faire tout un tat de scénarios. Puis des questions comme " est ce qu'on allait faire un action ou vérité ? Ou regarder un film d'horreur?... J'ai pris mon téléphone pour mettre de la musique j'ai vu le message de Toga.

Toga : Dabi c'est réveillé...

Mon sang n'a fait qu'un tour je me suis levé d'un seul coup. Et je suis allé voir les autres.

T/p : Je...je... je dois y aller...

Bakugo : Attends quoi aller où ?

T/p : Je dois rentrer chez moi mais on se rappel plus tard ou au pire on se voit demain.

Je n'ai pas écouté ce qu'il avait à me dire, enfaite je suis parti en courant. J'ai eu mon bus de justesse. Et après être descendu de celui ci je me suis remise à courir du plus vite que je pouvais pour arriver au QG. J'ai poussé assez violemment la porte d'entré et je me suis précipité dans les escaliers. J'ai poussé la porte de sa chambre et je l'ai vu assit dans son lit avec le livre que je lui lisais en ce moment. Je n'arrivais plus à bouger, plus à parler et j'avais même du mal à respirer. 

Dabi : Ne te sens pas obligé de me raconter ta journée.

T/p : Je suis vraiment désolé...

Dabi : Pleure pas pour ça et viens t'assoir sur ta chaise.

Je lui ai dis oui d'un hochement de tête. Et je suis allé m'assoir sur ma dite chaise. Il m'a regardé, la couleur de ses yeux m'avait manqué. Il posa sa main sur ma cuisse.

Dabi : C'est vrai j'ai peut être joué au con, mais je ne support pas qu'on puisse faire du mal aux personnes auquel je tiens...

Il tenait donc à moi, sur ces mots je me suis senti rougir.

Dabi : Tu veux que je lise maintenant ? 

T/p : Oui mais si tu veux je peux le faire.

Il commença sa lecture calmement, sa voix grave m'avais terriblement manqué. J'ai posé mes deux mains sur la sienne qui d'ailleurs était toujours posé sur ma cuisse. J'aurais pu l'écouter comme ça pendant des heure voir des jours mais au bout de une heure il était fatigué. Je suis donc sorti pour le laisser dormir. Je suis retourné dans ma chambre et je me suis allongé de tout mon long sur mon lit et au moment ou ma tête a rentré en contact avec l'oreiller je me suis directement endormi. C'était la première fois depuis l'accident que j'arrivais à m'endormir aussi rapidement.  Toga m'a réveillé pour que je puisse venir manger, je me sentais tellement bien, ce stresse avait définitivement quitté mon corps et ce n'était pas plus mal. Après la avoir mangé et assisté à la réunion je suis allé voir Dabi. Il était entrain d'essayer de se lever.