Jusqu'à ce qu'il parte. (Fred X Reader)

Chapitre 2: nouvelles rencontres.

Dès tôt le matin, vers 6h30, Hagrid vint me chercher à la maison que je connaissais depuis l'âge de mes 8 ans. Minerva était un peu comme une mère pour moi, les autres étaient tous vraiment sympathiques, mais, mon parrain : Severus, était celui qui s'occupait le plus de moi car mon père était souvent occupé avec l'institut.

"Bonjour T/P, comment vas-tu ?" me demanda Hagrid avec un grand sourire en entrant dans le salon de la maison dans laquelle je vivais en dehors de l'école pendant les grandes vacances.

"Je vais bien, merci Hagrid." J'appréciais Hagrid vraiment beaucoup, il m'aidait souvent avec mes devoirs Moldus, même si il n'était pas le meilleur.

Je fis un signe de la main à mon père avant d'aller vers la cheminée du le salon. Hagrid m'indiqua d'y aller la première tout en me chuchotant à l'oreille notre destination. Nous devions nous rendre dans un vieux phare paumé au milieu de la mer, bizarre si vous voulez mon avis.

La pluie tombait des cordes, l'orage se faisait de plus belle. Hagrid arriva et fit abstraction de l'heure. La politesse, il l'avait oublier, en ne voyant ni sonnette ni poignée pour ouvrir cette maudite porte de bois, il frappa dans celle-ci jusqu'à ce qu'elle tombe sur le sol.

La chute de la porte nous révéla un jeune garçon d'à peu près mon âge, il était plutôt prit du ventre. A ma gauche se trouvaient un homme accompagné de sa femme et d'un fusil, ils avaient l'air complètement paniqués.

"J'exige que vous sortiez sur le champ, c'est une violation de domicile !" dit le vieil homme qui se trouvait dans les escaliers. Hagrid vint se placer devant lui et dit :

"Taisez-vous, Dursley, espèce de vieux pruneau." le géant tordit l'arme du monsieur la chargeant ce qui provoqua la propulsion une balle dans le plafond. Hagrid se dirigea ensuite vers le garçon et lui parla, il lui dit que cela faisait depuis qu'il était bébé qu'il ne l'avait pas vu, mais le jeune homme nia connaître mon ami en répondant :

"Je ne suis pas.. Harry." il bégayait beaucoup . Un deuxième jeune homme ; cette fois-ci à lunettes, émergea de derrière un mur et dit :

"Je suis Harry."

"Bien sûr que tu es Harry !" répondit le géant en hochant la tête et en souriant. Hagrid me regarda et je lui tendis le paquet qu'il m'avait gentiment confié pendant le trajet. Le jeune garçon à lunettes le prit tandis que mon ami lui souhaita joyeux anniversaire.

"Merci." dit le garçon tout en levant la tête vers Hagrid.

Je sortis de derrière l'ombre du géant afin de pouvoir à mon tour souhaiter joyeux anniversaire à ce pauvre petit gars ( je dis ça mais il a mon âge ).

"Joyeux anniversaire Harry." dis-je tout en m'asseyant près d'Hagrid sur le canapé.

Celui-ci, alluma à l'aide de son beau parapluie un feu de cheminée, parce que je dois reconnaître qu'il faisait froid dans cette petite pièce.

Harry était stupéfait. Il posa le paquet contenant le gâteau sur une petit table et reposa ses yeux sur nous.

"Excusez-moi mais, qui êtes-vous ?" nous demanda le garçon.

"Rubeus Hagrid, gardien des clés et des lieux à Poudlard. Tu sais déjà tout sur Poudlard, bien sûr ?" dit mon ami en se tournant vers Harry.

Le gamin secoua la tête de gauche à droite et Hagrid s'étonna fortement.

"Mince, tu ne t'es jamais demandé où tes parents avaient appris tout ça ?" dit l'homme barbu.

"Tout ça quoi ?" répondit le jeune garçon à lunettes.

"Tu es un sorcier, Harry." dit-je. "Et moi je suis T/P !"

Harry n'était pas convaincu de ce que j'avançais. Il commença à nous sortir un charabiât interminable sur le fait qu'il n'était qu'Harry et rien de plus. Nous lui expliquâmes qu'il était un sorcier ainsi que ses parents et qu'il ferait de grandes choses une fois entrainé à l'école Poudlard. Nous lui donnâmes la lettre qu'il était censé avoir reçu sans grands succès. C'est à ce moment-là que les Dursleys avouèrent avoir toujours connu la véritable identité d'Harry et du fait que ses parents n'avaient jamais périt dans un stupide accident de voiture.

Mon père m'avait beaucoup parlé de ce garçon véritablement connu dans le monde sorcier. Il avait survécu à l'attaque fatale du célèbre seigneur des ténèbres : Voldemort. Mon père étant Dumbledore, il m'avait appris à ne pas craindre le nom de cette abominable créature qu'était ce leader des manges-morts.

Le vieux Vernon Dursley se chargea de protester à ce qu'Harry aille à Poudlard mais je le coupai court.

"Monsieur, permettez-moi d'intervenir, Harry est, malheureusement pour vous, prédestiné depuis longtemps à se rendre à Poudlard à l'âge de ses onze ans. Il est également prédestiné à apprendre la magie pour devenir un des plus grand sorcier de la terre en étant enseigné par Albus Dumbledore."

"Je refuse de payer pour qu'un certain barbu apprenne à Harry à faire des petits tours de passe-passe avec une certaine baguette magique." Hagrid s'enflamma et pointa sa baguette au coup de l'irrespectueux homme en face de nous tandis que moi je lui lançai un regard noir.

"N'insultez jamais plus Albus Dumbledore devant nous." dit-il en me jetant un regard complice.

Je lui souris et ensuite re regarda devant moi et je vis le garçon gras et potelé se goinfrer du gâteau d'Harry. Hagrid me regarda et je lui pointai le derrière du garçon. Il lui jeta un sort qui lui fit avoir une queue en tirebouchon comme les cochons qui étaient, d'après moi, ses semblables.

Nous emmenâmes Harry sans même demander quoi que ce soit aux Dursley qui avaient manqué de respect à mon père ouvertement.